Ca y est, j'ai terminé "A la table des hommes" ! Je pense ne pas avoir aimé ce roman que j'ai pourtant pris la peine de terminer. Comme pour "
Magnus", je n'ai pas été touchée par l'aspect poétique, ni par le style très relevé de l'auteur.
J'ai été déstabilisée par le parti-pris de départ qui fait d'un porcelet un enfant sauvage par un tour de magie aberrant.
Ce stratagème permet d'entrer dans le vif du propos et de montrer notre humanité, notre vision de l'existence par le biais d'une animalité plus brute et au final, plus vraie.
Beaucoup de justesse dans les propos, de réflexions sur la vie, Dieu, ...
Je suis restée en dehors de ce roman, peut-être aussi parce qu'il m'a dérangée, que je n'ai pas aimé ce parallèle homme/cochon ...
Deuxième roman de
Sylvie Germain qui me laisse perplexe, je pense donc arrêter là mon expérience.