L’homme n’aurait-il pas le droit de se réfugier dans sa pensée, dans son cœur, dans son imagination, pour suppléer à l’Histoire, pour conjurer ce passé, pour toucher le but espéré, pour atteindre la grandeur possible ?
Or voici ce que j’ai fait : j’ai écrit l’histoire de Napoléon depuis 1812 jusqu’en 1832, depuis Moscou en flammes jusqu’à sa monarchie universelle et sa mort, vingt années d’une grandeur incessamment grandissante et qui l’éleva au faîte d’... >Voir plus