Ayant eu des doutes sur
Atlantis mais ayant beaucoup apprécié
le Chandelier d'or, il apparait avec
le dernier évangile que
David Gibbins est bien parti pour venir rejoindre le rang très fermé de mes auteurs favoris. Et cela se confirme avec la lecture de
Tigres de Guerre son nouveau roman.
En même temps, j'aurais dû m'y attendre, ayant acheté son troisième livre sans vraiment lire le résumé mais juste parce que c'en était l'auteur.
Et je dois dire qu'il m'a soufflée.
Le dernier évangile raconte l'histoire d'une cité au destin tragique éclipsée par Pompéi qui s'est retrouvée ensevelie en même temps qu'elle: Herculanum. Cette cité parfaitement conservée cache deux secrets extraordinaires: la vérité sur la fin de l'empereur Claude et l'emplacement de l'évangile de Jésus, l'homme.
Si
Atlantis avait de nombreux défauts, ce roman n'en compte qu'un: trop de descriptions. Et encore, c'est un petit défaut,
David Gibbins donne tant d'informations qu'il est difficile de tout retenir, tout n'étant pas forcément utile.
Une chose à retenir: son écriture s'améliore et ses histoires sont de plus en plus passionnantes.
On se sent proche de ses personnages, et notamment de Claude qui nous accompagne tout au long de l'histoire. Comme pour Jack, on le sent à nos côtés dans nos découvertes extraordinaires. Après trois livres, j'ai l'impression de faire partie de l'UMI et d'être extrêmement proche du duo de choc que forment Jack et Costas (mention pour ce dernier que j'affectionne tout particulièrement).
Tout comme pour
Atlantis,
le dernier évangile est très visuel. On imagine aisément les scènes décrites par l'auteur, dans un soucis du détail impressionnant. D'où le sentiment qu'une adaption cinématographique serait le top du top. Selon les dires de l'auteur,
Atlantis serait adaptés en téléfilm. J'ai hâte de voir ça.
Bien que cela ne soit pas obligatoire, il est préférable de lire les romans de
David Gibbins dans le sens de parution (
Atlantis >
le chandelier d'or >
le dernier évangile >
Tigres de Guerre) pour pouvoir en profiter au maximum à cause des nombreuses évocations des aventures précédentes de Jack et Costas.
Le dernier évangile est de loin mon
Gibbins préféré actuellement et le plus réussi et j'ai hâte de lire encore d'autres oeuvres du romancier guettant avec peur le manque qui se fera sentir à la fin de la lecture de son dernier roman.
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