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3,37

sur 116 notes
Déception.
3 thèmes dans ce livre : l'amitié entre une enfant blanche et une enfant noire, l'une des pages les plus importantes de l'histoire américaine avec la guerre de Sécession et l'abolition de l'esclavage, la place des femmes durant toute cette période.
Un fil rouge, le coton qui est le « narrateur » de ce récit et permet à l'auteur de nous faire passer d'un thème à un autre.

D'ou une vraie envie pour moi de me retrouver dans l'ambiance de livres comme Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur ou, La harpe d'herbe

En fait, ce roman fait partie de ceux qui, à la lecture du résumé, sont très prometteurs, mais qui s'avèrent décevants lorsqu'on les découvre à cause du très grand écart entre la quatrième de couverture et le contenu. Aucun de ces thèmes n'est véritablement détaillé, la relation entre les deux fillettes puis femmes n'est que peut développée, le choix du fil rouge rend la lecture compliquée.
Dommage
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Très partagée sur ce roman.
Il aborde plusieurs sujets qui m'ont bien intéressée :
- La vie dans le Sud des Etats-Unis au moment de la guerre de Sécession, vie des Blancs, opposés à l'Union, ou opposés à l'esclavage, vie des Noirs, esclaves ou presque.
- La relation entre deux enfants puis jeunes filles l'une blanche de bonne famille, l'autre métisse, qui aura un statut mal défini.
- la guerre de Sécession
- un aperçu du Ku Klux Klan
- L'histoire des courtepointes (que j'avais découvert dans le très beau roman de Tracy Chevalier La Dernière Fugitive )

Mais je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, on saute des périodes, on passe dans le présent pour repartir dans le passé, je suis toujours un peu restée "à l'extérieur".

Pourtant, la vie de cette mère noire à qui on enlève un à un ses enfants est plus qu'émouvante.

Le sujet central, la petite fille noire déracinée puis sauvée de l'esclavage, qui va attacher sa vie à la Blanche, m'a énormément attirée, mais déçue. Pas un instant dans le livre elles ne semblent s'adresser la parole, on ne sait en fait rien de leur relation, on a l'impression de passer à côté du sujet.
Eve suit Eleanor lorsque celle-ci se marie. Mais à aucun moment on n'entend la voix de la belle-mère, pourtant très critique, et tout à fait Sudiste, interroger sur le statut d'Eve, qui aide sans être vraiment domestique semble-t-il.

Les descriptions des courtepointes, éléments importants de l'histoire, ne m'ont pas suffi pour les imaginer, et je n'ai pas réussi à les retrouver sur le site de l'éditeur, comme indiqué à la fin du livre.

Au final, beaucoup de choses que j'ai eu plaisir à lire, mais je regrette de n'être pas entrée dans l'histoire.
Lien : https://livresjeunessejangel..
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En conclusion, vous l'aurez compris, ce roman a été pour moi une déception, même une très grande déception pour être complète dans mon jugement. Peut-être en ais-je trop attendu en me fiant à la couverture et au contexte de l'histoire bien plus qu'au contenu. Mais une chose est sure : je n'ai clairement pas retrouvé ce que j'attendais ! Certes, il y a des passages intéressants et poignants (notamment sur les esclaves), mais ce n'est pas assez pour me faire changer d'avis.
Lien : http://www.leslecturesdophec..
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Je le guettais depuis la fin de l'année 2016. Je l'avais précommandé depuis longtemps. Il est arrivé chez moi un jour avant sa sortie. Je l'ai dévoré le lendemain. La Porte du ciel promet monts et merveilles rien que par son titre et sa belle couverture. Tient-il ses promesses finalement ?

Nous sommes en Louisiane, peu avant la guerre de Sécession (1861-1865). Eleanor, blanche et fille de médecin, et Eve, mulâtre et fille d'esclave vivent et grandissent ensemble. le statut d'Eve est assez flou. Elle n'est ni esclave ni considérée comme la semblable d'Eleanor.

"On ne lui demandait pas de frotter les planchers, mais jamais il ne serait venu à l'esprit de quiconque de l'inviter à s'asseoir à table quand il y avait du monde à la maison. (...) Elle n'était pas asservie, certes non, (...) mais elle n'était certainement pas libre non plus. Qui donc aurait seulement pu dire de quelle couleur elle était ? Les Noirs n'étaient-ils pas censés avoir les lèvres épaisses et la peau couleur de charbon ? D'où tenait-elle donc son nez droit et sa bouche fine ?" (page 57).

Elle ne peut aller à la messe, elle compte pour les 3/5 d'un homme libre selon les officiers du recensement. Finalement, même si Eve s'interroge sur ses origines, elle devient comme l'ombre d'Eleanor, et les deux petites filles ont rapidement une relation très fusionnelle. Lorsque Eleanor se marie et part vivre chez son mari, elle exige même qu'Eve la suive. Leurs deux vies vont alors basculer, avec entre autres, le commencement de la guerre civile.

Ensuite, je préfère vous avertir tout de suite : ce n'est pas vraiment un roman historique pur et dur. Il n'y a pas de date précise, de descriptions de batailles. La guerre civile est relatée de manière chronologique, mais par bribes, comme des flashs. L'hécatombe qu'a produit cette guerre civile y est dénoncée.

"D'abord timides, puis de plus en plus fortes, les voix confondues des quelque cent mille hommes des deux camps s'élevèrent dans la nuit étoilée. L'attaque eut lieu à l'aube le lendemain matin. Deux jours plus tard, le tiers des hommes n'était plus.
Il y avait eu des batailles, puis des massacres, il y aurait des hécatombes." (page 89).

En plus de la guerre sanglante qui change à jamais les hommes, l'esclavage et la ségrégation sont également dénoncés à travers plusieurs passages ponctuels qui sillonnent le récit. Cela peut-être une conversation entre notables, la première messe à laquelle assiste Eve, le jeu d'échecs avec ses pièces noires et blanches. Enfin, la montée du KKK est également mentionnée... Toutes ces bribes de récits nous apprennent tellement sur cette Amérique du XIXe siècle, elles nous révoltent et nous font réfléchir à la fois.

Cependant, le thème de la liberté est aussi présent dans ce roman atypique. Plusieurs images de ce thème nous frappent comme le dessin de l'oiseau tracé dans le sable par Eve ou encore Eve imaginant le cheval qu'elle a trouvé mort en train de galoper "crinière au vent"... Vous l'aurez compris, ce roman fourmille de symboles.

L'auteure québécoise a choisi un style, un narrateur et une structure narrative bien particuliers. L'intrigue centrale basée sur les deux jeunes filles est entrecoupée à maintes reprises par des pauses narratives. Certaines fois, le narrateur (son identité dévoilée au début est très originale) parle du contexte historique, d'anecdotes intéressantes sur l'Amérique, parfois il se concentre sur June, la mère d'Eve, qui vit misérablement avec ses enfants et d'autres esclaves sur une autre plantation. Une fois, le temps s'est même accéléré, parfois même les frontières entre les époques s'effacent... Ces passages, ces images, ces bribes de récits dans le roman forment ensemble un beau patchwork, La Porte du ciel.

Justement, parlons couture. Car oui, il est question de couture dans ce roman, précisément de l'art de la courtepointe. Elle est évoquée à travers la culture du coton, à travers les drapeaux que confectionnent les jeunes filles pour les soldats, ou les linceuls que brode June pour ses enfants. de même, des courtepointes aux différentes couleurs sont décrites entre deux morceaux de récits, mises en forme sur une page. Sans compter cette église construite de bric et de broc par le Père Louis, qui croit profondément à l'égalité entre tous les hommes. Tout simplement, l'auteure décrit là une Amérique façonnée avec des motifs différents, des couleurs différentes, mais qui forme finalement un seul et même ensemble.

Pour conclure, non seulement ce troisième roman de Dominique Fortier tient ses promesses, mais il va plus beaucoup plus loin que l'évocation du destin de ces deux jeunes filles. La Porte du ciel est un roman atypique, unique et qui dépeint une Amérique divisée de fin XIXe siècle. A travers l'histoire d'Eleanor et d'Eve, celle de June, celle de couturières, celle de cette Eglise en bois, ce roman relate une quête de la liberté dans un pays qui vient à peine de naître. le fil rouge qu'est la courtepointe relie les destins de ces femmes, différentes mais unies par un même désir : la liberté. L'auteure nous pose enfin ces questions pertinentes : cette guerre a-t-elle vraiment pris fin ? La liberté est-elle vraiment acquise ? Je ne peux que vous conseiller ce roman patchwork original et magnifique, assemblé par une belle plume.

Ma note : 17/20
Lien : http://lesmotsdejunko.blogsp..
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Ce que j'en pense :

Il m'a été donné d'assister à la conférence de présentation de ce livre par l'éditrice, en absence de l'auteure, malade, restée au Québec.

Si les explications m'ont été salutaires, elles arrivèrent un peu tard car j'avais lu le bouquin, lequel, soit dit en passant, m'a été offert par les éditions Les Escales, via Babelio.
Sur les trente-cinq personnes, environ, qui assistions à cette présentation, j'étais le seul représentant de la gent masculine. L'éditrice m'a rassuré en me disant que c'était habituel, les femmes étant plus romanesques que les hommes qui, dit-elle, préfèrent l'histoire. Si elle le dit...

Ce livre attira mon attention car il était question de la guerre de sécession, période de l'histoire américaine dont je suis friand, ce qui donne raison à la dame ci-dessus.
Cependant de guerre et de sécession il ne fut point beaucoup question ou, pour le moins, ce n'est pas le sujet du livre !
Le sujet, puisque le mot est lâché, est difficilement définissable. Pour moi il s'agit, ici, de courtes tranches de vie de deux petites filles, l'une blanche, fille de médecin, l'autre noire fille d'esclave. On suit, entre deux courtepointes (j'en dirais deux mots ci-après) leurs destinées qui, si elles sont parallèles, ne se passent pas dans le même confort.
Il ne faut rien exagérer car la jeune Eve n'est pas soumise aux traitements infligés, habituellement aux noirs, par les patrons blancs de plantations de coton. Eleanor, la blanche bénéficie des avantages que la couleur de sa peau lui donne, sans pour autant faire de l'ombre à sa compagne de jeux, noire.
Et puis elles grandissent, jeunes filles, puis femmes, la blanche mariée, la noire aimée en secret, jusqu'à un dénouement inéluctable mais pas, forcément, tel que l'on aurait pu le concevoir.

Ce livre est bien écrit, d'une écriture qui coule comme une rivière bien sage dans son lit. Non pas qu'il y ait cette prosodie poétique qui font les très grands auteurs, non, mais il n'y a rien à y redire. Je dirais même que c'est plutôt agréable dans l'ensemble.
Ce qui ne va c'est, d'une part, l'absence de crédibilité des personnages que je n'ai pas du tout "senti", D. Fortier ne tranche pas, ne s'implique pas, elle fait un rapport de police (j'exagère, certes, mais à peine), du journalisme et je bous en écrivant car il y avait une matière formidable, un terrain et une époque à faire rêver un écrivain, même moi qui ne suit pas écrivain, j'en rêve !
Ensuite la construction du livre, pas de liant entre les chapitres, si chapitres il y a ! On tourne des pages certes mais sont-ce vraiment des chapitres ? Mystère.
Le lecteur suit l'auteure qui saute du coq à l'âne jusqu'à insérer au milieu du livre un passage contant la fin de vie d'un condamné à mort, noir, à l'époque actuelle, évoquant son dernier repas avant l'exécution de la peine capitale. Sur cette question l'éditrice répond qu'il faut voir cela dans l'évolution de la société américaine et que le parallèle entre la condition des noirs au XIXème et maintenant n'est qu'une suite de déboires amenant, de toutes manières, à la mort. Bref, je ne suis pas ce raisonnement.
Il y a cinq descriptions de courtepointes, faites par des femmes noires, qui sont d'un tel fouillis que j'ai dû relire dix fois le premier descriptif, sans comprendre et sans savoir qu'il s'agissait d'une couverture, je voulais essayer de dessiner, sans plus de succès. Je ne me suis pas attardé sur les autres...Et quand j'ai visionné les courtepointes sur le site de l'éditeur, je me suis demandé qui pourrait envisager un tel résultat avec ces descriptions. Dommage !
Je ne fus pas le seul à émettre cette remarque.
Quel gâchis, surtout avec un tel sujet et la guerre de sécession en filigrane. Les sudistes en débandade et les yankees aux portes des plantations...

Je remercie les éditions Les Escales de m'avoir offert, via Babelio, ce livre.
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Un roman poétique et atypique sur une période capitale de l'histoire des États-Unis. Au travers du portrait de deux femmes, amies, l'une Noire, l'autre Blanche, le narrateur nous raconte ce qu'il reste de cette époque et l'enjeu des combats pour la liberté. Un livre qu'il faut prendre le temps d'apprécier, sans s'attendre à rencontrer des personnages très travaillés ou une histoire détaillée. Dominique Fortier nous offre ici une vision de la liberté et nous invite à nous poser la question de sa véracité. Sublime.

Chronique complète sur mon blog
Lien : https://bettierosebooks.com/..
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Cela fait un moment que je voulais lire ce livre d'une auteure que j'apprécie. La structure narrative en est originale et l'écriture appliquée. Sa lecture nécessite de la concentration, le rythme en est lent, on regarde des vies se dérouler sans trop d'aspérités apparentes alors que la violence, la guerre, l'injustice, le racisme, l'esclavagisme sont omniprésentes et que la liberté affleurent d'une façon ou d'une autre à chaque chapitre en la création d'une courtepointe, le vol d'un oiseau, un esprit libre, des tentatives de changement. Pas une grande fresque mais la description d'une époque où insidieusement la violence de la ségrégation ancrée dans les hommes règne. Un curieux roman qui nous travaille une fois sa lecture achevée.
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Malheureusement, ce roman est une déception… Je ne sais toujours pas où l'autrice a voulu m'emmener, mais dans tous les cas je ne suis pas arrivée à destination !

Il faut dire que la plume de l'autrice est assez particulière… Très belle, c'est certain, mais particulière. Car elle est assez plate. Dominique Fortier explique, relate, reste dans les faits; aucune émotion, aucune description, aucune poésie dans ses mots. Alors certes, un récit qui se situe dans cette époque ne peut que nous révolter, et nous procurer par là même des émotions; mais je dois avouer que j'en attendais un peu plus. J'ai aussi eu du mal à savoir où l'autrice voulait m'emmener; elle mêle les temporalités, avec une évidence entre les époques qui est appréciable, mais dont je n'ai pas bien saisi l'intérêt.

Mais le principal problème du roman, c'est qu'on a l'impression qu'il ne s'y passe rien. Il s'y passe des choses, mais c'est relaté de manière tellement plate que ça les rend sans importance. La seule chose intéressante (du moins, que j'ai trouvée intéressante) qui se passe a lieu en fin de récit, et est donc peu exploitée. le tout sans davantage d'explications ou d'émotions. Je me suis donc profondément ennuyée pendant ma lecture…

Le fait qu'on ne soit pas dans un genre littéraire bien défini, en suivant spécifiquement un fil rouge précis, m'a gêné; cela est probablement tout l'intérêt de l'ouvrage, mais pour ma part, je n'ai pas adhéré. On peut s'attendre à un récit d'esclavage, ce n'en est pas un; ni un roman historique, ni un roman d'amitié. Il y a des éléments de chaque de ci de là, mais rien de suffisamment abouti à mon goût. J'en suis ressortie avec un goût d'inachevé, avec l'impression d'avoir lu une histoire non dénuée d'intérêt mais qui n'était pas une véritable histoire, sans nouvelles connaissances historiques. Alors oui, certaines scènes sont marquantes, mais le tout était trop fragmenté pour me toucher.

J'ai donc été assez déçue par ce roman, qui est audacieux dans sa manière de proposer son récit, mais c'est cette audace à laquelle je n'ai pas adhérée. Dommage…
Lien : https://matoutepetiteculture..
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Bonjour les lecteurs ....

Alors voici un livre que je referme et qui me laisse dubitative ...je n'ai pas " pas aimé " , mais je n'ai pas "aimé" non plus !!

Nous sommes en Louisiane à la période de la guerre de Sécession et des prémices de l'abolition de l'esclavage.
Au coeur des plantations de coton, deux fillettes grandissent ensemble. Tout les oppose. Eleanor est blanche, fille de médecin ; Eve est mulâtre, fille d'esclave. Elles sont l'ombre l'une de l'autre, soumises à un destin qu'aucune des deux n'a choisi.
Plus loin, dans l'Alabama, des femmes esclaves assemblent des bouts de tissu. Leurs courtepointes ( les quiltes) sont leur écriture , l'image de leurs vies .....

J'ai eu beaucoup de mal a accrocher au style d'écriture de l'auteure.
De plus, on dirait qu'il n'y a pas d'histoire .. l'histoire entre les 2 gamines est trop peu développée ainsi que L Histoire avec un grand H qui est plus que survolée.
L'auteure passe sans arrêt d'une période à l'autre, d'un personnage à l'autre au gré de petits chapitres décousus, ce qui donne une impression de fouillis.
On survole, on frôle mais on ne s'attarde pas ... dommage !

Ce livre assez court m'a paru interminable! Je n'ai pas réussi franchir la porte du ciel.
Histoire assez plate et qui n' a pas tenu ses promesse de quatrième de couverture !
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Il y avait là tous les ingrédients pour me séduire. Et de belles promesses.
Malheureusement pour moi, la recette ne m'a pas convaincue.
Le roman est agréable à lire mais ses points faibles ne peuvent être oubliés.
L'autrice passe d'une période à une autre, d'un personnage à un autre, dans une succession de chapitres décousus.
Elle a fini par me perdre, quelque part au milieu du roman.
Ce n'est pourtant pas faute de m'être accrochée !
Peut-être aurait-elle du se concentrer sur un seul pan de l'histoire noir-américaine et creuser l'intrigue ?
On a l'impression qu'elle s'éparpille et ne fait parfois qu'effleurer ce qui aurait mérité bien davantage.
Comme ces femmes tissant les courtepointes, Dominique Fortier a usé de mille fils pour, à l'inverse d'elles, former un tableau alourdi où l'émotion a du mal à s'installer, et ce malgré une jolie plume.
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