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3,52

sur 1974 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Traduit de l'anglais par Christine Barbaste

Au fait, le mot « paradis », qui nous vient du persan, signifie littéralement « jardin enclos ».
P 371

J'ai trouvé ce bouquin dans une boite à livres. La couverture m'a plu, les injonctions aussi, je l'ai donc emprunté.
Mais en lisant la quatrième de couverture, j'ai été décontenancée, et encore plus en lisant l'introduction. Oh là là, encore un énième bouquin de développement personnel, de bien-être, de conseils pour atteindre la plénitude !
J'ai toutefois accepté de cheminer avec elle. Et je me suis aperçue, chemin faisant, que le récit était bourré d'humour et qu'il ne relatait que son expérience personnelle.
En Italie, il est impératif de manger. Elizabeth Gilbert ne s'en est pas privée pendant quatre mois et j'ai dégusté avec elle, en pensée seulement, hélas, tous les bons petits plats italiens.
En Inde, dans un ashram, il est impératif de prier. Elle ne s'en est pas privée non plus. Elle s'est même retrouvée
« assise dans la paume de Dieu ». Alors là, je dois avouer que je n'ai participé du tout. J'ai lu, sans comprendre, sa recherche de Dieu par la méditation et la récitation de mantras trèèèèès longs. Quatre mois se sont écoulés.
En Indonésie, elle a découvert l'amour. L'amour des autres, l'amour du pays, l'Amour tout court.
En résumé, ces voyages m'ont intéressé, je ne me suis ennuyée à aucun moment, j'ai même ri quelques fois.
Elle ne fait pas de prosélytisme, elle raconte juste son parcours de vie chaotique.
Pas de regrets donc après ma lecture.
Je vais le remettre dans la boite à livre, espérant qu'un autre lecteur se laisse aussi tenter.
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Une lecture en deux phases. La première parce qu'on parle beaucoup de ce livre. Ensuite sa lecture d'un trait. Un style qui m'emporte. de belles phrases qui me parlent, surtout sur la dépression et la solitude. et puis ensuite en fermant le livre j'ai pensé : mais quelle exploit a fait cette femme qui avait de l'argent, une langue internationale, des connaissance dans le monde entier ? et bien rien. Elle a prit un an sabbatique et c'est tout ! et nous andouille de lecteurs nous l'avons suivi et lui avons payé son année.
du coup comme j'aime bien l'actrice qui a joué le rôle, je n'ai volontairement pas vu le film.
bref vous lisez une lectrice fort decue
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Mange, Prie, Aime est un roman avec une histoire très sympathique. Récit d'une jeune femme en pleine déprime qui par le zen essaie de s en sortir, on s'attache rapidement à Elizabeth dans ses périples en Italie, en Inde et en Indonésie où nous découvrons beaucoup de chose... Dans l'ensemble la détente et l'évasion sont au rendez-vous !
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Depuis le temps que j'entendais parler de ce livre il fallait bien que je saute le pas !

On ne va pas se mentir : toutes femmes ayant dépassé la trentaine se retrouvent dans ce livre.

Liz (vous avez compris que c'est le diminutif du prénom de l'écrivain) se sent piègée dans son couple , mariée, 31 ans et ne voulant pas d'enfants elle décide de larguer son mari du jour au lendemain. Oui mais voilà la chute est douloureuse aussi bien pour son mari que pour elle. Plus sûre de rien elle largue l'Amérique pour un tour du monde de sa reconstruction.

On découvre Rome ( rome sérieusement la plus belle ville du monde) et l'italien (qui donne des papillons dans le ventre) ces gens qui croisent son chemin et qui la reconstruise petit à petit.

Direction l'Inde par la suite pour une purification de l'âme un chouia soporifique sur ce coup la j y suis restée au moins 3 semaines sur ce passage

Pour finir a Bali ... une initiation au voyage et à la paix intérieure.


Avec ce livre on redécouvre le bonheur simple et comme dit l'auteur : " je sentais le bonheur habiter chaque molécule de mon corps" plus qu'un livre un thérapie.
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Je n'ai pas réussi à accrocher à ce livre la première fois que je l'ai ouvert… Mais je ne regrette pas d'avoir fait une seconde tentative… la bonne !
L'auteur met tout en oeuvre pour nous faire partager son chemin vers la transcendance, en évitant le raccourci qui consiste à dire que c'est indescriptible.
Par conséquent, il s'en suit pour la lectrice que je suis quelques longueurs et des concepts parfois difficiles à intégrer sans se retrouver en immersion dans la culture. Ou bien est-ce que sur le métier il faut remettre l'ouvrage ultérieurement pour approfondir le sujet ?
Même si je ne reprends pas cette lecture d'ici quelque temps, au-delà des voyages accomplis, de la confrontation à d'autres cultures, à d'autres philosophies ou religions, je retiendrai de nombreuses citations, qui peuvent éclairer le chemin de chacun au moment où il se trouve dans le doute, même si on n'adhère pas à l'idée de l'existence de Dieu.
C'est un livre qui a suscité beaucoup de réflexion et de remise en question de ma part, même si ce n'est pas un coup de coeur pour moi.
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J'avais vu le film une ou deux fois avant de commencer ce livre, et je l'avais adoré.
J'ai été déçue par le livre, que j'ai arrêté après la première partie. En effet, je l'ai trouvé long, la narratrice étant sans cesse en dépression, j'ai trouvé cela vraiment fatigant à lire. J'aime beaucoup l'histoire, mais l'écriture ne m'a pas emportée.
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Ce n'est pas un livre que j'ai pu lire d'une traite. J'ai dû alterner avec d'autres romans sous peine d'overdose. Overdose de bouffe, de prières et d'amour.
Oui, vous l'aurez compris ce roman a un titre qui lui va parfaitement.
C'est un roman autobiographique.
L'auteure explique au départ qu'elle l'a écrit en 36 chapitres pour chacun des 3 pays. Les 3 I qui signifie JE en anglais : Italie, Inde et Indonésie. 36 X 3 = 108 qui correspondent aux 108 perles que l'on appelle, chez nous, un chapelet, là-bas Japa Malas.
On part pour l'Italie, où elle doit ré-apprendre à s'écouter. A vivre pour elle et à sortir de la norme si besoin est.
Elle se sent sous pression à cause de son travail, du fait qu'elle n'ait pas d'enfant alors qu'elle a 30 ans.
Les responsabilités, qui est une capacité à répondre et réagir, l'étouffent. Son divorce difficile et long et sa manière d'être lorsqu'elle est en couple, l'a font tomber dans la dépression.
Donc elle va apprendre l'Italien, cette langue si belle et chantante. Puis elle va manger tout et autant qu'elle le souhaite, jusqu'à ne plus renter dans ses vêtements.
Elle poursuit son périple en Inde où elle intégrera un ashram qui est un lieu de méditation.
Elle fera du yoga (Union en sanskrit), afin de trouver l'union entre le corps et l'esprit.
Elle essaiera de mettre en pratique ce que souhaite son Guru (Gu = obscurité, Ru = lumière).
C'est la partie qui m'a semblé la plus longue dans ce roman. L'auteure décrit ses longues périodes de méditation qui durent des heures.
Elle parle de Yogi et de Guru. le yogi est celui qui atteint l'illumination et baigne dans cette félicité permanente.
Le Guru est un grand Yogi qui est capable d'amener d'autres personnes vers cet état.
Le but est de lâcher prise.
Dans la dernière partie qui concerne donc l'Indonésie, elle parle d'amour.
L'amour, de soi en premier lieu. Apprendre à s'apprécier tel que l'on est physiquement et mentalement. Aimer les autres. Aider les autres et par là s'aider soi. Apprendre à donner et recevoir.
Pas un livre qui se lit facilement donc. Il faut prendre le temps. Pour autant, je ne le considère pas comme un livre de développement personnel.
Comme je le dis souvent, certains livres doivent être lus à un moment donné. C'était le bon pour moi, sinon je pense que je n'aurais pas pu le terminer.
A vous de voir si il est fait pour vous.
J'ai terminé ma pizza et je rentre encore dans mon jean, je vais voir si je me mets au yoga ;-).

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Un livre intéressant mais j'ai vraiment eu du mal à rentrer dedans au début. Sa vision (même de l'Inde) est très occidentale et américaine (tout est magnifique) et j'ai eu du mal à avoir de la compassion pour ses problèmes (un divorce et une peine de coeur qui la plongent dans une dépression, cela fait vraiment "pauvre petite fille riche" et j'ai eu un peu de mal avec ça...). Sinon, c'est plutôt agréable à lire.
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Dans ce récit, Elizabeth Gilbert nous raconte son voyage mystique à la recherche d'elle-même, pour se remettre d'une rupture difficile en trois étapes : la recherche du plaisir en Italie, la quête de Dieu en Inde et enfin la recherche de l'équilibre parfait en Indonésie.
Cette autofiction qui nous fait voyager de New York à Rome, d'un ashram au fin fond de l'inde aux plages de Bali, a la qualité des textes simples et efficaces dans lesquels on se reconnaît volontiers ; je me souviens d'avoir ressenti la même chose en lisant du Paul Coehlo ou du Werber il y a quelques années.
Je me suis intéressée à ce livre parce que je recherchais un récit d'expérience mystique sans être religieux et par curiosité pour sa recette de best-seller. Je n'ai pas été déçue de ces deux points de vue. L'approche du divin, qui devient ici une quête de l'acceptation de soi, est originale et donne envie d'en savoir plus sur les spiritualités orientales. Elle fait de ce livre un moment résolument optimiste, une sorte de "feel-good book" avec une touche de spiritualité à la mode (à base de yoga et de méditation), qui donne l'impression qu'un bonheur facile est à portée de main de chacun et explique probablement son succès. Quelques longueurs mais sa forme, en chapitres courts qui ne s'interdisent pas de se répéter, rend facile le fait de l'abandonner quelques semaines sur la table de nuit avant de le reprendre.
Bref je ne le qualifierais pas de génial ou inoubliable pour autant mais je ne regrette pas de l'avoir lu.
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J'ai beaucoup aimé l'écriture d'Elizabeth Gilbert, c'est vraiment bien écrit et agréable.
Pour l'histoire je suis un peu plus mitigée,iIl y a des passages un peu longs (le récit de la dépression et du marasme dans lequel elle nage en permanence) et de manière générale, c'est un peu trop mystique pour moi. Je m'attendais un peu plus à un journal/ carnet de voyage.
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