Mange, prie, aime

j'avais hâte de lire ce livre. Hélas, je suis déçue. je m'attendais à un roman feel-good. mais pas à un feel-good insipide. je voulais en savoir plus sur les pays qu'elle visite et sur les coutumes locales. ce qui est effectivement le cas dans un certain sens.
j'ai bien accroché sur toute la première partie qu'elle passe en Italie.
Mais après l'auteure m'a complètement perdu. tout m'a semblé trop long et je me suis ennuyée.
Pourtant, je pratique également le yoga et la méditation, mais c'était trop spirituel pour moi.
j'ai finis par lire le reste du roman en diagonale, alors que j'ai horreur de faire ça. j'ai toujours peur de louper quelque chose. Mais pas cette fois.
Bref, ce livre le laisse dubitative et j'ai hâte de passer à autre chose.

La 4e de couverture de ce best-seller me donnait réellement envie de le lire et c'est plutôt confiante que j'ai commencé ma lecture.
Rapidement, je me suis dit que ça n'allait pas le faire. Je ne me suis pas du tout reconnue dans cette héroïne et ces états d'âme de pauvre petite New-Yorkaise riche m'ont laissé de marbre.
Mange: Cette partie en Italie n'est pas trop mal même s'il y a beaucoup de longueurs.
Prie: peut-être que c'est parce que je suis totalement hermétique à tout ce qui touche la méditation, l'introspection et la recherche de son moi profond, mais je n'ai pas du tout accroché à cette partie se déroulant en Inde, dans un Ashram. J'ai failli abandonner ma lecture plusieurs fois.
Aime: désolé ça sera sans moi ! Trop de blabla, trop d'auto apitoiement, j'ai arrêté ma lecture ici.
Je ne saurai jamais si l'héroïne a trouvé l'amour, mais elle aurait aussi bien pu rester en Italie manger des pâtes que ça m'aurait été égal.
Même l'adaptation cinématographique ne m'a pas convaincue donc aucun regret.

Malgré un résumé fort intéressant, je ne suis pas arrivée au bout de ce livre.
Le style d'écriture ne me correspond pas, je n'ai pas réussi à m'intéresser à la vie et aux pensées de l'héroïne. A la rigueur, je souhaitais surtout la secouer et lui mettre un coup de pied aux fesses !

Bref, sûrement un livre pas fait pour moi, mais il faut l'essayer pour le savoir.

Trop de longueur, trop de nombrilisme, je lâche l'affaire...

J'ai hésité à arrêter de lire ce livre plusieurs fois mais vu que je suis persévérante je l'ai lu jusqu'à la fin car des fois on peut avoir de bonne surprise. Mais dans ce cas, pas trop, je n'ai pas apprécié, trop de longueurs, pas de rythme, des personnages sans saveur, une histoire qui a du mal à prendre. Bref, ce livre va rester dans la bibliothèque dorénavant.

Waouh ! quel courage de partir parcourir des endroits merveilleux dans le monde, les poches pleines de dollars, sans contingences matérielles et familiales ! ... L'exemple typique de l'égocentrisme de notre époque... on se gratte le nombril, on trouve une pseudo spiritualité pour se déculpabiliser et on continue de penser à soi d'abord... pathétique mais tout à fait dans l'air du temps... à fuir...

J'ai déjà lu beaucoup d'inepties dans ma vie mais ce livre vient de franchir un cap jamais atteint dans l'imbécillité humaine. Oui, il est rare que je mette une note aussi catastrophique mais là, je me suis forcée à le terminer afin de partager mon avis sur ce blog.
La narratrice est peu satisfaite de sa vie : oh comme elle est terriblement malheureuse d'avoir une grande maison, un mari et une belle carrière alors ¾ de la population terrestre est touchée par la famine, les guerres, la pauvreté, la maladie et les injustices ! Et voilà, du jour au lendemain, elle plaque tout pour rechercher un hypothétique bonheur dans le monde en choisissant des pays commençant par I (« Je » en anglais : je n'ai jamais entendu une explication aussi ridicule. Pourquoi ne pas avoir pris dans ce cas l'Irlande, l'Irak et l'Iran?).
Je n'ai jamais rencontré une personne aussi vaine, superficielle, aussi vide qu'un puits sans fond, pétrie de contradictions et de narcissisme. Elle ressemble à une enfant de deux ans qui raisonne par Je veux/Je veux pas. Tout le livre tournera autour de ces deux expressions. Je ne donnerai qu'un exemple pour illustrer mes propos. « Je veux aller dans un ashram en Inde » : mais arrivée là-bas, nous subirons ces jérémiades sur son incapacité à méditer, sur certaines leçons qui ne lui plaisent pas et qui lui pourrissent sa matinée, sur ses expériences mystiques ratées (en gros, elle a divorcé pour apercevoir une lumière bleue en Inde lors d'une séance de méditation). Après le guide du routard en Italie, elle nous copie/colle offre, un cours sur l'histoire du yoga, les techniques de méditation etc. Et en Indonésie, nous aurons droit à un cours sur l'histoire du pays depuis le XIVème siècle, de quoi remplir quelques pages facilement !
Je vous épargne ces petits problèmes existentiels sur son divorce, son amour fou pour David, son rejet du mariage et de l'arrivée d'un bébé (mais elle estime que c'est intolérable de passer Noël toute seule ou de se balader à Venise toute seule !).
Il n' y a que du consumérisme à outrance dans ce livre, un usage détourné des doctrines orientales et religieuses, une morale basée sur l'individualisme, l'égoïsme, la satisfaction éphémère des désirs au mépris des autres, l'irresponsabilité face aux conséquences de ces actes et beaucoup de préjugés sur les autres cultures.
Evitez à tout prix ce livre !

Lien : http://leslecturesdehanta.co..

J'ai commencé ce roman en croyant, un peu bêtement, que celui-ci allait être léger (du style chick-lit) Hors ce roman est un témoignage, le témoignage de l'auteure. Au lieu d'un roman frais et léger, je suis tombé sur un roman très profond avec un sujet sensible, la religion. J'ai donc très mal appréhendé ce livre en pensant lire totalement autre chose, je tiens à le souligner avant de commencer ma chronique.


Ce roman est coupé en trois grandes parties. La première partie concerne l'Italie et le fait que l'auteure va se faire plaisir, en dévorant tout ce qui passe sous son nez. La seconde partie concerne l'Inde où l'auteure cherchera à entendre Dieu. La troisième partie se passe en Indonésie et grâce au titre, vous devriez rapidement comprendre ce qui va s'y passer.



L'histoire débute sur la vie de l'auteure très chamboulée. Essayant de se remettre d'une histoire d'amour dévastatrice ainsi que d'un divorce épuisant, cette dernière va tout plaquer pour voyager. Son premier voyage se fera en Italie et je dois dire que c'est la partie qui m'a le plus ennuyé durant ce roman. L'auteur se fait plaisir en mangeant et en apprenant l'italien, que dire de plus !

Ensuite, celle-ci voyagera jusqu'en Inde où elle apprendra la méditation. C'est la partie la plus sensible mais, aussi la partie la plus intense du roman. C'est d'ailleurs la partie que j'ai le plus appréciée. L'auteure n'hésite pas à comparer les religions entre elles, jusqu'à nous faire prendre conscience, que souvent nous voulons tous dire la même chose mais, en employant des mots différents. J'ai aimé en apprendre davantage sur la religion bouddhiste ou indouiste, celle-ci est simple et tolérante. de très jolies phrases et explications sont décimées dans cette partie.

La troisième partie, en Indonésie, ne m'a pas transporté. Je la trouve meilleure que la première partie mais, en dessous de la seconde. J'ai aimé faire la connaissance de Ketut, le vieux sorcier. Je pense que c'est une des personnes ( avec peut-être Richard du Texas) que j'aimerais le plus rencontré.


Dans l'ensemble, pourtant, ce livre m'a déçu. Je l'ai souvent trouvé long et ennuyeux. Je pense qu'en allant à l'essentiel, l'auteure aurait davantage rythmé son roman. Il est vrai qu'en ayant mal appréhendé ce roman, j'ai peur de me tromper le concernant. Dans un moment plus propice, ce dernier m'aurait peut-être pas si déplu !





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J'avais reçu de nombreux commentaires élogieux sur ce livre, mais il me semble finalement que les critiques sont assez partagées.

Pour ma part, je dirais que je n'ai pas particulièrement accroché à se livre. Au début, il me semblait pas si mal, mais déjà après une cinquantaine de pages, j'étais déçu de ce livre. C'est finalement, à mon gout, une roman plutôt pénible à lire et il en est de même pour le film qui est tout aussi pénible.

Je pense que le seul moyen d'en apprécier pleinement la lecture est de lire autre chose au même moment que ce livre, puisqu'il y a plusieurs longueurs dans ce bouquin. C'est un roman très spirituel qui ne plaît certainement pas à tous les lecteurs.

Je n'aime pas du tout faire cela, mais là : abandon par ko (je n'en étais même pas à la fin du périple italien).
Et je ne comprends décidément pas comment ce livre peut avoir autant de succès. Il y a tellement de bon romans à lire. Et là, j'ai vraiment eu le sentiment de perdre mon temps....