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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
"Le Chandelier d'Or", un "David Gibbins" comme les autres, c'est à dire le genre thriller un brin historique, un brin ésotérique, un brin aventures, un brin gentils contre les méchants. Donc un roman qui se lit sans trop de soucis, sans trop de surprises, les gentils gagnent, avec des déboires, mais qui se lit aussi avec un certain plaisir, qu'il ne faut pas bouder.

Deuxième dans l'ordre chronologique, après "Atlantis", l'effet de surprise joue un peu moins, d'autant que pour ce qui me concerne, j'en ai lu quelques uns ensuite, donc c'est d'autant moins surprenant.

Jack et son vieil ami Costas sont donc à la fois sur les traces de la Menora (historique chandelier à 7 branches très cher à l'histoire juive, si j'en crois l'histoire) et sur celles d'un roi Viking passé de Constantinople à Chichen Itza. Mes excuses pour ce résumé très rapide. Les méchants sont une vieille secte issue de vieux nazis.

Comme j'ai eu la chance de visiter le site de Chichen Itza, et la cénote locale, avec la joie d'écouter un guide français qui conduisait son groupe, j'ai pris plaisir à ces passages qui m'ont rappelé mes vacances. Je n'en ai pas tout à fait les mêmes souvenirs que ce que décrit l'auteur, j'en déduis, peut-être un peu vite, qu'il va lui aussi sans doute un peu vite dans certaines descriptions. Mais après tout, pourquoi s'en offusquer ? L'important est d'avoir un récit enlevé, ce qui est quasiment le cas de ce livre, si on omet ce qui parfois pourrait ressembler à des bavardages un peu trop long.

Dans le genre, cf mes autres critiques, je préfère Antoine Traqui, certes plus futuriste, mais avec une originalité plus forte qui donne à ses ouvrages un peu plus d'allant.

Ceci dit, avec Jack et Costas, on passe toujours des bons moments.
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L'éditeur classe ce livre dans le thriller, mais c'est avant tout un roman d'aventures, avec des archéologues à la Indiana Jones, la technologie moderne en plus. Ici on cherche la grande Menorah volée par les Romains lors de la conquête de la Judée par les armées de l'empereur Vespasien, dont personne ne sait ce qu'elle est devenue. Avec Jack Howard et son acolyte Costas, nous voyageons des eaux turques à l'Angleterre, du Grand Nord jusqu'au Mexique.

C'est assez palpitant et, si ce n'est pas toujours très crédible, on n'a pas le temps de s'ennuyer. Malgré tout, l'auteur nous rajoute de méchants Nazis parmi les plus méchants, le cliché typique de ce genre de romans, semble-t-il. Personnellement je trouvais les aventures archéologiques suffisamment passionnantes et bourrées d'action, mais visiblement l'auteur voulait suivre au plus près le modèle Indiana Jones. Cet aspect de l'intrigue ne m'a pas plu, mais c'est peut-être un passage attendu pour les amateurs du genre.

Un mot sur les personnages féminins, qui sont au nombre exagérément élevé de… 2… Pour ne servir que de déclencheurs, leur rôle se limite à apporter des informations au héros et à être mises en danger ou à être le vague intérêt amoureux d'un personnage très secondaire. Ajoutons à cela que dans leur description, leurs compétences professionnelles ne viennent qu'après mention de leur physique (elles sont belles, ont un beau visage ou telle coiffure), alors que ce sont des professeures aussi qualifiées dans leur domaine que les hommes qui sont au centre du récit et qui sont, eux, décrits d'abord par leur travail ou réussites.

Comme avec des romans tels que le Da Vinci Code, l'auteur se base sur les trous de l'Histoire officielle pour nous offrir une intrigue faites de suppositions plus ou moins éclairées. A la fin du livre, il prend le temps d'expliquer ses sources et de différencier les certitudes de la fiction, ce qui est un bon point à son crédit. Ceci dit, ses archéologues passent beaucoup de temps à expliquer leurs déductions en utilisant des « peut-être », « probablement », « sans doute » et autres locutions confirmant qu'ils ne savent finalement rien avec certitude, ce qui est logique vu le peu d'indices archéologiques dont ils disposent réellement. Malgré tout, leurs suppositions tombent toujours juste, c'est fou, hein 😆

En bref, rien de bien original et c'est très rocambolesque, mais ça reste distrayant et il y a suffisamment d'action pour maintenir l'intérêt jusqu'à la fin, même si j'avoue que mon implication a été moindre dans la 2e moitié, je commençais à trouver le temps long et l'intrigue des Nazis assez pénible.
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Quand j'ai eu fini Atlantis, je me suis demandée quel livre allait suivre. Mon choix s'est porté sur le Chandelier d'Or parce qu'il est du même auteur et qu‘il a la même ambiance. Malgré ça, j'avais peur, en le lisant de ressentir la même chose qu'à la lecture d'Atlantis. Si vous avez lu ma critique vous devez savoir qu'elle a été très pénible à cause des descriptions inutiles de l'auteur sur des armes ou des équipements, sans rapport avec l'archéologie.
Mais là, j'ai été agréablement surprise. David Gibbins a corrigé tous les défauts que je reprochais à son précédent roman. Pas de descriptions inutiles, une plus grande place pour le coté archéologique et un peu de moins de Mac Gyver et de docteur je sais tout.
Bon je dois dire quand même que la lecture à été pénible à certains moments, mais le livre n'y est pour rien. Je pense simplement que ce n'était pas le bon moment pour le lire et l'apprécier à sa juste valeur.

Dans ce livre, j'ai adoré le coté viking, découvrir une légende, un mythe comme une chasse au trésor. On ressent toute l'excitation que les protagonistes ressentent quand ils font une découverte, on se sent transporté dans le temps du peuple au cheveux d‘or. J'ai toujours eu une certaine « fascination » pour la Seconde Guerre mondiale, alors inclure dans le Chandelier d'Or, les nazis, ne pouvait être qu'un plus.
Si le Chandelier d'Or est largement meilleur qu'Atlantis, il n'en est pas moins exempt de défauts. Je reproche au livre d'être trop dépendant de son grand frère. En effet, même si c'est un « One shot » (comprenez une histoire finie en un seul tome), il est nécessaire pour mieux comprendre certains éléments d'avoir lu Atlantis auparavant.

En effet, David Gibbins ne prend pas la peine d'expliquer, même brièvement qu'est ce que l'UMI, la découverte d'Atlantis ou encore l'utilité des combinaisons de Costas et Jack. Autrement dit, des éléments importants. Il part malheureusement du principe que tout le monde a lu Atlantis et c'est ce que je considère comme un handicap majeur à la lecture d'un roman qui n'a normalement pas d'attache. On peut donc considérer, même si réellement ce n'est pas le cas que le Chandelier d'Or est la suite d'Atlantis.

Autre problème, même si j'ai préféré ce tome et que j'en ai aimé sa lecture, j'ai eu l'impression tout au long du tome de lire un copié collé d'Atlantis. Encore une fois, on a le droit à une aventure sous l'eau, avec les découvertes majeures sous l'eau, des blessures identiques, etc…. à croire que David Gibbins a repris la trame principale de son premier roman et à changé les lieux et les populations (On passe quand même de la Guerre Froide à la Seconde Guerre Mondiale). Ca gâche pas mal le tout et tant à penser que le romancier manque d'imagination pour changer les univers de ces romans.
Si je ne suis pas sûre de relire Atlantis, il est clair que je relirais le Chandelier d'Or avec plaisir, tant l'histoire de Harald Hadrada m'a plue.

Lien : https://parole2libraire.word..
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quelques mois après ses aventures mouvementées au large d'Istanbul qui avaient permis de découvrir l'antique cité de l'Atlantide, le voilà de retour à la recherche de la mythique Menorah du Temple Sacré de Jerusalem mis à sac par les Romains au début de notre ère ...

Ses talents d'archéologue, apte au maniement des armes à feu, capable de piloter tout engin motorisé, couplés à sa chance quasi miraculeuse lui permettront de surmonter toutes les embûches qui croiseront sa route du Bosphore aux glaciers du Groendland et jusqu'aux grottes sous-marine de sa destination finale ... que je vous laisse découvrir .

Un roman d'aventures invraisemblables, mais plaisant à lire !

Un très bon moment de lecture d'été :)


Lien : http://les.lectures.de.bill...
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De l'aventure, de l'action, de l'histoire, et des personnages attachants.
C'est plutôt simple mais efficace. David Gibbins à bien compris la recette pour nous faire passer un bon moment et , de plus , on sent qu'il maîtrise bien la partie historique qui en devient une bonne trame narrative.
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on retrouve Jack Howard et Costas dans un univers habituel mêlant archéologie et plongée. le livre passe du présent au passé historique
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