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4,06

sur 538 notes
Un très bon polar dans la catégorie de ceux qui font l'unanimité, une valeur sûre quoi. Les personnages sont attachants et sympathiques et l'histoire originale et palpitante. Hâte de lire le tome 2.
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Ma dernière lecture d'un thriller espagnol avec La face nord du coeur de Dolores Redondo avait placé la barre à une altitude très très élevée, tellement que je viens d'ailleurs d'acquérir deux nouveaux romans de la romancière originaire du Pays basque… Qu'en fut-il derrière avec cette Reine Rouge d'un autre romancier ibérique ? Assez bon pour que je sois à l'aube d'une nouvelle virée pour aller me procurer la suite des aventures de quelques uns des personnages présents dans cet excellent opus. L'approche est moins fouillée, moins psychologique que chez Redondo, les personnages restent malgré tout complexes et l'histoire vraiment prenante. L'intrigue est peut-être plus « cinématographique », l'auteur excelle particulièrement dans la description des scènes de tension . Sans trop en dire, une scène d'assaut est décrite sur plusieurs pages avec une précision d'orfèvre, du très grand art. L'ensemble tient très sérieusement la route au point qu'on n'a aucune envie de tomber sur la fameuse dernière page. Un bilan en tous points positif pour moi et la joie d'avoir prolongé ainsi ma découverte des excellents auteurs de thriller espagnols.
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Découverte au Quai du Polar 2023 à Lyon et ce fut une belle découverte ! Une bonne histoire, une bonne intrigue et des personnages attachants ; le tout avec une belle écriture teintée d ironie (voir humour noir) dans des moments où on ne s y attend pas.
Je vais de ce pas chercher le tome deux !
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Bien troussé, une enquête sympathique avec un duo qui lorgne beaucoup (trop ?) vers Millenium. le tout fait un peu trop construit, se lit comme la future série Netflix qu'il va devenir et donne tout de même, au final, l'impression d'avoir perdu un peu son temps.
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Pour écrire quelques mots à propos de ce roman, je tiens à prendre en compte la note de l'auteur, Juan Gómez-Jurado. Ce dernier craint que des lecteurs dévoilent le dénouement de « Reine Rouge » alors faites comme moi, laissez vous porter par une recommandation positive sans même vous intéresser à la quatrième de couverture afin de n'avoir aucune attente et de découvrir l'histoire au fil des chapitres. Pour ma part, c'est de cette façon que je découvre la plupart des romans que je lis. J'aime l'idée d'ouvrir un livre à partir d'un détail, que ce soit la couverture, la maison d'édition, la renommée d'un auteur ou alors dans ce cas par exemple, sa nationalité afin d'étendre ma carte d'auteurs lus et voyager à travers la littérature. Et pour un premier thriller espagnol, je n'ai pas été déçue, bien au contraire ! L'intrigue tient en haleine et le rythme des chapitres avec l'alternance de point de vue accentue ce côté « page-turner ». Il ne décroche pas le coup de coeur mais n'en reste pas moins un très bon roman qui me donne envie de suivre l'activité de l'auteur espagnol…
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A la suite d'un certain nombre de lectures exigeantes, l'envie m'a pris d'un roman dont la consommation m'assurerait distraction et repos de l'intellect. Mon choix s'est porté, "au petit bonheur la chance"sur "Reina roja" de Carlos Gómez Jurado, alléché par un certain nombre de critiques favorables, et par le fait que l'intrigue se déroulait en Espagne, pays que j'aime particulièrement, et que je connais bien.
Je viens donc de terminer ce gros pavé espagnol qui m'a paru correspondre parfaitement à la cuisine ibérique (à laquelle je reproche volontiers d'être souvent indigeste et trop grasse): je ne reviendrai donc pas goûter la cuisine littéraire de C G Jurado après cette expérience assez désastreuse.
La recette de l'auteur est simple: prendre deux héros que tout oppose (une jeune femme à haut potentiel présentant un trouble du syndrome autistique et un policier basque homosexuel en délicatesse avec sa hiérarchie); ajouter un Deus Ex Machina disposant de moyens techniques extraordinaires, et au service des puissants espagnols; plonger l'ensemble dans le milieu des hyper-riches (copier-coller de la famille espagnole propriétaire des magasins bien connus qui vend les t-shirts à 9€); ne pas se soucier de la moindre vraisemblance de l'intrigue et des rebondissements; saupoudrer de tics littéraires récurrents pitoyables, sans souci des crises d'urticaire que la lecture risque de provoquer chez l'infortuné lecteur; ne pas chercher à donner la moindre réalité psychologique aux personnages; mélanger et épaissir la sauce jusqu'à consistance d'un pavé (654 pages sur ma liseuse).
Bref, j'ai encore sur l'estomac la lecture de Reina Roja. le héros masculin vante les kokotxas de sa maman: nonobstant la quantité importante d'huile pour ce plat, il est à coup sûr moins pesant que le livre de CG Jurado. Vive Dolores Redondo et ses intrigues navarraises!
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Pour ma 2e lecture de janvier je change de pays avec le 1e tome d'une série écrite par un auteur espagnol maniant l'humour noir.

L'héroïne est Antonia Scott, enquêtrice atypique car elle n'est ni de la police ni criminologue. Ce qui ne l'a pas empêché de résoudre de nombreuses affaires criminelles dans le passé.
Après un accident, elle décide de tout arrêter et de se refermer sur elle-même, de s'enfermer seule dans son appartement vide.
Mais l'inspecteur Jon Gutiérrez, officiellement mis à pied sans solde par la police de Bilbao, a besoin d'elle pour une dernière affaire que la police madrilène ne peut résoudre : un assassin particulier s'en prend aux héritiers des familles les plus fortunées d'Espagne. Son mobile n'est pas l'argent ni le fait d'aimer tuer.

Le roman est divisé en plusieurs parties. Elles-mêmes divisées en chapitres dont les titres sont des noms communs accompagnés d'un déterminant. Élément que j'ai trouvé plutôt intéressant. le lecteur se demande la raison du titre du chapitre et le découvre dans celui-ci.
Les personnages sont plutôt atypiques et on s'y attache.

Tout au long du roman l'action est trépidante avec parfois l'impression d'une course contre la montre
J'ai trouvé le style de l'auteur assez particulier et original avec des métaphores et des comparaisons loufoques, des apartés faisant sourire…
J'ai beaucoup aimé cette immersion en Espagne (essentiellement à Madrid) et j'ai hâte de lire la suite des aventures de l'héroïne.
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Comment commencer l'année sous de bons auspices livresques ? Eh bien tout simplement en lisant Reine Rouge ! Dès les premières pages j'ai tout de suite su que ce roman allait être un coup de coeur. Antonia n'est ni medium ni mentaliste mais elle est capable d'analyser une scène de crime comme personne. elle fait partie du projet Reine rouge, projet mené en secret par Interpol pour régler des affaires qui nécessitent d'opérer en sous marin des canaux officiels. le chef du projet, Mentor, envoie l'inspecteur Jon Gutteriez sortir Antonia de la tannière dans laquelle elle s'est réfugiée suite à un drame personnel.

Elle décide d'en sortir pour se prouver à elle même qu'elle n'est pas finie en tant que professionnelle et en tant que femme.

J'ai rencontré des personnages uniques en leur genre : Antonia, femme au quotient intellectuel unique. Comme beaucoup de prodiges, elle est un peu asociale et ses débuts avec l'inspecteur Gutteriez sont peu tendus mais ces deux là finissent par s'apprivoiser car sur le fond ils se ressemblent beaucoup, ils aiment que justice soit rendue, quel qu'en soit le prix.

On ne s'ennuie pas une seule seconde dans cette enquete menée tambour battant. le rythme est soutenu et les rebondissements tombent sans qu'on les voit vraiment venir. Il y a une scène en particulier aux 3/4 du roman qui est absolument folle, je l'ai lu en apnée.

J'espère sincèrement que Fleuve noir publiera la suite de cette série en France, je comprends tout à fait le succès qu'elle connait en Espagne et je lui souhaite le même succès en France.

Découvrez la Reine Rouge et suivez la dans ses aventures.
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Lecture très agréable - enquête plutôt bien menée.
Globalement une écriture et une histoire maîtrisée mais de façon surprenante quelques "naïvetés" - sont-elles dues à la traduction ?
Personnages que je fais déjà un plaisir de retrouver dans la suite
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Une bonne lecture.

Vous souhaitez faire connaissance avec un nouveau couple d‘enqueteurs ?

Alors je vous présente Jon Guttierez tout d‘abord. Ancien flic , gay, mis sur la touche suite a une tentative de faire tomber un proxenete pour trafic de drogue . Je précise que Jon a mis la drogue lui même dans les affaires du proxénète et que la scène a ete filmee a son insu.

Le second binôme est Antonia.
Elle vit doit reclue chez elle, soit au chevet de son mari a l'hôpital depuis 3 ans.
Mais Antonia a quelque chose de special . Son Qi dépasse les 230.

Tout deux vont etre contacte par Mentor , leur chef , pour retrouver des personnes enlevées, qui appartiennent toutes a des famille richissimes .
Mais attention ils devront travailler ensemble dans le plus grand secret car officiellement ils n'appartiennent pas ou plus a la police .

Une bonne histoire ou nous faisons connaissance de ce couple d'enquêteurs peu banal.
Cela se lit facilement car les chapitres sont courts et le rythme est présent tout au long du récit .
Je n'ai pas trouve de longueurs.

Je pense que je lirai le tome deux pour connaitre la suite .
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