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Une analyse très poussée des différents facteurs qui ont pu conduire Van Gogh au suicide. Sa vie y est retracée avec détail, le parcours qui l'a mené à la peinture, sa vie affective très pauvre et bien sur la relation très étroite qu'il entretient avec son frère Théo.
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Biographie très poussée du peintre dans laquelle la psychologie et la psychanalyse ont largement leur place.
Vincent van Gogh est né un an jour pour jour après un frère aîné mort-né, qui portait le même nom. L'auteure voit dans cet élément une explication possible du tourment dans lequel le peintre a vécu.
On découvre la relation du peintre avec ses parents, son frère mais aussi ses « confrères ».
On y voit un homme mal aimé (ou qui se ressent comme tel), tourmenté, en tout cas, il pense souvent ne pas être à sa place. Sa passion pour la peinture, sa solitude et sa misère le conduiront à la folie.
Ce livre est bien documenté.
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Je ne garde pas un très bon souvenir de ce livre alors qu'habituellement je m'intéresse à la psychologie et la psychanalyse. J'étais peut-être trop jeune ? J'ai le souvenir d'un texte larmoyant et qui n'en finissait pas mais je suis une piètre lectrice et de surcroit difficile dans mes goûts. C'est la 1ère bio du peintre que j'ai lue (jusqu'à la fin ? je ne sais plus) et depuis j'en ai lu d'autres que je recommande plus chaudement. Toutefois la vie de van Gogh est tellement intéressante et atypique que je recommande également la lecture de ce livre car le sujet est inépuisable.
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Une biographie qui part à la recherche des origines du suicide de van Gogh. Aidée de la psychanalyse, V. Forrester fait le portrait d'un homme qu'on suicide : la famille avec le spectre du premier Vincent, frère mort-né un an avant sa propre naissance ainsi que Théo et ces liens si particuliers qui mêlent amour et domination puis la société en quête de Genies à torturer pour produire des oeuvres à la gloire de la souffrance.

La folie, la peinture sont des états marginaux que Vincent ne peut quitter puisqu'il est l'élu...qui arrange tout le monde. Un postulat intéressant et en tout cas, un véritable plaidoyer en faveur de l'artiste. Une évocation minutieuse des quelques années qui permirent une oeuvre révolutionnaire qui brûlera van Gogh du soleil d'Arles aux blés d'Auvers.
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J'ai commencé ce livre avec enthousiasme, ravie de connaître mieux le peintre de renom... et je l'ai lâché après une cinquantaine de page laborieusement déchiffrées.
Je rejoins la critique de "scaalaire68" : l'écriture est larmoyante, avec beaucoup de longueur et de répétition. Je ne peux pas me permettre de trop m'avancer sur le contenu, vu que je n'en ai pas lu un tiers mais je n'ai pas accroché avec l'approche purement psychologique qui éloignent les faits. de plus, je n'ai trouvé aucune construction, aucune ligne directive qui m'aurait permis de comprendre où l'auteur voulait nous emmener. Si bien que je me suis perdue en chemin... Dommage !
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J'ai lu ce livre en préparation de ma visite d'Auvers-sur-Oise.
Je découvre une personnalité étonnante. Peut-on le qualifier de fou ? Non, je ne crois pas. Il portait le nom d'un Vincent mort trop tôt, ce poids était trop lourd pour un coeur fragile. de nos jours, les psychologues savent combien il est dangereux de donner à un enfant le prénom d'un précédent disparu.
Ce livre m'a fait voyager en France, aux Pays-Bas, en Angleterre, en Belgique, dans notre Pays Noir. Voyage sans quitter les quatre murs de ma chambre.
Seul bémol : l'auteur voyage dans le temps, en arrière, en avant, et parfois, j'ai eu du mal à comprendre la bonne suite des événements.
Style travaillé, ciselé, longues phrases parfois proustiennes.
Lecture intéressante pour qui veut connaître Van Gogh et marcher dans son sillage en Ile-de-France ou en Arles.
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