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3,52

sur 1974 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Trop, c'est trop, j'abandonne à la page 131... Je pensais avoir la force de lire au moins la partie italienne du voyage d'Elizabeth Gilbert mais, soyons réalistes, étant donné que Liz m'a gonflée dès le début du roman, c'était mal parti. Je suis fière d'être parvenue à supporter le caractère instable de celle que j'ai qualifié pendant ces 131 longues pages de "pauvre gourdasse qui ne sait que faire de sa vie". Peut-être reprendrai-je cette lecture un jour... ou peut-être pas.
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Il est très difficile de comprendre pourquoi ce roman a eu un tel succès. C'est un récit initiatique empreint de psycho-pop et de clichés. En plus, il est interminable!
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C'est très rare, mais j'ai abandonné au quart du bouquin. Pour moi, qui ne suis pas croyante, c'est trop de spiritualité. Je viens de voir que je ne suis pas la première à laisser tomber cette lecture... (j'aurai dû lire les critiques avant, mais j'évite, parce que le trop grand nombre de résumés finit par en dire trop) ... dommage, j'aimais bien l'écriture et l'humour... mais l'exaspération l'a emporté.
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j'ai pas voulu manger, j'ai pas voulu prier, j'ai pas voulu aimer... du coup j'ai laissé ce livre indigeste.
Écriture correcte. Mais alors les petites confidences sur la sexualité, sur les états d'âme d'une New-yorkaise, on en a vite soupé. Dommage, la structure du roman et l'introduction, l'idée même m'avait semblé être la promesse de quelques bon de moment de lecture. Je n'ai pas fini mon repas, commencé sans prière et sans avoir commencé à aimé...
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Le 4ème de couverture nous annonce un voyage vers l'inconnu, riche en émotions et expériences culturelles. Malheureusement, le seul voyage ici consiste à visiter encore et toujours le nombril d'Elizabeth Gilbert qui nous pond 453 pages dévolues à sa petite personne. Ce pseudo récit de voyage qui ressemble à un roman de plage s'articule autour de 3 parties : l'Italie où l'auteure nous détaille ses gargantuesques agapes comme compensation au désert de sa vie sexuelle; la 2ème partie sur son expérience dans un ashram en Inde nous donne le mince espoir de la voir évoluer vers davantage de maturité. Hélas, là encore du mot jeûne, Elizabeth Gilbert ne retient que les 2 premières lettres! J'ai néanmoins persévéré avec la 3ème partie consacrée à l'Indonésie, plus précisément Bali, qui m'intéressait pour avoir eu l'occasion de m'y rendre. J'ai trouvé cette 3ème partie un peu plus intéressante que les autres, laissant cette fois une (petite) place aux coutumes et rituels propres aux autochtones. Mais en toute honnêteté, cela ne rattrape pas ce roman qui s'apparente davantage à un journal intime et c'est bien connu les journaux intimes sont rarement des monuments littéraires et se gardent pour soi.
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J'ai déjà lu beaucoup d'inepties dans ma vie mais ce livre vient de franchir un cap jamais atteint dans l'imbécillité humaine. Oui, il est rare que je mette une note aussi catastrophique mais là, je me suis forcée à le terminer afin de partager mon avis sur ce blog.
La narratrice est peu satisfaite de sa vie : oh comme elle est terriblement malheureuse d'avoir une grande maison, un mari et une belle carrière alors ¾ de la population terrestre est touchée par la famine, les guerres, la pauvreté, la maladie et les injustices ! Et voilà, du jour au lendemain, elle plaque tout pour rechercher un hypothétique bonheur dans le monde en choisissant des pays commençant par I (« Je » en anglais : je n'ai jamais entendu une explication aussi ridicule. Pourquoi ne pas avoir pris dans ce cas l'Irlande, l'Irak et l'Iran?).
Je n'ai jamais rencontré une personne aussi vaine, superficielle, aussi vide qu'un puits sans fond, pétrie de contradictions et de narcissisme. Elle ressemble à une enfant de deux ans qui raisonne par Je veux/Je veux pas. Tout le livre tournera autour de ces deux expressions. Je ne donnerai qu'un exemple pour illustrer mes propos. « Je veux aller dans un ashram en Inde » : mais arrivée là-bas, nous subirons ces jérémiades sur son incapacité à méditer, sur certaines leçons qui ne lui plaisent pas et qui lui pourrissent sa matinée, sur ses expériences mystiques ratées (en gros, elle a divorcé pour apercevoir une lumière bleue en Inde lors d'une séance de méditation). Après le guide du routard en Italie, elle nous copie/colle offre, un cours sur l'histoire du yoga, les techniques de méditation etc. Et en Indonésie, nous aurons droit à un cours sur l'histoire du pays depuis le XIVème siècle, de quoi remplir quelques pages facilement !
Je vous épargne ces petits problèmes existentiels sur son divorce, son amour fou pour David, son rejet du mariage et de l'arrivée d'un bébé (mais elle estime que c'est intolérable de passer Noël toute seule ou de se balader à Venise toute seule !).
Il n' y a que du consumérisme à outrance dans ce livre, un usage détourné des doctrines orientales et religieuses, une morale basée sur l'individualisme, l'égoïsme, la satisfaction éphémère des désirs au mépris des autres, l'irresponsabilité face aux conséquences de ces actes et beaucoup de préjugés sur les autres cultures.
Evitez à tout prix ce livre !

Lien : http://leslecturesdehanta.co..
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L'ennui a eu raison de moi, raison de mon obstination à terminer ce que je commence, je n'ai pas dépassé les 120 pages...et encore, ce fût trop!
Ou alors, j'ai dépassé l'âge de midinette mais je l'assume, je connais d'autres quêtes de soi bien plus enrichissantes, ici n'est que la "trouvaille du temps perdu! "
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Roman autobiographique originale sur la quête de soi. Lâcher prise et partir, se retrouver. Il faut oser et j'admire ceux qui le font. Je trouve aussi originale d'organiser son livre selon le japa mala!

Si j'ai bien aimé la 1ère et la dernière partie, celle du milieu me semble inutile. Oui j'ai bien aimé le côté découverte des civilisations à l'état brute de l'Inde et de l'Indonésie qui sont assez mal connu, mais les interrogations de l'auteur.... on s'en lasse vite.

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Non mais ils sont sérieux les gens qui ont aimé ce livre ???
Je vous avouerais franchement que je partais totalement enthousiaste au départ, mais la désillusion est vite arrivée. J'ai lâché au bout de 90 longues pages.

En lisant le résumé, je me suis dit que ce livre était une sorte de récit tel que Pancol l'a fait dans ses trois ouvrages mais malheureusement non. C'est un livre autobiographique sur la vie de l'auteur, avec ses espoirs, ses craintes, ses doutes et ses pensées.

C'est un livre bourratif...

500 pages de description, de manière de pensée, de narcissisme pur et dur ! 300 pages qui aurait pu être évitées car le livre est un condensé de bla bla vraiment inutile. le nombrillisme du livre m'a vraiment perturbée et pas du tout donné envie de livre la suite.

Le manque de dialogue dans celui-ci n'arrange rien à la situation. D'habitude placé pour alléger la lecture, il nous manque vraiment pour échapper aux nombreuses introspection que peut avoir l'auteur.

Je vous conseillerais donc de louer le film plutôt que le livre... Vous perdrez 1h30 si le film est nul (je ne l'ai pas vu donc je peux vous dire s'il est bien ou non d'où le si) mais pas plusieurs heures voir jour à lire un livre autobiographique.

Un point pour résumé : une vraie déception et une perte de 6,95€.
Lien : http://homelaet.canalblog.com/
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Je n'aime pas du tout faire cela, mais là : abandon par ko (je n'en étais même pas à la fin du périple italien).
Et je ne comprends décidément pas comment ce livre peut avoir autant de succès. Il y a tellement de bon romans à lire. Et là, j'ai vraiment eu le sentiment de perdre mon temps....
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