La Saga d'Héloïse, l'apothicaire, tome 3 : Le disparu de l'Hôtel-Dieu

D' Eric Fouassier , j'avais déjà lu "Le piège de verre" que j'avais bien aimé .
"Le disparu de l'Hôtel-Dieu" nous permet de retrouver Héloïse ,
l'herboriste , et son amant , le chevalier Bayard .
Ce roman historique fait vivre au lecteur beaucoup d'aventures d'abord
en France puis en Italie où le jeune roi , François 1er , part guerroyer .
Le roman s'achève par la victoire de Marignan .
Je ne me suis pas ennuyé du tout ....dans la 1ère moitié !
Ensuite , j'ai trouvé beaucoup de longueurs ; les longs développements politiques sur les alliances ( vraies et fausses ) entre les différentes factions alourdissent le récit et m'ont un peu perdu ....et ennuyé .
L'impression que me laisse ce livre est donc très mitigée .

Éric Fouassier a conquis mon coeur avec ce dernier tome, nous plongeant dans un drame shakespearien où le déchirement entre le chevalier Bayard et Héloïse m'a brisé le coeur. Héloïse, désormais apothicaire à l'hôpital de l'Hôtel-Dieu, voit son monde basculer lorsque son fils, Étienne, disparaît dans des circonstances tragiques. Les découvertes macabres dans les sous-sols de l'hôpital ajoutent une tension palpable à l'histoire.

Étienne, en quête de vérité, se retrouve en danger, et le désespoir d'Héloïse est palpable. Ses questions dérangent, mais elle persiste, prête à tout pour retrouver son fils, même affronter le Chevalier Bayard. Les personnages sont attachants, en particulier le jeune narrateur Étienne et le médecin de campagne qui offre une évolution captivante.

La fin, bien que frustrante, souligne le potentiel de cette histoire. Vincent Violette a su donner vie à cette saga, et j'espère secrètement une adaptation en série ou même un quatrième tome. Une conclusion exceptionnelle qui laisse une empreinte indélébile.
Mon avis détaillé
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Ce dernier tome est mon préféré de la série.
Douze ans se sont écoulés depuis la fin du deuxième opus. Les personnages ont pris de l'âge et cette maturité leur va bien. On ne s'ennuie pas une seconde, les péripéties s'enchaînent sans laisser de répit aux personnages pris dans la tourmente des pouvoirs politiques de l'époque, qui s'affrontent et tirent les ficelles en sous-main. Difficile de déjouer les complots, de faire taire les sentiments de vengeance face aux trahisons.
Heureusement, l'amour et l'amitié viennent tempérer ce climat agité des nations. Ils sont un peu l'oeil du cyclone qui offre aux personnages le moyen de souffler et de profiter d'un peu de bonheur.
Et puis, distillés çà et là, de courts passages consacrés à la médecine de l'époque, à la chirurgie et aux traitements par les plantes.
Une fois de plus, je salue le travail de recherche et d'écriture de l'auteur qui nous plonge avec talent au coeur de cette histoire chevaleresque et romanesque. La fiction se marie avec génie à la réalité historique, ce que je trouve admirable.

Fin des aventures, donc, d'Héloïse Sanglar et du valeureux chevalier Bayard.
3 tomes, avec un lien bien entendu, mais qui peuvent se lire les uns indépendamment des autres.

Mon préféré étant "le disparue de l'Hôtel-Dieu" car je trouve que c'est dans cet opus que l'auteur "sort" du schéma traditionnel : un meurtre, le coupable dans l'entourage.

Dans cette aventure, qui rappelle, comme le souligne l'auteur dans l'épilogue, les romans de cape et d'épée façon Dumas, il s'agit d'une sorte d'intrigue politique, avec du décodage de message mystérieux, sur fond de conflit de Marignan.

J'ai moins apprécié la fin, mais je n'en parle pas pour ne pas spolier le roman.
Par contre, il n' y a pas un seul moment de calme. L'aventure est haletante. J'ai vraiment eu la sensation de parcourir la ville, d'être sur le champ de bataille.

Je termine ce livre avec le regret de l'avoir lu aussi vite.

Vendu comme polar historique ce qu il n est pas, ce roman est d une rare pauvreté .Certes tout le monde n est pas Dumas ou Druon , mais il faut de la constance pour s intéresser au heurs et malheurs de dame Héloïse Sanglar et de son rejeton Etienne , quand a Bayard ce n est guère qu' un soudard sanguinaire .Ajoutez a cela quelques descriptions( répétitives )de batailles bien dégoulinantes de sang de tripes et d excréments divers et variés de demis chapitres érotico- pornographiques tristement banaux .J allais oublier ! la minutieuse peinture des hôpitaux , du début de la renaissance , pus et épidémie inclus dans le prix ,sans omettre de réciter religieusement la litanie des remèdes obsolètes et des théories fumeuses , ou pas , des doctes mires de l époque . Voila comme on produit 580 pages bien tristes et grises

Je ne m'attendais pas en lisant le disparu de l'hôtel dieu, à rencontrer Héloïse Sanglar pour la toute dernière fois. Mais c'est hélas ce que nous confirme l'auteur. Il s'agit bel et bien du dernier tome de la trilogie consacrée à l'héroïne apothicaire. En refermant ce livre j'ai donc ressenti un goût doux amer. Doux car j'avais retrouvé un lieu et des personnages que j'appréciais, amer, car la conclusion que nous propose l'écrivain n'est pas du tout celle à laquelle je m'attendais.

Concernant cette dernière aventure, l'écrivain n'est pas avare de péripéties. Ce roman s'inscrit toujours dans un courant de Capes et d'épées : batailles, complots, trahisons, énigmes, mais aussi amitié et amour rythment le quotidien de ces héros d'un autre âge. Nous suivons les protagonistes sur trois fronts différents : la mer avec le jeune Etienne qui va vivre des expériences aussi désagréables qu'incroyables, les rues de Venise et pour finir, le champ de bataille.

A nouveau, Eric Fouassier mêle chevaleresque et romanesque en alternant des scènes remarquablement sanglantes avec des scènes plus romantiques. La science fait aussi partie du récit, à travers des personnages comme Héloïse bien sûr, mais aussi son nouvel ami médecin.

Ce roman d'aventure se dévore, même s'il est pour moi, bien en dessous des deux premiers tomes et que la conclusion est décevante.

C'est avec un grand plaisir que j'ai retrouvé dans ce troisième tome de la saga d'Héloïse, l'apothicaire.
J'apprécie particulièrement le mélange qu'Eric Fouassier maîtrise parfaitement c'est à dire le roman de cape et d'épée et le roman policier.
Le couple formé par Héloïse Sanglar et le chevalier Bayard est à la fois moderne et romanesque.
On se glisse très facilement dans cette lecture.

L'an de grâce 1515, une date de l'histoire de France que chaque écolier connaît ; et qui situe le contexte du roman de « Éric Fouassier ». Après juste 8 mois de trône, François 1er avec une armée de plus de trente mille hommes s'engage dans la plaine du Pô, après avoir traversé les Alpes – un exploit comme Hannibal – et défait les Suisses commandés par le cardinal de Sion : Mathias Schinner, qui déteste la France.

La saga d'Héloïse Sanglar l'apothicaire représente le troisième tome d'une trilogie. Avec un couple de héros dans le plus pur style du roman de cape et d'épée qui entremêle les personnages de fiction avec ceux des grands noms de l'histoire. Notre héroïne va se trouver inquiéter et surtout enrôler de force dans une intrigue politique de cette époque : initiée par le besoin du jeune roi François 1er de dorer son blason avec la prise du duché de Milan mais qui va trouver sur sa route le pape Léon X et la Sainte Ligue. le morceau de bravoure en sera la célèbre bataille de Marignan, qui fut la plus sanglante de cette période. Et où se distingua, le non moins célèbre Pierre de Terrail, seigneur de Bayard.

Une épopée épique, qui sans perte de temps : relate des enlèvements de cadavres, le manège sans fin des diplomates matois de part et d'autre, de la lecture et la compréhension des codes secrets de cryptographie, du désarroi causé par les inévitables trahisons, le récit sans fard d'une abominable bataille, et malgré tout – enfin ! – des moments d'abandon. Un roman extrêmement bien documenté qui se laisse lire avec simplicité et enthousiasme.

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Nous retrouvons Héloïse douze ans après le piège de verre et sa séparation d'avec son chevalier Bayard. Elle se cache avec son fils, Étienne, à l'hôtel-Dieu de Paris.
Mais voilà que le destin croisé à nouveau sa route sous la forme d'un médaillon qui détient le secret d'un code. Son fils disparaît alors que trois cadavres sont retrouvés à l'hôtel-Dieu.
Notre apothicaire se retrouve à nouveau mêlée à des complots autour du roi de France. Il s'agit maintenant de François Ier. Elle retrouve Bayard car elle est le seul en qui elle croit pour trouver la trace de son fils.
Une nouvelle aventure entre France et Italie. J'ai bien aimé suivre les aventures du jeune Étienne notamment sur les bateaux et avec les mercenaires allemands. J'ai moins aimé l'amour sans issue entre Héloïse et Bayard. le contexte historique est une nouvelle fois très bien rendu avec notamment la bataille de Marignan. Éric Fouassier précise comme chaque fois en fin d'ouvrage les libertés qu'il a prises avec la réalité.

Cette lecture est une déception pour moi.
Le tome 2 m'avait laissé en haleine et j'avais hâte de retrouver Héloïse, et Bayard dans leurs aventures.
Finalement, ce qu'on pense être une enquête sur un double meurtre n'en est rien. C'est un livre sur la guerre, et la politique.
J'ai été lassée de ces longues intrigues politiques qui ne trouvent finalement pas de dénouement. On quitte vite l'Hotel Dieu, et on ne comprend pas le pourquoi du comment des meurtres. C'est vite écarté au profit d'un récit sur la guerre et l'horreur des champs de bataille.

Héloïse a perdu de sa fraîcheur et de sa témérité. Elle est réduite à son rôle de mère, et elle est complètement changée. C'était une déception de la retrouver comme ça. Bayard lui en revanche n'a pas changé, et c'était un plaisir de le retrouver.
On suit Héloïse dans la recherche de son fils. Je n'ai pas aimé la relation qu'ils avaient l'un et l'autre. Je n'ai vraiment pas reconnu Héloïse dans ce dernier tome, et j'ai eu du mal à m'attacher à elle. Elle est froide avec son fils, lui ment sur l'identité de son père. Elle l'aime et pourtant elle n'a aucun mot d'amour pour lui.

J'ai trouvé le récit long et pour la première fois j'ai sauté des passages.
La saga aurait pu s'arrêter au tome 2.
La fin en revanche ne m'a pas surprise.
Je le recommande pour ceux qui veulent savoir comment ça finit, mais pas vraiment pour la beauté du récit ou les intrigues.
J'ai également trouvé que l'auteur répétait souvent les mêmes phrases.