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4,12

sur 960 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'ai lu tous les Gemmell. Je les ai tous adorés : celui-ci fait exception à la règle ! A mi-chemin entre le western et le péplum, DG se lance grosso modo dans la fantasy à capuche 15 ans avant tout le monde… mais avec beaucoup de maladresses tant sur la forme (action non stop) que sur le fond (deus ex-machina à répétition). Constitué à 90% de scènes d'actions qui s'enchaînent sans aucun temps mort, on peut adorer comme être rapidement saoulé. On peut y voir l'influence des films eighties, mais on peut aussi y voir un roman mal pensé et donc au final mal exécuté. AMHA un DG dispensable et c'est bien dommage car souffle épique et morceaux de bravoure étaient présents quand même.

Dès le prologue des visions, des prophéties, un Elu… S'il cela avait été un autre que Gemmell, je me serais arrêté là ! Et côté psychologie cela évoluent tellement rapidement et radicalement que cela en est presque ridicule :
- Waylander passe de Voleur d'Âmes à preux chevalier en quelques pages
- Dardalion passe de bouddhiste zen à templier vengeur en quelques pages
On retrouvait les mêmes relations dans l'excellentissime western "Le Dernier face à face" où un universitaire tuberculeux se laissait contaminer par la violence d'un hors-la-loi analphabète, lui-même contaminé par l'humanisme de son prisonnier, mais avec une finesse psychologique stratosphérique par rapport à ce roman.

On retrouve le style maladroit des débuts de "Légende" mais en pire : on passe d'une scène à l'autre en alternant action et palabre sans aucune transition, bref cela manque cruellement de liant voire de consistance et je peine à reconnaître l'auteur qui m'a séduit avec ses personnages et ses ambiances douces-amères dans ses oeuvres postérieures ("Lion de Macédoine", "Rigante", "Troie"…).

La quête de l'Armure de Bronze en territoire nadir ressemble à s'y méprendre à une aventure western : c'est très cool ! le siège de Dros Purdol fait alterner moments d'héroïsme et moments de désespoir : c'est très cool ! Mais si les 2 fils directeurs se laissent bien lire séparément, ils forment un tout plutôt brouillon et décousu… Sans parler de l'épilogue qui m'a laissé comme celui de "Qushmarrah" de Glen Cook un goût amer : on a l'impression de passer à côté d'une grande saga qui n'a pas été écrite tant les pistes ouvertes semblaient prometteuses.

Il y a une foultitude de personnage secondaires assez intéressants (on retrouvera quasiment tel quel les trouffions de Dros Purdol dans "Troie" où les soldats thraces ressemblent beaucoup aux soldats vagrians) : c'est assez frustrant qu'ils n'aient pas été développés car l'auteur préfère se concentrer sur un Dakeyras en pleine crise d'identité mais ce dernier n'est qu'un prototype de Jon Shannow (nettement plus travaillé et donc nettement plus abouti).

Pour le reste la magie gemmellienne fait quand même son oeuvre : embuscades, escarmouches, poursuites et cavales, infiltrations et assassinats, batailles et sièges désespérés… avec ici et là des pépites d'humanité qui tirent la larme à l'oeil. Ce qui m'a bien soûlé par contre c'est tous ces quasi deus ex-machina pour dénouer les pétrins dans lequel l'auteur fourgue régulièrement Waylander qui nous font dépasser la frontière de la suspension d'incrédulité !!!

Le livre accuse son âge non dans l'absolu mais dans sa position dans la bibliographie de l'auteur : dans la même niche, "Loup Blanc" par exemple lui est nettement supérieur sur tous les plans ! Mais c'est peut-être aussi l'esprit d'une époque (le livre est sorti en 1986) : je retrouve dans ces premiers Gemmell le manga "Hokuto no Ken" avec son univers violent et désespéré où les assassins vengeurs alternent bastons et palabres pour défendre la veuve et l'orphelin, rétablir la paix et la justice sur terre tout en trouvant la rédemption dans les bras de leur dulcinée !
Sans parler des méchants qui se sacrifient pour le gentil et des femmes au fort caractère piégée dans le rôle réel ou symbolique de demoiselles en détresse…
Lien : http://david-gemmell.frbb.ne..
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Ce roman, le troisième publié dans le Cycle de Drenaï, se déroule chronologiquement avant les deux précédents (Légende et le Roi sur le Seuil). Waylander, guerrier et assassin, dont la famille a été tuée par une des hordes de soldats ravageant le pays, est un mercenaire qui a exécuté le roi. Désabusé, toujours fort mais se sentant vieillir, nous découvrons un homme qui n'attend plus rien. Mais au cours de ses pérégrinations, il va rencontrer diverses personnes qui le feront évoluer (évidemment, car Gemmell n'est pas un auteur pessimiste), et surtout il sera investi d'une mission cruciale pour que son peuple gagne cette guerre sanglante : s'emparer d'une mythique armure cachée dans une contrée ennemie.

Parlons d'abord des bons éléments : un univers dangereux à souhait, installant un décor de Dark Fantasy qui ravira les amateurs du genre, des personnages sombres ou gris (au début de l'histoire), des descriptions et une atmosphère qui nous plongent dans un monde dévasté par des groupes de soldats devenus des meutes qui tuent, violent et pillent. David Gemmel sait rendre crédible ce monde où peu d'espoir est permis, dans une ambiance de déliquescence où la mort est omniprésente.
Mais l'histoire elle-même est sans grand intérêt. Aucun enjeu ne ressort, et j'ai fini par être indifférente aux destins des personnages.

J'avais été emballée par la dernière trilogie de l'auteur (Troie), et j'avais apprécié ses deux premiers romans (Légende et le Roi sur le Seuil). Mais là, patatras ! Je ne suis jamais entrée dans l'histoire : la faute à une trame où rien n'est mis en valeur, une narration qui survole les actions, et une longue suite d'événements collés les uns aux autres sans qu'aucun ne marque le lecteur. La multitude de personnages secondaires ne sert pas le récit, car peu d'entre eux sont mémorables ; j'ai parfois eu l'impression d'un scénario de jeu de rôle où seule comptait la castagne à chaque étape. La castagne, parlons-en : les scènes de bataille entre les armées et les combats avec les monstres sont expédiés en peu de paragraphes, un comble pour ce type de roman !

Quant au héros, Waylander — en charge d'une quête présentée comme essentielle pour vaincre l'ennemi — il entame son voyage pour trouver la mythique Armure de Bronze uniquement quand il le veut, c'est-à-dire très tard dans l'histoire. Et une fois que les « gentils » se sont emparés de l'objet tant convoité, celui-ci est exploité en deux phrases et son utilité s'arrête là. Euh ?

J'ai lu la seconde moitié en diagonale : même la fin ne m'a pas enthousiasmée. J'espère que les romans suivants relèveront le niveau (et mon intérêt pour poursuivre la saga).

Lien : https://feygirl.home.blog/20..
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Quand on aime la fantasy, et même si l'on n'a pas commencé par les bases, c'est bien d'en lire un jour les classiques fondamentaux. Gemmell est à cet égard l'un des noms les plus cités.

La fantasy des années 1980 n'est pas vraiment ma tasse de thé. Alors, pour plus de sûreté, je me suis laissée guider par une amie experte du genre qui me conseillait de lire Waylander. Elle a très bien fait, je n'en doute pas. Je suis convaincue que j'aurais lâché les autres avant la fin.

Je ne vais pas me lancer dans un résumé de l'histoire. Juste partager deux-trois points de réflexion avec vous, amis babéliotes. J'ai ainsi remarqué que beaucoup de lecteurs se plaignent de la lenteur de l'action des romans de Robin Hobb. Et je n'ai cessé de penser à cet état de fait en lisant Waylander. Bah oui, moi, j'aime le rythme lent de Hobb et l'immersion progressive mais parfaite dans un monde où on ne distingue aucune lézarde. Je lis pour changer de monde et je ne veux pas être distraite par des questions du style : « Mais est-ce que c'est possible ? », « Mais d'où il sort, lui ? », « Mais comment il peut faire ça après avoir fait ça et subi ça ? ».



Bref, moi qui aime les chutes en profondeur dans la psyché des personnages, je suis un peu restée sur ma faim… Aucun des personnages ne m'a paru consistant et, pourtant, je ne demandais qu'à croire en eux : en bonne groupie bêtement fan de bad boys, j'ai même eu un coup de coeur pour Waylander dans les premières pages. Avant de réaliser que tout ça sonnait creux.

Alors, évidemment, côté actions, il y en a. Et c'est là que je repense à Robin Hobb. Et que je me dis que, décidément, tous les goûts sont dans la nature. Vous ne voulez pas passer cent pages à lire le quotidien d'un gamin bâtard dans un château, ou trente autres consacrées à la description d'une fête dans laquelle déambulent de jeunes élèves militaires ? Pour l'action trépidante, lisez Gemmell. Vous voulez savourer le moindre détail d'un monde et vous mouler dans les pensées des personnages que vous suivez ? Là, passez votre chemin. de toute évidence, ces romans-là ne sont pas pour vous.

Donc, pas pour moi, mais j'aurais essayé.
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Un livre qui n'a pas fait pour moi. L'histoire tourne autour de guerres et de combats. Je n'ai pas accroché aux personnages. A vrai dire, je me suis ennuyée, je n'arrivais pas à m'imprégner de l'histoire. J'ai laissé tomber. Je voulais un bon livre de fantasy, à la manière de L'assassin Royal ou encore du Nom du vent mais je me suis trompée de style apparemment. Dommage
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Après une terrible déception sur un roman contemporain, je change de cap pour m'embarquer dans la fantasy et là, ce ne fut pas satisfaisant non plus. C'est la première fois que je lis un roman de ce célèbre auteur mais je n'ai pas été conquise.
Deux scénarios se croisent dans ce livre. L'un suit les multiples batailles livrées par les soldats drenaïs pour empêcher l'armée vagrianne d'envahir leur territoire. Pour ceux qui aiment le côté épique de la fantasy, vous allez vous délecter: du sang, des soldats valeureux prêts à se battre jusqu'à leur dernier souffle, des forteresses à tenir, des combats à la hache, à l'épée, au sabre etc...C'était un peu trop répétitif à mon goût donc je me suis ennuyée.
L'autre partie suit les péripéties de Waylander dans sa quête de l'armure de Bronze, censée donner la victoire à celui qui la porte. Il va affronter toute une panoplie d'ennemis comme des mercenaires sanguinaires ou des créatures démoniaques. Si on le décrit brièvement, on peut dire qu'il s'agit d'un homme solitaire, hanté par un passé douloureux, mais qui se repent de ces mauvaises actions en accomplissant cette quête désespérée.
Mais plusieurs points m'ont agacé ! D'abord, l'ensemble est trop linéaire et superficiel. Les évènements sont racontées à la va-vite et auraient méritées plus de profondeur. L'auteur s'éparpille et laisse de côté des aspects qu'il aurait pu creuser : par exemple il n'évoque qu'en une seule ligne la marche dans la montagne de l'armée conduit par le général Karnak alors que ça aurait pu faire une belle partie. Il ne décrit pas non plus fonctionnement de la magie, ni les causes de la guerre et encore moins l'origine mystérieuse de Kaï. Bon, j'arrête sinon je referai tout le livre!
Ensuite, les changements brusques des personnages principaux m'ont paru peu crédibles, et je le répète, superficiels. Waylander, d'assassin égoïste devient en quelques heures un "preux chevalier" prêt à chercher une armure. de même Dardalion, prêtre pacifique se transforme du jour au lendemain en guerrier magique avec des pouvoirs prodigieux . Et Danyal, une femme fragile, se métamorphose après quelques jours d'entraînement, en une redoutable manieuse de couteaux et de sabres.
Il y a trop de personnages secondaires, sans grande consistance, mais qui sont justes là pour changer inopinément le cours catastrophique des évènements.
Le style d'écriture est simple, mais se limite aux scènes d'actions et à des dialogues. La fin est bâclée, comme si l'auteur était pressé de finir et qu'il a jeté sur le papier tout ce qui lui venait à l'esprit.
C'est la première fois que je le dis sur ce blog (et ça me chagrine croyez-moi !) mais c'est vraiment un livre pour des mecs ! Voilà, je suis déçue mais je ne sais pas quoi vous recommander.
Lien : http://leslecturesdehanta.co..
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x Abandon x
Le Roi de Drenaï a été assassiné. L'armée voisine en profite pour envahir le pays qui n'est plus qu'un immense champ de bataille.
Waylander, assassin réputé, est un solitaire. En croisant la route de Dardalion, un jeune prêtre de la Source, sa destinée va être ébranlée. Il acceptera de s'aventurer en territoire Nadir pour ramener la célèbre armure de bronze, qui pourra sauver le pays.
.
C'est rare mais je n'ai pas terminé ce livre. Pourtant grande fan des romans fantasy, le charme n'a pas pris ici.
L'auteur nous décrit dans ce récit de multiples scènes de combats et une guerre à laquelle je n'ai pas tout saisi. Et dans ce décor, David GEMMELL nous fait suivre les aventures de personnages manquant de reliefs et de caractère; et auxquels donc, je n'ai pas réussi à m'attacher. le seul qui m'intriguait un peu fût le prêtre Dardalion, en plein dilemme moral (au moment de ma lecture) entre son ordre à l'idéologie pacifique et sa volonté de se battre pour défendre la veuve et l'orphelin.
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J'avais beaucoup aimé Légende et son univers, le ton héroïque du récit d'un combat désespéré. L'ambiance lourde émaillée de bravoure avait été un gros point fort du récit. Je m'attendais à la même intensité avec l'histoire de Waylander…

Et c'est un peu raté. Tout d'abord, j'ai très peu apprécié la plupart des personnages, même Waylander et surtout Danyal. Cette dernière n'a absolument aucun rôle dans l'histoire si ce n'est de servir de “récompense” amoureuse au héros. Oui, on est dans le stéréotype. Et il en est de même pour Waylander qui ne m'a jamais surprise dans son rôle d'anti-héros sombre et torturé cachant un grand coeur tout mou. J'ai été également déçue de voir qu'un très grand nombre de personnages secondaires ne sont presque pas exploités ! Mention spéciale à Egel, le fameux Egel, que j'ai attendu encore et encore... Quoi qu'il en soit, j'en ressors avec une impression de gros fouillis : trop de personnages trop peu travaillés, pas orignaux ni attachants et qui ne font qu'encombrer le récit.

A partir du moment où les protagonistes principaux me déplaisaient, il était bien plus difficile pour moi d'entrer dans l'histoire. Ceci dit, nous parlons ici d'un livre sorti en 1986 et je pense que trente ans plus tard, mes attentes sont bien différentes de celles des lecteurs de l'époque. Ce décalage a sans doute joué dans mon appréciation des personnages ( surtout Danyal, grrr ), d'autant plus que je peux parfois me montrer difficile !

L'intrigue présentait elle aussi quelques faiblesses qui se présentent sous la forme de Deux ex Machina utilisés jusqu'à plus soif : Au contact de Waylander, c'est comme si tout les personnages les plus fourbes devenaient tous pétris d'honneur et de chevalerie. Il est vrai que le rôle du destin et la bravoure inhérente à chacun est un thème récurrent dans l'oeuvre de Gemmell mais j'ai trouvé que trop de situations difficiles ne sont résolues que par ces grosses ficelles. A mes yeux, cela a été particulièrement gênant lorsque certains personnages décris comme sans foi ni loi vont finalement tout donner pour permettre aux héros de continuer leur quête, quand bien même ils n'ont rien à y gagner. Les personnages retournent leur veste de façon si soudaine et injustifiée que c'en était très surprenant, presque choquant.

Fort heureusement, Waylander reste un roman de David Gemmell : on y retrouve donc de nombreuses qualités pas négligeables.

Premièrement, le style d'écriture de l'auteur est fluide, s'adapte parfaitement à son univers en apportant à chaque phrase sa petite touche de lyrisme ou d'héroïsme. Cela contribue à forger l'atmosphère guerrière du roman. C'est un des gros point fort de ce livre : L'immersion. Je n'ai pas eu de mal à croire aux scènes de bataille tant elles sont prenantes, détaillées dans toute leur horreur mais en mettant toujours en avant la bravoure des combattants. C'est vraiment quelque chose que j'apprécie dans l'oeuvre de Gemmell : son style d'écriture et l'atmosphère de son univers sont intimement liés et il est très difficile de parler de l'un sans mentionner l'autre.

J'ai aussi beaucoup aimé découvrir l'empire Drenaï à une autre époque bien loin dans le passé. de nombreuses légendes trouvent leur origine dans ce livre et plus que jamais on sent toute la densité de l'univers et la mythologie créé par David Gemmell. J'aime toujours beaucoup quand les auteurs reviennent aux origines de leur univers et ici, on est servi ! Entre le comte Egel et son armure de bronze, les Trente, la passe de Delnoch… On sait où l'on met les pieds et j'ai aimé aimé découvrir Drenaï sous un jour différent.

Lien : http://liserondhiver.blogspo..
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Pour commencer il faut savoir que si vous commencez le cycle Drenaï par ordre chronologique c'est celui ci le premier. Certains prônent le fait de lire dans l'ordre d'écriture et d'autres dans l'ordre chronologique du monde, à vous de choisir.

L'histoire est tellement simple et prévisible que j'ai cru que c'était un scénario de Luc Besson :
Un pays menacé, un héros, presque invincible, avec un coté sombre, une histoire d'amour et de l'action. Tout est là pour faire un blockbuster.

Les héros torturés, victime d'un drame qui a changer leurs vies pullulent dans les livres de Gemmell, Waylander n'y échappe pas. Assassin extrêmement doué, rongé par la perte de sa famille et par les remords pour ses actes, part en quête de rédemption. Rien que du classique mais il ne faut pas s'arrêter à ça.

Le monde est lui riche, fouillé, une grande réussite. La naissance des « Trente », la « Source », les « Unis » autant de choses qui font le charme et la profondeur du monde .
Les personnages secondaires comme Dardalion. Cadoras, Durmast sont bien plus attachants et charismatiques que Waylander, c'est un des grand talents de l'auteur.
Le style de Gemmell est toujours aussi envoûtant il arrive à vous emmener dans un tourbillon d'action, une collection de portraits prenant et vous fait vivre des moments épiques

Par hasard je suis entré dans l'univers « Gemmellien » par ce livre, et même si ce n'est pas son meilleur roman, c'est pour moi l'introduction idéal pour entrer dans le monde de Drenaï. On débute doucement pour finir en apothéose 6 livres plus tard dans « Légende ». le cycle de « Troie » et celui du « Lion de Macédoine » sont à mon avis nettement supérieurs à celui-ci mais c'est quand même un monument de la Fantasy. A lire et à relire.
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Bof, je ne suis pas fan de la fantasy et encore moins de la dark/héroïc fantasy. Même si je dois dire que l'anti-héros fonctionne pas trop mal et que certains personnages sont assez attachants. Je n'ai cependant pas réussi à rentrer vraiment dans l'histoire et j'avoue avoir sauté pas mal de passages qui concernaient les batailles. J'ai trouvé aussi qu'il y avait trop d'histoires parallèles, trop de personnages mis en avant. L'histoire principale se suffisait à elle-même et même si elle rejoint les autres à un moment, ça m'a un peu perdue.
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Lecture très décevante, les livres de David Gemmel m'ayant été chaudement recommandés par d'autres amateur de lecture heroic-fantasy.
J'ai eu la surprise de tomber sur un style très simpliste voir presque enfantin, une écriture digne d'une série B. Des dialogues peu travaillés et une histoire très simple sans rebondissement.
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