AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,7

sur 52 notes
5
2 avis
4
5 avis
3
3 avis
2
2 avis
1
0 avis
Un androïde aux services des humains, en qualité d'une sorte de domestique d'une famille au sein de laquelle le mari et père d'un enfant a des comportements humains bien classiques tels que tromper sa conjointe, participer à des séances sado-maso et même aller jusqu'au meurtre.

Le robot, Kielko, observe et comprend bien des choses. Il s'occuper surtout de l'enfant, admire la plastique de la mère, exposée au bord de la piscine et, finalement, protège toute la famille.

Ce tome 4 m'a permis de renouer avec plaisir avec cette série qui commençait à me lasser. Dans cet opus, on a une vraie intrigue familiale, classique certes, mais vue sous l'angle des perceptions de l'androïde. Celles-ci se transforment en émotions, il ressent le besoin de pleurer et la vue du sang le fascine. Il finit par couler pas mal au fil de l'histoire et les larmes de Kielko viendront à la fin.

Une fin originale, peut-être différente de celle qu'un lecteur hétérosexuel aurait souhaitée, un fin sacrificielle qui exalte les plus nobles sentiments humains vécus par un robot, sauver à tout prix l'objet d'un amour.

Les planches sont réussies, belles quelquefois, les corps sensuels, les expressions du robot bien travaillées. Les larmes de Kielko ne font pas pleurer mais transmettent l'émotion ressentie par une machine et de ce point de vue c'est une réussite.
Commenter  J’apprécie          650
Los Angeles 2037.

Je m'appelle Kielko. Je suis un androïde au service de la famille Morgan qui comprend une femme, Dorothy, un homme, Grady, et leur enfant, Kylian.

Nous, les androïdes, bénéficions d'emblée de la sympathie des enfants. Nous faisons partie de leur univers.
Je suis très intrigué par les comportements humains et leurs phases émotionnelles. J'aime les observer pour en déduire leurs émotions ou leurs réactions. Je me sens bien (mais puis-je vraiment ressentir ?) lorsque je me trouve au milieu d'une foule des miens et des humains ? le contact de tous ces gens crée une surcharge positive de mes circuits. Assister aux activités humaines est un spectacle de tous les instants, même si les exemples ne manquent pas quant à la fragilité de leur enveloppe corporelle. J'accompagne souvent monsieur Morgan lors de ses sorties. J'apprends beaucoup de choses, par exemple, lorsque Grady s'isole avec une autre femme que la sienne.
Je suis fasciné par le sang…

Critique :

Un livre qui laisse circonspect. Se pourrait-il qu'un jour, un jour prochain, un androïde ou une machine puisse éprouver des sentiments ? A force d'avoir une intelligence artificielle qui apprend par elle-même ne va-t-elle pas finir par découvrir quelque chose qui ressemble à des émotions humaines ?

Le scénario de Jean-Charles Gaudin peut complètement nous désarçonner par le côté très doux de Kielko qui ressemble à un membre de la famille Morgan, même si la même complicité n'existe pas entre l'androïde et Dorothy qui se méfie de cette machine et voudrait préserver son intimité alors que son mari n'éprouve aucune gêne dans les mêmes circonstances. Quant à l'enfant, il ne semble guère faire de différence entre l'androïde et une personne vivante. Pourtant, le robot dans ce récit ne ressemble pas à un humain physiquement même s'il a deux jambes, deux bras, deux yeux, etc. Il conserve sa carcasse métallique et même certains circuits électriques sont visibles.

Mais finalement, le plus « humain » de cette histoire n'est-ce pas Kielko, l'androïde ?

Comme je ne tiens pas à divulguer l'intrigue du récit, histoire de ne pas finir lapidé, crucifié ou balancé dans le canal les pieds pris dans un bloc de béton, je vous invite à découvrir l'aventure par vous-mêmes en mentionnant toutefois qu'il y a un côté polar sentimental affirmé.

Le dessin de l'Italien Viska est tout à fait convaincant, d'autant qu'il s'accompagne d'une mise en couleurs très douce effectuée par Bertrand Benoît et Digikore Studios (immense studio de dessin et de coloriage situé en Inde).
Commenter  J’apprécie          212
Quel beau projet des éditions Soleil ! Quatre équipes d'auteurs, quatre récits complets, un seul thème : l'androïde.
Une belle épigraphe d'Isaac Asimov, commune aux quatre tomes, sur les trois lois de la robotique…
Une superbe collection de BD dans laquelle je me suis plongée avec grand intérêt. Dans l'univers des intelligences artificielles, l'androïde est la seule machine à forme humaine, construite à l'image de l'homme avec un physique et des caractéristiques apparentées…

Le quatrième et dernier tome de la série nous plonge dans le ressenti d'un androïde et dans la manière dont il voit et considère les humains, ses propriétaires. le titre de cet album de Jean-Charles Gaudin et Viska, Les Larmes de Kielko, annonce déjà une humanisation de la machine, les manifestations d'une émotion…

D'emblée, ce tome m'a plu par la qualité du texte et la beauté des graphismes. le contraste est saisissant entre les planches dans les tons gris bleuté où le robot est seul en scènes et celles, beaucoup plus colorées, où évoluent les humains.
Kielko observe et raisonne tandis que le couple qui l'utilise ne voit de lui qu'un objet utilitaire, un « super ordinateur sur pattes » ; il se comporte pourtant et réagit presque mieux qu'un être humain tant il est empathique, discret, pédagogue, prévenant et responsable. Ses émotions, codifiées par des algorithmes, sont souvent plus vraies que nature. À ses côtés, l'humain paraît bien superficiel avec ses travers, ses trahisons, ses désirs, sa course après la réussite, ses pulsions non maîtrisées.
Kielko est cependant une I.A. hors normes, capable de se documenter par lui-même et de profiter des microfailles de son système de programmation pour combler des « vides structurels », braver les interdits et se créer une forme d'âme.

Le JE de Kielko devient de plus en plus éloquent ; les expériences vécues s'ajoutent automatiquement à ses données et diversifient sa programmation et il voit et analyse tout ce qui se passe autour de lui dans la famille de ses propriétaires, un couple et un garçonnet, que nous suivons dans toute son intimité et au-delà.
Puis le déroulement du récit se complique comme si un narrateur omniscient amenait son propre point de vue plus distancié ; une enquête policière est menée de façon plutôt classique.
Quand Kielko reprend enfin la parole, pour le dénouement, c'est pour une belle montée en puissance tant narrative que graphique.

Un magnifique album !

https://www.facebook.com/piratedespal/

Commenter  J’apprécie          90
2037, Kielko est un androïde qui sert la famille Morgan depuis plusieurs années. Comme tout androïde, il n'a pas de sentiment et pourtant il est fasciné par ce mystère, par ses relations complexes entre humains. Jusqu'où ira-t-il pour comprendre ce qu'un Androïde ne peut pas ressentir?

Très bon tome de cette série Androïdes composée de 4 tomes indépendants réalisés par un couple d'auteur différent. A priori elle a l'air de se terminer par ce tome 4 puisque la quatrième de couverture nous promet "4 récits complets autour d'un seul thème : l'androïde".
Dans celui-ci on explore le sentiment humain, le ressenti, la passion qui différencie justement l'homme de la machine. Mais la frontière semble toujours ténue. C'est sur cette ambiguïté que joue le scénariste pour nous raconter l'histoire de Kielko et de la famille Morgan.

Le dessin reste classique mais très bien réalisé, dans les codes de ce qu'on attend pour ce genre de BD. La lecture y est fluide, les expressions facile à lire. C'est plaisant à regarder comme à lire.
Commenter  J’apprécie          90
Je ne sais pas trop quoi penser de cette bd. Cette série compte 4 tomes qui ne se suivent pas mais dont le point commun, le thème central est l'androïde.
Ici il est question de l'artificialité de l'androïde confronté aux sentiments humains, intimement liés dans une réflexion qui taraude le personnage principal Kielko, dont on devine les intentions dès les premières lignes. Ces humains qui le passionnent et qui l'intriguent en même temps est un modèle pour lui. Il les étudie afin de devenir l'un d'eux. En début de tome, Jean Charles Gaudin nous rappelle que : " un robot n'est pas tout à fait une machine. Un robot est une machine fabriquée pour imiter de son mieux l'être humain." Cette phrase d'Isaac Asimov prend tout son sens dans cette bd et le scénariste va même plus loin, puisque le dit robot ne se contente pas seulement de nous ressembler. je n'en dirai pas plus sous peine de dévoiler toute l'intrigue.
Il est intéressant de noter le parti pris de l'auteur. En effet cet androïde, complètement artificiel même s'il est doté d'un système d'interfaces et d'un niveau "d'intelligence" suffisant lui permettant de "considérer" les sentiments humains, de les analyser et de les "intégrer" à son propre système, observe les êtres humains, les êtres vivants, que ce soit dans leur vie, ou leur mort ( il note la fragilité de nos enveloppes charnelles) et se pose comme un étudiant. Mais ces êtres humains observés ( un couple et un enfant) sont présentés dans leur quotidien comme des êtres pratiquement artificiel. Il est difficile de croire en leur état vivant, naturel, tellement leur vie n'est qu'en réalité un vaste mensonge, une supercherie, un ersatz de vie humaine. Tout est dans le paraître. l'auteur va même jusqu'à faire du personnage principal un peintre, qui vit de ses expositions. Quant à sa compagne, on ne sait d'elle si ce n'est qu'elle voyage pas mal, qu'elle s'absente du domicile régulièrement. L'artificialité de leur vie ne pouvait qu'aboutir à ce que l'on devine, le mari trompe régulièrement sa femme pour satisafaire ses pulsions. C'est plutôt convenu mais cela prendra tout son sens dans le dernier acte de la bd. En effet, l'androïde, dans sa quête d'humanité ira jusqu'à protéger son modèle et même se faire son complice, jusqu'au drame final. .
J'ai du mal à comprendre le dénouement et la position de l'auteur, et je n'ai su me positionner moi même tant il n'est pas clair. La dernière scène montre bien à quel point le parallèle artificiel/ sentiments est traité, et qu'il est bien le sujet du récit, mais c'est dans sa résolution que quelque chose me gêne.
Sur le fond comme sur la forme, cette bd est tout de même bien foutue mais je doute que le sujet traité n'intéresse plus que cela, les amateurs de sf.
La note est à l'image de mon avis... incertain...
Commenter  J’apprécie          80
Une série plutôt très bonne exceptée le troisième tome en dessous des autres.
Une fois de plus celui-ci nous montre la complexité de l'être humain et des sentiments, que tout ne peut pas être codifié, interprété et anticipé. Et ça toujours grâce à un robot, ici Kielko, presque aussi humain que les hommes mais qui cherche à mettre en évidence ces maigres différences.
Kielko est très attachant et intéressant, entre les règles fixés et ses propres "désirs" et "émotions". Il nous aide à nous poser des questions sur notre propre nature.
En comparaison, les Morgan semblent des sujets d'études qui nous servent, à Kielkio comme aux lecteurs, d'échantillon pour voir ce que fait la nature et pour approfondir les recherches et les exemples. Sans être véritablement attachants, on se lie facilement à eux et on les suit avec plaisir et questionnements.
L'histoire de fond est difficile à résumer, intéressante et prenante, mêlant interrogations, émotions et actions. La fin est assez surprenante et triste.
Les dessins sont agréables et efficaces. La colorisation très réussie.

C'est presque à regret qu'on laisse ce dernier tome, en tout cas programmé, d'Androïdes, qui a su nous surprendre dans le fond.
Commenter  J’apprécie          60
Kielko est un androïde comme les autres, un assistant de maison qui cuisine, qui garde les enfants et qui aide à toutes sortes de choses. Mais en fait pas tout à fait comme les autres, car Kielko se pose beaucoup de questions et tente de comprendre beaucoup de choses... des questionnements qui vont l'emmener vers la limite de l'intelligence artificielle...
Cette histoire développe une question Ô combien courante dans le monde de l'intelligence artificielle, le robot peut-il ressentir des émotions et prendre des décisions de sa propre initiative ? C'est ce qu'est censé empêcher les trois lois de la robotique... et c'est bien là la faille de cet album qui ne respecte pas ce point. Et c'est une faille car, quand on met en préambule du récit les trois lois de la robotique, c'est pour les respecter ou trouver un biais pour se dégager de ces lois...
Une histoire intéressante mais dont le récit est biaisée par cette conclusion ratée.
Commenter  J’apprécie          30
Je publie des chroniques littéraires sur lavisqteam.fr et celle de cette BD est présente au lien suivant : http://www.lavisqteam.fr/?p=31000

J'ai mis la note de : 18/20

Mon avis : Quatrième volume de la série Androïdes des éditions Soleil Anticipation, Les larmes de Kielko touche, surprend, choque et nous montre une toute autre facette des robots intelligents, une nouvelle vision qui diffère totalement des trois autres.

Dans cet univers qui n'est pas très éloigné temporellement du nôtre, les androïdes font partie intégrante de notre environnement. Ils sont très utiles et permettent aux gens de se décharger d'énormément de tâches. le rêve, quoi ! On suit très vite une famille, les Morgan, qui se servent de leur androïde pour cuisiner, surveiller leur enfant unique, s'occuper de lui, gérer quelques tâches de gestion de la maison et se souvenir de toutes informations importantes.

Différemment aux autres volumes, l'androïde est décrit ici comme un réel utilitaire. Physiquement, même s'il est humanoïde, il n'y a pas d'effort particulier pour cacher ses circuits électroniques et le fait qu'il ne soit pas fait de chair. Régulièrement, il doit être rechargé pour fonctionner et a donc des états de veille comme les machines que nous connaissons.

De plus, au même titre que les trois lois de la robotique, les androïdes comme Kielko apprennent diverses normes sur les humains et se doivent de les respecter si ce n'est de les comprendre. La BD nous en fait part à de multiples reprises et permettent au personnage principal de nous partager ses réflexions sur l'être humain qu'il admire par-dessus tout et qui diffère totalement de ce qu'il est. Par exemple, à la page 3, Kielko essaie de comprendre les passions amoureuses et détaille « l'annexe à la nomenclature d'accès 1-A [qui] parle d'attraction, de passion ou de désir ». Ces passages nous aident également à mieux cerner ce que l'auteur entend par « androïde ». Sa réflexion est intéressante et pertinente. Toute la BD est portée par ces idées, par les sensations de Kielko et sa fascination pour l'être humain. Une machine peut-elle ressentir de l'amour, des sensations ? Ces choses peuvent-elles s'apprendre même via le biais d'une intelligence artificielle de haute volée ? La fin de ce tome étonne et répond à ces questions d'une manière plus complexe que prévue et que l'on ne voit pas forcément arriver.

La BD tourne rapidement au thriller avec des meurtres qui s'enchaînent. La famille Morgan traîne dans des affaires louches et malsaines. Tout est fait pour nous mener là où l'auteur le veut et cela est très bien monté. On ne se rend compte de rien et on est tenus en haleine tout le long de la lecture. Les planches montrent le minimum, nous laissant nous imaginer la suite, et ne donnant pas de détails superflus. Une fixette est marquée sur la personne de Madame Morgan, nous la montrant sans cesse à travers les yeux de Kielko. Perversion, crimes, tromperies, ce volume décrypte l'âme humaine et le coeur d'une machine d'une façon prenante et captivante. On s'attache malgré nous à cet androïde.

La fin est surprenante, même si certains lecteurs vont la sentir venir. Elle est très bien menée et est réellement touchante. Elle nous amène à réfléchir sur plusieurs aspects de la technologie et des sensations qui empêchent la raison de s'affirmer, chez l'humain comme chez la machine. le titre est d'ailleurs assez équivoque et n'est compris qu'à la toute fin. Les fameuses lois de la robotique sont ici décryptées avec soin et nous font nous poser de multiples questions.

Les dessins, comme pour les autres volumes, sont magnifiques et nous font voyager et rêver. On est vite embarqués dans ce monde étrange où les nouvelles technologies foisonnent. La BD commence en 2037, à Los Angeles et l'on peine à croire que dans 20 ans nous en serons là où le scénariste le pense. Cependant, les inventions ne sont pas exagérées, et ne nous montrent pas un futur totalement surréaliste, ce qui nous permet une meilleure immersion et donne une meilleure crédibilité.

La frontière entre l'Homme et la machine n'a jamais été aussi ténue que dans ce tome-ci qui clôt la série avec succès. La science-fiction et les questions sur l'androïde sont souvent au cours des débats et passionnent les foules.

Cette BD se lit vite malgré le nombre de pages excédant le total habituel (56 au lieu de 48). L'histoire est complète, complexe, la psychologie des personnages est détaillée suffisamment pour nous plonger dans les aventures de Kielko. On ne s'ennuie pas et on en redemande !
Lien : http://www.lavisqteam.fr/?p=..
Commenter  J’apprécie          30
Un androïde qui sert et observe le quotidien d'une famille aisée...

... quoi d'autres ? Pas grand chose à dire pour ce dernier récit "Androïdes". Contrairement au premier, on n'y trouve pas assez d'originalité, l'intrigue est mièvre et les personnages vraiment pas attachant (peut-être un peu l'enfant de la famille et encore...).

Le mieux de la BD sont les dessins, qui une fois encore, sont beaux et colorés.

Bref, dans cette série, j'ai été très agréablement surpris et envoûté par le tout premier. le second tome moyen et les deux derniers vraiment passables. :)
Commenter  J’apprécie          20
Il y a du bon et du moins bon dans ce tome. Je vais commencer par ce qui m'a dérangée :

- tous les androïdes représentés ont une morphologie masculine (bonjour la diversité)
- toutes les femmes sont des bimbos grandes maigres avec de gros seins
- l'androïde au coeur de l'histoire porte un regard bien trop masculin pour une I.A. (si c'est un intérêt général sur le comportement humain, il devrait autant regarder des fesses d'hommes que de poitrines de femmes, non ?)
- le tome commence d'emblée avec une scène de sexe

Le sujet traité : une I.A. qui transgresse ses protocoles pour assouvir sa curiosité est plutôt intéressante mais pas très bien exécutée. Je pense que l'idée de base aurait été carrément bien pour une BD sf-érotique mais là c'est juste un voyeurisme sans queue ni tête.

Chers messieurs les scénaristes, dessinateurs et auteurs : il y a énormément de femmes qui lisent de la SF aussi, essayez d'être un peu plus pertinents, de représenter un peu plus de diversité.

On traite des déviances possibles d'une I.A., ça peut faire froid dans le dos mais je trouve que ça méritait d'y aller plus franchement ou alors de choisir un autre angle d'approche que le sexe.

Sinon, pour le positif : les dessins sont soignés, colorisation propre, sujet intéressant.
Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (104) Voir plus



Quiz Voir plus

Les personnages de Tintin

Je suis un physicien tête-en-l'air et un peu dur d'oreille. J'apparais pour la première fois dans "Le Trésor de Rackham le Rouge". Mon personnage est inspiré d'Auguste Piccard (un physicien suisse concepteur du bathyscaphe) à qui je ressemble physiquement, mais j'ai fait mieux que mon modèle : je suis à l'origine d'un ambitieux programme d'exploration lunaire.

Tintin
Milou
Le Capitaine Haddock
Le Professeur Tournesol
Dupond et Dupont
Le Général Alcazar
L'émir Ben Kalish Ezab
La Castafiore
Oliveira da Figueira
Séraphin Lampion
Le docteur Müller
Nestor
Rastapopoulos
Le colonel Sponsz
Tchang

15 questions
5246 lecteurs ont répondu
Thèmes : bd franco-belge , bande dessinée , bd jeunesse , bd belge , bande dessinée aventure , aventure jeunesse , tintinophile , ligne claire , personnages , Personnages fictifsCréer un quiz sur ce livre

{* *}