Le bazar du zèbre à pois

Le bagnard ... Comme l'image est bien trouvée pour incarner nos inhibitions, nos peurs, ces croyance qui emprisonnent nos idées audacieuses et les empêchent de se réaliser.
Quelle belle métaphore de la prison de l'esprit qu'on se construit soi-même, avec les barreaux de la peur du jugement, du regard d'autrui, de l'échec...
Je l'ai souvent dit à Arthur : il n'y pas d'échecs. Que des expériences.

C'est l'inconvénient de trop laisser son cerveau gauche aux commandes ! On finit par tomber dans les écueils de la normo-pensée. L'excès de normatif. Esprit critique surdéveloppé, rationalisation à outrance, raisonnement dans un cadre attendu et trop bien défini, qui parfois ne permet pas de trouver les solutions à un problème. Car la solution se trouve souvent hors du cadre. Là où on ne l'attend pas.

Voilà si longtemps qu'elle ne s'est pas confiée qu'elle n'arrive plus à se contenir. Elle parle, elle parle, sans pouvoir s'arrêter. Elle a oublié comme cela peut-être bon de profiter d'une oreille attentive.

Quand mes excuses se font caresses, elle finit par rendre les armes.

Tant qu'on arrive à étonner les jeunes, il y a de l'espoir !

J'avait perdu ma famille en perdant de vue l'essentiel, aveuglé par le miroir aux alouettes d'un carriérisme grisant l'ego, mais asséchant pour l'âme.

Giulia lève un instant les yeux du flyer et se demande à quand remonte la dernière fois où elle s'est autorisée un moment de liberté durant lequel se consacrer à une activité sans utilité immédiate apparente. Un temps de retour à soi pour laisser flotter les réflexions, les pensées, les sensations... Ressourcer la part poétique, artistique, sensible en soi... la part vivante ?

- L'avoir, chère Audrey ! La roue infernale de la surconsommation ! Posséder plus. Toujours plus. Ca n'a pas de sens ! La quête sonne creux.

Tout le monde a "son ADN", mais il revient à chacun de l'identifier et d'en faire quelque chose :
A ffirmer son identité et ses singularités
D évelopper ses talents spécifiques
N ouvrir la confiance en sa valeur propre

"Ne perds jamais de vue qui tu es, et fais en sorte d'être là où tu dois être."