Citations sur Femme désirée, femme désirante (64)
Bien fermes et rebondis, les mamelons en érection attirent et invitent aux "jeux des nuages et de la pluie", l'une des expressions désignant les relations sexuelles dans la Chine ancienne.
Si le périnée se nomme en chinois "muscle des ancêtres", c'est parce qu'il est le lieu où se cristallise une mémoire qui est celle de nos origines. C'est non seulement le lieu de l'enracinement de nos lignées paternelle et maternelle, mais aussi le lieu de la mémoire de tous nos ancêtres archétypaux. L'empreinte de notre propre origine est en effet inscrite en chacun de nous.
En stimulant ce muscle, nous y inscrivons de nouvelles empreintes, la nouvelle mémoire de notre identité.
Ce qui fait que les contractions de l'anus retentissent sur le clitoris et qu'en retour son érection resserre l'anus.
Elle me confirme donc que la ménopause n'est pas, comme on aurait trop tendance à le croire, la fin de la vie sexuelle de la femme. Toutefois, s'il est vrai que beaucoup de femmes témoignent d'une baisse de désir sexuel à cette période de la vie, c'est sans doute aussi que, sans le savoir, le désir était stimulé par le fantasme d'une maternité toujours possible, ou par la croyance encore entretenue que sexuellement une "vraie femme" n'est qu'une mère.
En cas de mauvaise construction sexuelle, notre image du corps n'a pas l'information qui permet à l'énergie de circuler au bon endroit.
[...] Soit l'énergie se concentre au niveau du système urinaire ; le sphincter de l'urètre, l'urètre, la vessie, ou même les voies urinaires supérieures - et elle provoque cystites, urétrites, pyélonéphrites, traduisant que notre corps ne sait pas qu'il a un sexe, un vagin, un utérus. La femme reste "une pisseuse".
L'amour et les sentiments ne suffisent pas à faire vivre notre sexe. Aimer un homme ne supprime pas les émotions emmagasinées dans l'enfance ou avant la naissance sous forme d'interdits et d'inhibitions, qui y font barrage. En matière de plaisir et de jouissance sexuelle, l'héritage catastrophqiue que nous ont transmis nos mères, incapables d onous expliquer ce qu'est une femme, est toujours acitf. La femme, encore aujourd'hi, continue de méconnaitre son sexe. Elle a toujours peur du sexe de l'homme. Par peur de lui être soumise, elle n'ose pas y voir un objet de plaisir à découvrir et à honorer, alors qu'il est évident que les sexes sont faits pour s'emboîter, et que cet emboîtement procure du bienfait et fête la vie.
L'amour et les sentiments ne suffisent pas à faire vivre notre sexe. Aimer un homme ne supprime pas les émotions emmagasinées dans l'enfance ou avant la naissance sous forme d'interdits et d'inhibitions, qui y font barrage. En matière de plaisir et de jouissance sexuelle, l'héritage catastrophique que nous ont transmis nos mères, incapables de nous expliquer ce qu'est une femme, est toujours actif. La femme, encore aujourd'hui, continue de méconnaitre son sexe. Elle a toujours peur du sexe de l'homme. Par peur de lui être soumise, elle n'ose pas y voir un objet de plaisir à découvrir et à honorer, alors qu'il est évident que les sexes sont faits pour s'emboîter, et que cet emboîtement procure du bienfait et fête la vie.
Dans la cystite, toute l'énergie sexuelle reste focalisée en dehors du sexe. Au lieu de pouvoir remonter dans le vagin et l'utérus, elle remonte dans l'urètre et la vessie. Rien d'étonnant à ce que Catherine ait très mal : ses symptômes la séparent de son lien amoureux.
En étant heureuse d'être mère et en lui donnant un père heureux de l'être, la mère ouvre à sa fille l'accès à sa future matenrité. En se sentant femme et heureuse de l'être, dans l'échange et le plaisir seuel avec l'homme qu'elle aime, la mère permet à sa fille de se doter d'un avenir de femme jouissante et créative dans sa vie sexuelle.
Je n'avais jamais rencontré de femmes qui considèrent la sexualité comme une force de régénération de sa dynamique personnelle.