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3,67

sur 210 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je n'ai pas du tout compris cette lecture du début à la fin, le début très étrange j'ai pourtant persévérer voir ou l'auteur voulait en venir mais je n'ai jamais vu le bout du tunnel.

Des phrases de quatre cinq lignes qui ne veulent rien dire, je suis passée totalement à côté de cette lecture dont j'ai pourtant beaucoup entendu parler. Heureusement que le livre n'est pas trop long car sinon j'aurais décrocher, un peu comme la Cour des miracles relatifs d'une autre auteur.
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Parsemé d'envolées lyriques et de digressions philosophique où les portes ouvertes sont allégrement enfoncées, typique de la littérature actuelle française, c'est enfantin.
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Ca y est, j'ai terminé "A la table des hommes" ! Je pense ne pas avoir aimé ce roman que j'ai pourtant pris la peine de terminer. Comme pour "Magnus", je n'ai pas été touchée par l'aspect poétique, ni par le style très relevé de l'auteur.
J'ai été déstabilisée par le parti-pris de départ qui fait d'un porcelet un enfant sauvage par un tour de magie aberrant.
Ce stratagème permet d'entrer dans le vif du propos et de montrer notre humanité, notre vision de l'existence par le biais d'une animalité plus brute et au final, plus vraie.
Beaucoup de justesse dans les propos, de réflexions sur la vie, Dieu, ...
Je suis restée en dehors de ce roman, peut-être aussi parce qu'il m'a dérangée, que je n'ai pas aimé ce parallèle homme/cochon ...
Deuxième roman de Sylvie Germain qui me laisse perplexe, je pense donc arrêter là mon expérience.
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Attrapé par hasard sur l'étagère de ma librairie. Coup de coeur du libraire, quatrième de couverture intéressante.
Mais impossible de rentrer dedans.
Les mots de Sylvie Germain semblent tenir le lecteur à distance, comme si elle n'écrivait que pour elle-même, pour se faire mousser. L'histoire sonne creux, un amalgame de bouts de texte sans réelle consistance, malgré les messages pseudo politiques ou idéologiques qu'elle essaie grossièrement de véhiculer. Des phrases alambiquées pleines de mots savants mais qui ne disent rien. Des phrases d'une extrême platitude mais qui se voudraient savantes. Et pas le moindre relief pour m'enthousiasmer.
Ce livre n'était pas fait pour moi, en tous cas pas au moment où je l'ai lu. Content de l'avoir fini et de passer à autre chose...
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L'histoire commence par une truie allaitant ses petits, sauf un, trop faiblard pour se battre pour accéder à sa mamelle. Tant mieux pour lui au final, car c'est ce qui le sauve du bombardement de sa ferme. On suit donc ce petit goret dans sa découverte du monde sauvage et de ses prédateurs, l'homme, dans un pays en pleine guerre civile. Jusque-là, je trouvais peu d'intérêt au roman, mais soit, je continue. Et là notre petit goret rencontre un homme à l'agonie dans la forêt, rongé par la gangrène. Il se colle contre lui et leurs fièvres se mélangent, s'enroulent et il en ressort... un homme semble-t-il, doté de l'esprit du goret. Merveilleux. J'ai abdiqué à ce stade. Je lirai les autres critiques pour voir ce que j'ai loupé/pas compris.
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N'ai pas pu dépasser la page 60. Sans doute ne suis-je pas assez intelligente pour comprendre.
Un porcelet orphelin, en temps de guerre, nourri au sein par une mourante, et qui plus tard se transformera en humain, moi, ça ne m'intéresse pas. Et que l'on ne me dise pas que c'est poétique ou philosophique!
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Née à Châteauroux en ?

1934
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