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Bobigny 1972 retrace les évènements et le procès pour avortement contre Marie-Claire Chevalier et sa mère, et défendu par Gisèle Halimi. C'est le procès contre une fille violée, dénoncée par son violeur, que Gisèle Halimi retournera contre la loi anti-avortement, un procès historique pour l'avancée des droits de la femme.

Le graphisme est classique, la colorisation joue sur les tons rétros qui cadrent bien avec le début des années 70. le dessin est au service du récit. La narration bénéficie d'une structure efficace, comme un montage de cinéma, ménageant le suspense, mettant en exergue les moments forts, et jouant adroitement entre l'angoisse de Marie-Claire, et la volonté sans faille de Gisèle Halimi. C'est bien construit, cela permet d'ajouter de l'émotion à ce récit, de tenir le lecteur en haleine et de magnifier ces évènements.

Cette lecture m'a bouleversé, entre joie et effarement, joie pour l'issue, pour l'admiration que j'ai pour Gisèle Halimi, effarement pour l'horreur face à l'ordre établi, sexiste dans les lois et les mentalités.

Alors cette lecture est vraiment enthousiasmante, parce qu'elle révèle un élan formidable, il faut propager cette histoire, la faire connaître, et cette bande dessinée est un moyen très efficace par sa simplicité, par l'émotion qu'elle provoque, par le débat nécessaire qu'elle met en scène. À mettre dans tous les CDI du monde !
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Bobigny 1972, le procès de femmes ordinaires exposées, traitées en criminelles pour avoir fait le choix d'une vie celle de Marie-Claire. Nous leur devons aujourd'hui l'extraordinaire…

On a beau connaître les grandes lignes et les grandes figures du combat pour la liberté des femmes, c'est avec les histoires individuelles qu'on prend pleine conscience de la violence d'une loi et d'un système qui réprimaient les avortées et rejetaient les fille-mères, « parquées » dans des centres à l'abri du regard des bien-pensants. Derrière cette affaire retentissante, c'est le drame intime d'un viol puis d'une grossesse non désirée devenu drame familial car Marie-Claire a toujours été soutenue par sa mère, une femme exceptionnelle. C'est donc avec beaucoup d'émotions que j'ai vécu leurs douleurs communes et leurs moments d'intimité magnifiquement retranscrits par des dessins tantôt angoissants tantôt réconfortants. Une oeuvre qui par ses couleurs et son graphisme nous transporte avec vigueur dans les années 70, au service de l'histoire d'une noble cause.

Soutenues par Gisèle Halimi et l'association « Choisir », Marie-Claire et sa mère ont parlé au nom de toutes. Alors, tout simplement, merci!
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Une claque, une vraie, belle claque.
Quelle lecture...je suis encore émue au moment où j'écris ces mots.
Nous sommes en 1972, la loi ne permet pas encore aux femmes d'avorter, de faire le choix de garder ou non un enfant dont on ne veut pas, dont on ne peut pas s'occuper, qui parfois est le fruit d'un viol. La loi des hommes, faite par des hommes pour les femmes. Des hommes qui ont le droit de partir, de laisser la femme seule face à cette grossesse.
Comme Robert Badinter qui avait décidé de défendre n'importe quel homme qui risquerait sa tête, Gisèle Halimi défend les femmes qui se sont mises hors-la-loi en avortant.
Cette BD nous met face à l'inégalité de la femme, de par sa position sociale, face à la justice.
Cette BD retrace les circonstances qui ont conduit Marie-Claire Chevalier et sa mère, Michèle, devant le tribunal de Bobigny et nous rend les minutes du procès, les plaidoyers des avocats mais aussi des célébrités, des médecins.
Cette BD nous raconte ce verdict historique et les conséquences sur la législation française.
C'était en 1972. C'est si prêt finalement. Et quand on pense que l'avortement n'a été légal en Belgique qu'en 1991...ça laisse songeur.
Le dessin de Maurel est parfait (j'ai envie de dire : comme toujours), tant dans son traitement que dans son adéquation avec le sujet qu'il sublime.
Une lecture poignante et nécessaire. Un chef d'oeuvre
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Club N°56 : BD sélectionnée ❤️
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Très bon album qui reprend le procès de Marie-Claire Chevalier.

Cette BD nous donne un récit très clair et prenant de ce procès historique.

De nombreuses oeuvres sortent actuellement sur le sujet, que l'on peut aisément mettre en regard.

Je vous recommande notamment la lecture du roman "Nos corps jugés" de C. Cuenca.

Les deux oeuvres se complètent de façon intéressante.

Virginie
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Une lecture absolument indispensable, sur le procès de Marie-Claire Chevalier, qui a ouvert la voie à la législation sur l'IVG en France.

Les dessins expressifs de Carole Maurel accompagnent la narration très documentée et soignée de Marie Bardiaux-Vaïente.

Marie-Paule
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Quel souffle pour amener le questionnement sur l'inégalité face à la loi des femmes pauvres...

Et voir Gisèle poser les questions sociétales qui amèneront à la loi sur l'IVG est sans nul doute nécessaire à l'heure actuelle...

Vincent
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On est happé et révolté par le destin de ces femmes.

Plus que nécessaire !

Myriam
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Indispensable !

Clément
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Lien : https://mediatheque.lannion...
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Qui sont Michèle et Marie-Claire Chevalier, interpellées par la police un matin de janvier 1972 à 6h ? Deux femmes qui vont être jugées pour avortement, Marie-Claire, dix-sept ans pour avoir avorté et Michèle, sa mère, pour l'avoir aidée à le faire.

Nous sommes en 1972, l'avortement n'est pas légal, c'est un crime. Il n'y a pas encore eu de propositions pour modifier la loi. Mais déjà des voix s'élèvent face à cette situation de santé publique. Tous les ans des femmes avortent pour des raisons diverse et variées, souvent parce qu'elles n'ont pas le choix. Mais toutes les femmes ne sont pas égales devant l'avortement. En fonction de leur situation sociale, les conditions pour avorter ne sont pas les mêmes. Riches ou célèbres, elles peuvent passer par des cliniques spécialisées à l'étranger ou avoir recours à des praticiens. Pour les femmes plus modestes, l'argent est une barrière et elles ont parfois recours à des faiseuses d'anges aux méthodes pas toujours sécurisées mettant leurs vies en danger et courant parfois le risque de ne plus pouvoir enfanter.

Dans les années soixante-dix, des voix s'élèvent pour protester contre cette injustice faite aux femmes. En 1971, le manifeste des 343 est publié par Le Nouvel Observateur. 343 femmes célèbres ou anonymes reconnaissent avoir eu recours à l'avortement et en demande la légalisation.

Bobigny 1972 retrace le procès de Michèle et Marie-Claire Chevalier, défendues par Gisèle Halimi. On entre dans le prétoire et on assiste au débat. Les deux femmes sont mises en accusation par un jury composé d'hommes.

La plaidoirie de Gisèle Halimi est mise en images. C'est intéressant car ce projet va faire faire avancer les choses et certainement favoriser la loi de 1975 proposée par Simone Veil, ministre de la santé du Président Giscard d'Estaing. Deux femmes anonymes, victimes de leurs conditions sociales et du peu de courage d'un lâche géniteur, vont être défendues par Gisèle Halimi, qui décide de s'engager pour cette cause, pour la libération des femmes du joug des hommes.

Revenir sur ce procès, c'est aussi rendre hommage et celles et ceux qui sont venus témoigner et apporter leur soutien, prenant leurs responsabilités. On retrouve les témoignages de Simone de Beauvoir, Delphine Seyrig mai aussi le professeur Monod, le professeur Milliez et Michel Rocard.

C'est un vrai débat de société, comme un combat entre les anciens et les modernes ou plus simplement pour une juste égalité entre hommes et femmes. Ce procès est un coup de projecteur, le moyen d'une médiatisation importante.

Ce roman graphique permet aussi de retracer les parcours d'une mère et d'une fille. Leurs angoisses fassent à une grossesse non voulue, celles pour une recherche de solution. On évoque leur sentiment de honte et d'injustice, la peur de la jeune fille devant subir l'avortement.

Les graphismes de Carole Maurel sont parfaitement adaptés au récit de même que les couleurs choisies, correspondant aux couleurs des Bd de l'époque. Tout est fait en finesse sans fausse pudeur grâce à l'utilisation judicieuse de gros plans qui suggèrent plutôt qu'imposer.

J'ai beaucoup apprécié cette lecture, de revenir sur un fait de société historique ayant eu des conséquences sur l'évolution des lois jusqu'à l'inscription récente de la légalisation de l'avortement au sein de notre constitution.

Lecture émouvante, éducative, politique. Un grand moiment pour moi.
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Qui se souvient de Michèle Chevalier, réveillée à 6h du matin par la police en ce mois de janvier 1972 ? Qui se souvient de sa fille, Marie-Claire, 17 ans, séparée de sa mère au commissariat de police, accusée d'avoir avorté ? Te rappeles-tu du procès de Bobigny qui débuta en octobre 1972 et qui sera décisif dans la future législation pour le droit à l'avortement ?

Dans "Bobigny 1972" Marie Bardiaux-Vaïente relate ces évènements. En partant de Mme Chevalier et de sa fille, elle déroule le fil de l'injustice. On y croise les figures de ces moments historiques: Gisèle Halimi, Delphine Seyrig, Simone de Beauvoir... et on comprend mieux qu'au-delà du souvenir, c'est aussi du présent et du futur que parle cet album. de ce qu'il faut préserver, défendre, de la vigilance qu'il faut maintenir....

C'est facile à dire une fois que c'est fait mais Carole Maurel était la personne idoine pour accompagner graphiquement ce récit. J'ai déjà dit tout le bien que je pense de son travail. L'humanité de ses personnages, les émotions, les ambiances collent parfaitement au contexte des années 70 et à la puissance des évènements relatés. Bravo, encore une fois !

Cet album est un nouveau coup de coeur de cette rentrée d'hiver. Il véhicule une mémoire indispensable, il est un lien avec les nouvelles générations tout en dégageant une force graphique à la hauteur de l'enjeu. Merci Mesdames !
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« Bobigny 1972 » est un roman graphique engagé qui retrace un procès qui nous semblerait révoltant aujourd'hui. En effet, Marie-Claire Chevalier, enfant de 15 ans au moment des faits, est accusée d'avoir eu un avortement après être tombée enceinte suite à un viol. J'évite volontairement le mot « subir » qui est bien sûr mis en avant dans la plaidoirie de Gisèle Halimi et les autres témoins, mais parce qu'il ne semble pas venir à l'esprit de ces hommes, qui à l'époque, ont jugé cette jeune fille. D'ailleurs, je poursuis sur ma lancée, le procès dans ses débuts semblent assez irréaliste, car les hommes de la cour ont remis en cause la parole de Marie-Claire qui revenait sur les faits et sur le viol qui a déclenché l'avortement. Ils ont douté de ce viol, car elle n'a pas porté plainte, en la plaçant comme une affabulatrice et comme la criminelle. Certains passages en tant que femme me semblent révoltants et dénonce la méconnaissance du monde féminin par les hommes.
Quoique j'en dise, la bande dessinée remet bien le contexte en place. Un contexte d'acquisition des droits de la femme, dont la bande dessinée se fait la mémoire.
J'avais déjà entendu parlé de cette affaire, sans vraiment en connaître les détails (il est évoqué notamment des « Les grandes oubliées » de Titiou Lecoq que j'ai lu récemment et qui m'a donné l'envie d'en savoir plus). J'ai découvert grâce à ma lecture, que Gisèle Halimi s'est fait l'avocate de Marie-Claire Chevalier et de sa mère (gratuitement, car les sujets de ces types de procès, comme c'est évoqué dans le livre, sont souvent des femmes peu aisées). Son travail lors de ce procès est assez étonnant, car on nous dit qu'elle a fait en sorte de juger la loi qui interdisait les femmes d'avorter, en faisant intervenir, non des témoins directs mais des médecins pratiquant l'avortement (dont le prix nobel de la médecine), des femmes dont Simone de Beauvoir et Delphine Seyrig... ayant subis des avortements, pour montrer le caractère absurde de la loi appliquée de manière non égalitaire.
L'ouvrage prend fin, avec le discours de Simone Veil devant l'Assemblée nationale…
Je pense que cette bande dessinée est surtout éducative, elle nous remet bien en mémoire ce que nous avons gagné, comment et à quel point il faut qu'on y fasse attention.
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Bobigny 1972
France 2024
52 ans d'écart
Et presque aucune avancée
On entend, lit ou voit les mêmes réponses et réactions : « elle l'a bien cherché », « elle n'a eu que ce qu'elle mérite », « t'as vu sa tenue ! », « elle avait bu ! » et j'en passe.
La rage et la tristesse m'ont accompagné tout au long de me lecture.
Pourquoi les femmes doivent-elles lutter pour vivre comme elles l'entendent ?
Pourquoi les hommes ont ce besoin de dominer les femmes ?
Pourquoi veulent-ils à ce point diriger la vie et les décisions des femmes ?
~
« Bobigny 1972 » est on ne peut plus actuel. L'avortement redevient illégal dans de nombreux pays. Toujours des hommes pour faire les lois, imposer leur diktat, dominer le féminin.
Alors oui, il est indispensable de voir « Bobigny 1972 » remettre un bon coup de rappel, et de bien belle manière. C'est beau, c'est poignant, c'est déchirant, c'est fou. Oui, j'ai toujours du mal à me dire que ces pensées sont d'une mentalité en retard… et nous sommes toujours en retard.
~
Cette BD fait mal mais c'est un mal nécessaire. Elle appuie là où ça fait mal pour nous rappeler que rien n'est gagné d'avance, que la lutte est nécessaire pour briser les murs, les mentalités arriérées, le silence… Une lecture bouleversante.
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Cette bande dessinée, un one-shot, relate le procès de Marie-Claire Chevalier, une adolescente de 16 ans, qui a avorté après un viol. Cet acte, en 1972, était encore illégal et celles qui le pratiquaient ou qui en étaient complices risquaient une peine de prison. Les femmes les plus aisées pouvaient se faire avorter à l'étranger ou payer les frais médicaux d'un gynécologue. Mais, les plus modestes comme Marie-Claire Chevalier avaient recours à des faiseuses d'ange. Or, ces opérations clandestines et parfois non médicalisées pouvaient s'achever de manière tragique pour les femmes qui y recouraient. Dans les années 70, certaines d'entre elles commencent à se battre pour faire légaliser l'avortement dont l'avocate Gisèle Halimi. Cette dernière accepte de défendre Marie-Claire Chevalier gratuitement à condition que le procès ne devienne médiatique et ne soit la vitrine de la lutte contre la dépénalisation de l'avortement et le droit des femmes.

J'ai eu un énorme coup de coeur pour cette bande dessinée. Elle est parfaitement bien documentée sur le contexte historique et social des années 70. Elle aborde le procès de Bobigny de 1972 de manière claire tout en présentant succinctement le déroulé des événements ainsi que l'histoire des principaux protagonistes. Les dessins sont également très expressifs et savent se montrer pudiques lors de certaines scènes difficiles. J'ai trouvé cette bande dessinée très émouvante que ce soit le récit de la jeune femme mais aussi la ténacité de son avocate face aux juges dont la plaidoirie restera dans L Histoire. Je la conseille vivement.
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On ne s'étonne pas de trouver Carole Maurel au scénario et à la couleur de cet album. Elle a déjà écrit sur des sujets sensibles liés aux femmes dans de magnifiques albums comme "Ecumes", "En attendant Bojangles" ou "Collaboration horizontale". Les femmes sont au coeur de l'Histoire et des récits. Aucune mise en lumière n'est négligeable. Pour la première fois, on trouve une bd qui parle du procès de Bobigny avec Gisèle Halimi. Il est souvent cité dans les bd féministes comme un évènement important. Là, on explore l'intégralité de l'évènement et son impact de la société. On pourrait dire que les aspects les plus sombres n'ont pas été abordés. Où sont les intégristes religieux? Ceux qui ont menacé de mort les femmes demandant la liberté de leur corps? Tous ces opposants prônant un conservationnisme relatif à des valeurs morales d'un autre temps, très phallocrates. Les paroles de haine n'ont pas leur place ici.

On se concentre sur le déploiement d'un procès couvert au niveau national, montrant une adolescente de 15 ans violée, Marie-Claire Chevalier, et qui a avorté. On remet en cause son viol dont la définition légale reste flou. Elle "sera punie d'un emprisonnement de six mois à deux ans et d'une amende de 360 F à 20.000 F la femme qui se sera procuré l'avortement à elle-même ou aura tenté de se le procurer, ou qui aura consenti à faire usage des moyens à elle indiqués ou administrés à cet effet". D'ailleurs, on ne cherche pas à condamner son agresseur ni mettre le focus sur lui qui est à l'initiative de ce procès.

Grâce à la détermination de plusieurs femmes qui ont oser dire publiquement "on a avorté", les lignes changent. Une association se crée, des professionnels de la santé même croyant prônent le droit aux femmes de disposer leur corps, quelque soit leur statut social. Comme toujours, quand on est riche, on a le droit de s'acheter du soin de qualité et de la respectabilité. Des femmes dénoncent ces discriminations qui mettent en peine toujours les plus pauvres. On a le droit à une partie de la plaidoirie de l'avocate Gisèle Halimi et par les voix des personnes célèbres (à l'instar du manifeste des 343) comme Delphine SeyrigSimone de Beauvoir, professeur Monod, prix Nobel de la médecin... La méconnaissance du corps de la femme s'est fait bien comprendre à travers une question sur le spéculum pour savoir s'il se mettait dans la bouche. L'ouvrage se conclut sur Simone Veil portant la loi pour l'avortement devant une assemblée elle aussi majoritairement composée d'hommes, d'hypocrites et de maris volages engrossant leurs maîtresses. La finalité est une loi. Une lecture utile qui rappelle qu'avoir des droits pour les femmes sera toujours une question de lutte. le dessin réaliste de Marie Bardiaux-Vaïente souligne la vraisemblance des faits. Elle nous immerge au plus proche des gens en variant aussi la mise en page. Enfin, on peut continuer avec les bd consacrés à Gisèle Halimi, Simone Veil et les 343.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..
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