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3,76

sur 1023 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
D'excellentes critiques nous avaient conduits à choisir ce livre comme lecture commune de notre club de lecture.
Bien mal nous en a pris!
Les corrections est l'un des rares livres que j'ai abandonné en cours de lecture, incapable d'aller plus loin bien que m'étant déjà traînée jusqu'à la page 133.
La plupart de mes amis du club ne sont même pas allés jusque-là, et nous en rions encore presque chaque mois avec la pauvre Anne NY qui était à l'origine de cette suggestion de lecture commune car elle avait bien aimé ce livre. Nous cherchons toujours à comprendre pourquoi, même si les jurés du prix qu'il a obtenu sont d'accord avec elle.
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On en viendrait à penser que le lectorat de Jonathan Franzen est simplet. Tout du moins est-ce la vision que l'écrivain doit en avoir, à en croire le luxe de détails et la précision chirurgicale dont il fait preuve pour décrire les sensations, émotions, ressentis de ses personnages. Impossible de laisser son imaginaire vagabonder sans être immédiatement rappelé à l'ordre par une avalanche de mots plus précis les uns que les autres.
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Certes, Jonathan Franzen cultive un style hyperréaliste en étroite harmonie avec les messages dont ce roman est le puissant vecteur, et cette alliance du fond et de la forme pourrait être une vraie réussite. le monde qu'il dépeint est sordide, corrompu, égoïste et individualiste, à en avoir froid dans le dos. La critique est féroce et Jonathan Franzen est un fin observateur de son époque. Mieux : non seulement il examine, mais en plus il décrypte brillamment les vicissitudes de la société américaine. Alors qu'est-ce-qui cloche entre Jonathan Franzen et moi?
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Peut-être est-ce l'effet Vieille Europe versus Jeune Amérique? Toujours est-il que la prose de Franzen fait l'effet d'un Big Mac après des années de repas gastronomiques. C'est lourd, indigeste et l'ennui s'installe rapidement face à un tel manque de subtilité. le style gagnerait à acquérir un peu de fluidité et de mélodie (à défaut de poésie) pour faciliter la lecture.
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Pour autant, certains romans marient avec brio critiques sociologiques et politique, et une écriture remarquablement rythmée, agréable à lire, comme les livres de Russel Banks. Mais en littérature comme dans les autres arts, la beauté reste un jugement subjectif soumis à l'appréciation intime du spectateur.
Lien : http://litteratureetchocolat..
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je croyais retrouver le talent de Jonathan Franzen que j'avais apprécié dans Freedom. Mais, là, je suis déçu. Dès le début, les personnages m'ont déplue. l'écriture aussi, très tarabiscotée, embrouillée, fatigante. Voilà, je suis en panne. Pourtant j'ai lu d'excellentes critiques : Sachenka et Pyrouette. qui sont fort claires et agréables, (dans Babelio). J'ai retrouvé en attendant ,le livre de Paul Nizan, le Cheval de Troie, qui n'a rien à voir, mais les premières lignes sont d'une telle clarté par comparaison, que je crois bien que je vais le relire..Pourtant j'ai envie "d'Amérique" alors, je ne sais plus.
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Un des rares bouquins abandonné en cours de route en 2013 (déception partagée par d'autres connaissances concernant ce roman, c'est rassurant).
Il faut se rendre à l'évidence, et ne pas s'échiner à vouloir terminer à tout prix une lecture avec laquelle on n'éprouve aucun plaisir : il y a tant de romans formidables encore a découvrir !
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rien.... il ne se passe rien...
Les premières pages que de la description du bazar de la maison, ..., aucun intérêt à mon sens.
J'essaie, j'essaie... de rentrer dans l'histoire, impossible pour moi.
aucun intérêt. D'autres livres dans ma bibliothèque attendent d'être lus ou relus.
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Ouf, c'est vraiment trop lourd, je ne pourrai pas finir ce gros hamburger. Je reste coincée à la page 350 sur 694. L'article de Télérama sur son Freedom sorti à la rentrée m'avait donné très envie. Mais sa dissection à n'en plus finir, dans un style vraiment très américain (jusqu'à la description de leurs mimiques tellement exaspérantes au cinéma) des états d'âme de son ingénieur parkinsonien me restent sur l'estomac. Qui en veut ?
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Décevant. J'avais entendu / lu tellement de bien de ce roman. Il n'a pas été à la hauteur de mes espérances !
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Je ne suis pas du tout rentrée dans l'histoire de cette famille américaine ! Impossible pour moi de suivre les péripéties ni des fils, ni de la fille, ni des parents. Résultats : abandon à la page 375 au bout de 15 jours…
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