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Citations sur Total War Rome : Détruire Carthage (51)

[Petraeus] Publius Cornelius Scipio Aemilianus, j’accepte cet honneur. J’ai servi ton grand-père dans ce monde, je le servirai dans l’autre.
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Fabius essaya de se rappeler ce qui lui avait dit le vieux centurion sur les batailles : "Tu ne verras rien qu’un tunnel devant toi, et ce tunnel deviendra ton monde. Élimine tes ennemis du tunnel, et tu survivras. Regarde tes ennemis du tunnel, détourne tes yeux de ceux qui te fixent, et tu mourras."
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- Hippolyta et Gulussa ?
- Ce n’est pas ce que tu crois. La coutume numide veut que le prince ait de nombreuses épouses, et je doute qu’elle s’accommode de cela. Par Zeus, chez elle en Scythie, la femme doit probablement éliminer toutes les ses rivales pour l’homme qu’elle désire, ce que je l’imagine très bien faire.
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Il [Fabius] s’était remémoré la première fois où il avait entendu depuis l’extérieur les professeurs grecs leur faire une leçon de morale : ils devaient avoir du courage et de la fides, respecter la parole donnée, et être tempérants dans leur vie personnelle. Il avait souri intérieurement, car il avait vu ce que faisaient les jeunes hommes la nuit dans les tavernes et les bordes autour du forum.
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S’ils ont autant réfléchi pour construire ses défenses, ils y auront aussi entraîné des hommes, des fidèles fanatiques de Carthage, peut-être sous la coupe des prêtres. Une cohorte de guerriers prêts au suicide avec un unique objectif : se jeter sur un attaquant dans ces rues.
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Le pire ennemi de Rome n’a pas été Carthage, en définitive, mais elle-même.
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Tu sais ce que je pense des devins. Un homme fait sa propre vie, pourtant, s’il croit en une prophétie, cela peut donner forme à son destin.
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[le vieux chef celtibère d'Intercatia défie Scipion Émilien en duel] La lutte avec Scipion ne pouvait avoir qu’une seule issue, et tous le savaient. Les termes ne prévoyaient même pas la victoire du chef, et si cela devait se produite, il ne pouvait même pas se permettre de porter un coup mortel qui ne ferait qu’inciter les soldats romains à se déchaîner et à massacrer son peuple, dont l’avenir dépendait par conséquent de la vie et de la parole de Scipion. Le chef se sacrifiait pour ses femmes et ses enfants, une coutume consacrée par l’usage qui permettrait aussi de satisfaire ses guerriers, dont l’honneur et les rites auraient été respectés.
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A ce moment-là, on pouvait en voir beaucoup plus. On trouvait des ossements humains et les carcasses effondrées et desséchées des éléphants qui ne s’étaient pas consumées entièrement sur les bûchers funéraires. C’était une scène sinistre, et j’ai appris que même les plus grands combats peuvent tomber dans l’oubli sans raison et laisser peu de traces.
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Fabius se remémora les paroles de la Sibylle : L’aigle et le soleil s’uniront, et de leur union dépendra l’avenir de Rome. Il regarda les symboles gravés sir les cuirasses des deux hommes qui se trouvaient devant lui maintenant : Scipion, avec le soleil rayonnant au-dessus d’une ligne solide, symbole de son grand-père adoptif Scipion l’Africain et représentant sa suprématie sur Hannibal dans le désert, et Gnaeus, avec le symbole de l’aigle des Julii Caesares, la même image qui figurait que le pendentif donné par Julia à Scipion et qu’il portait toujours. Il se rendit compte soudain de la signification de la prophétie : il ne s’agissait pas de Scipion et Metellus, une union de généraux mais de Scipion et de Julia, une union de deux lignées, de gentes. Pendant un instant, Fabius se sentit bouleversé, comme si tout autour de lui était devenu brouillé et qu’il ne voyait plus que ces deux hommes, comme si eux seuls étaient la force de l’histoire. Quelque part dans le futur, peut-être des de nombreuses générations, cette union de gentes pourrait créer un nouvel ordre mondial, pas à cause d’une quelconque prophétie divine de la Sibylle, mais grâce au pouvoir qu’avaient les hommes de donner forme à leur propre destin, une vision assez forte qui avait conduit Scipion à se trouver devant les murs de Carthage maintenant, aux côtés de ce futur qu’il avait crée avec Julia : leur fils.
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