Le Livre de l'espoir

Un livre basé sur des rencontres entre Jane Goodall et Douglas Abrams et leurs discussions au sujet de l'espoir. L'espoir en général, l'espoir pour notre planète, l'espoir pour la survie des êtres vivants.
Points positifs : j'ai découvert qui était vraiment Jane Goodall. Pour moi, elle était la personne qui sauvait les chimpanzés principalement. J'ai découvert une femme pleine de convictions, et qui se bat pour celles ci.
Points négatifs : j'ai eu beaucoup de mal à m'imprégner de ce livre. Peut être est ce du à la narration. J'ai trouvé les passages lourds et parfois mon esprit dérivait...
Bref, j'ai mis du temps à finir ce livre.
Mais la positivité du sujet fait du bien...

Merci à Babélio et son opération Masse Critique, Merci aux Editions J'ai Lu pour l'envoi de ce livre.

Je ne connaissais de Jane Goodhall que son implication d'éthologue auprès des chimpanzés. La première à pouvoir les approcher de manière scientifique dans leur habitat naturel, en Tanzanie. Mais Jane Goodhall, qui a maintenant presque 90 ans, ce n'est pas que cela. C'est aussi des programmes comme « Roots and Shoots » pour replanter des arbres là où les forêts son dévastées, des programmes d'aides pour les populations locales, pour les écoles… Ce sont des conférences à travers le monde pour expliquer inlassablement que nous allons à la catastrophe si nous n'agissons pas. Et de quelle manière agir, sur tous les plans. Elle nous explique la nature est extrêmement résiliente si on lui en donne la possibilité. Et surtout elle nous apporte de l'espoir. Elle me fait penser à ces vieilles femmes anglaises tenaces et têtues, dans les romans d'Agatha Christie. Elle a un immense espoir en l'humanité en refusant de voir le verre à moitié vide. Bien sûr, il faut agir contre la surpopulation, donc éduquer les femmes, bien sûr il faut arrêter le capitalisme sauvage en tenant compte de ce que la planète peut nous donner, et non pas s'accrocher uniquement aux profits. Bien sûr, il faut laisser à la nature sa place, pour que les animaux et les plantes puissent coexister avec les humains… Mais partout, face à l'adversité elle garde l'espoir.
Ce livre est écrit sous forme d'entretien avec le journaliste Douglas Abrams qui la suit dans ses déplacements. Dans ce livre, on la suit depuis son enfance en Angleterre, son départ pour la Tanzanie sous la direction du paléontologue Louis Leakey et sa ténacité pour vivre plusieurs mois presque seule dans la forêt de Gombe dans les années 70. C'est une femme remarquable. Une de ces scientifiques qui nous redonne de l'espoir, qui nous dit que tout n'est pas perdu.

Le fond de cet ouvrage est très intéressant, de nombreux facteurs d'espoir sont abordés, avec des exemples précis et stupéfiants sur la résilience de la nature et la préservation des espèces, pour peu que quelques humains aient à coeur de s'y atteler.
Par contre, la forme a été un vrai frein dans ma lecture. Je n'ai pas adhéré à cette "retranscription" d'échanges, qui amène parfois des digressions sur la vie personnelle de l'intervieweur.

Un livre passionnant.

Rédiger comme une discussion avec Jane Goodall, Douglas Abrams retrace, au fil des pages, ses échanges avec la célèbre femme concernant son travail, ses valeurs et ses espoirs.

Ce livre est passionnant puisque qu'il traite différents sujets actuels : les conflits humains, la condition animale, les dangers du réchauffement climatique. A travers ce livre, nous pouvons nous rendre compte que tout est connecté. Pour un monde meilleur, rien n'est impossible. Il faut simplement prendre conscience des choses, et faire ce qu'on peut à notre échelle.

Ce livre est clairement un message d'espoir, plein d'optimisme pour l'avenir.

Je le recommande à 1000%.

Immense scientifique à la renommée internationale, Jane Goodall est à jamais celle qui a démontré que l'outil n'était pas le propre de l'humain. L'histoire de cette jeune femme vivant avec les chimpanzés en Tanzanie dans les années 50 avait fasciné le monde entier, mais il lui aura fallu des décennies pour faire entendre l'essentiel de sa découverte : l'être humain n'est pas le centre du monde, mais un individu "sapiens" parmi toutes les espèces vivantes. Cette révolution des mentalités qu'elle a engagée avant tous est désormais réactualisée par les événements dramatiques qui frappent la planète : le réchauffement climatique, la disparition des espèces végétales et animales, mais aussi la pauvreté accrue de populations. Dans ce livre, la célèbre messagère de la paix des Nations Unies s'appuie sur son parcours de vie pour livrer à notre réflexion ses raisons d'espérer. Elle en appelle à un nouveau code moral universel pour relever les défis que font peser les menaces environnementales sur l'ensemble du monde vivant et redéfinir les liens entre l'humain et la nature.

Reste-il encore de l'espoir pour notre planète qui subit de plus en plus de dommages avec le temps ? Reste-il encore de l'espoir concernant le réchauffement climatique ? Reste-il encore de l'espoir chez les êtres humains qui pensent pour certains qu'il est déjà trop tard et que nous avons atteint un point de non-retour ?

L'espoir est un mot central dans « le livre de l'espoir » de Jane Goodall et de Douglas Abrams que j'ai eu la chance de lire grâce à une masse critique organisée par Babelio que je remercie chaleureusement, ainsi que les éditions J'ai lu qui m'a envoyé ce livre.
Depuis longtemps je voulais lire un ouvrage de Jane Goodall afin de découvrir plus en détails la vie passionnante de cette femme de conviction qui a lutté toute sa vie et qui continue encore pour défendre ses idéaux, c'est pourquoi j'ai littéralement dévoré ce livre qui se présente sous la forme d'interviews entre Jane et Douglas Abrams qui retranscrit les propos de cette dernière. Les échanges entre Jane et Doug ont lieu dans des endroits qui ont eu une importance capitale dans la vie de Jane : sa maison à Dar es Salam, sa maison d'enfance de Bournemouth… et dans ces divers lieux Jane nous raconte sa vie incroyable toujours avec beaucoup de modestie et surtout elle nous redonne espoir en l'avenir en nous faisant prendre conscience que tout n'est pas encore perdu pour la planète et que ce sont les petits gestes de chacun qui contribueront à faire avancer les choses. Selon Jane, l'espoir n'est en aucun cas associé à la passivité bien au contraire, l'espoir nécessite action et engagement. Lors de sa première rencontre avec Jane, Doug nous livre un portrait saisissant de cette dernière alors âgée de 86 ans : son sourire chaleureux, son regard noisette pénétrant d'où irradie une force magnétique, son énergie incroyable.
Et là on est amené à se questionner : qu'est ce qui fonde sa confiance en l'avenir ?
Tout au long de l'ouvrage Jane va répondre à cette question à travers des exemples très concrets, des opportunités saisies, des souvenirs, des évènements qui ont marqué sa vie, des actions qu'elle a entreprises pour faire évoluer les choses dans des pays livrés à un chaos écologique. du fait de son parcours atypique Jane possède deux qualités rarement réunies. En effet, tels les scientifiques elle désire collecter les faits avec la plus grande exactitude, cependant la chercheuse qui vit en elle souhaite également sonder les questions les plus fondamentales de l'humanité. Dès lors, lorsque l'on a compris cette double facette chez elle, il est plus aisé d'adhérer à sa vision de l'espoir.
Lors de la lecture de ce livre j'ai été impressionnée par la volonté de Jane qui a consacré une partie de sa vie à l'étude et à la protection des chimpanzés en mettant en évidence le fait que ces derniers sont dotés d'une conscience et d'une intelligence. Entre les liens qu'elle a su déceler entre la protection de la faune, de la flore et la sauvegarde de la planète. Les nombreux combats qu'elle a mené pour le droit à l'éducation, la protection de l'environnement… Ce livre devrait être lu part tous car il aborde des points fondamentaux sur lesquels il est essentiel de se questionner au vu de la situation actuelle.

Merci à Masse Critique et aux Editions J'ai lu pour m'avoir permis de découvrir ce livre et pour votre confiance.
Petite fille, je rêvais de devenir Jane Goodall... Mais on ne le devient pas juste en rêvant.
Sous un format d'entretien, Douglas Abrams tente de répondre avec Jane Goodall à la question de ce qui pourrait faire changer les choses. Arrivés à un point de non retour, il est plus qu'urgent d'agir. Quels leviers avons-nous?
L'espoir. Voilà un des leviers que nous présente cette femme qui parcoure le monde pour alerter et tenter de faire changer les choses.
Organiser en plusieurs parties réparties sur différentes périodes, nous commençons par une définition, car pour communiquer, il est important de vérifier que nous parlons de la même chose. L'espoir est ici présenté comme un moteur de changement. L'entretien s'oriente alors vers quatre raisons d'espérer à la fois en prenant conscience de la richesse de l'intellect humain, la résilience de la nature, l'importance d'investir dans la jeunesse et enfin la puissance de l'esprit humain pour surmonter.
Le format entretien n'a pas ma préférence pour aborder ce genre de sujet, d'autant qu'il contextualise les choses au sein d'un espace qui touche à l'intimité et je me sens alors mise dans une position très extérieure, voire voyeuriste. Néanmoins, le contenu est passionnant et une réelle source d'espoir. On peut tout faire, mais pour cela, le collectif est primordial. de plus, nous avons le droit à certaines anecdotes de vie qui permettent de continuer à espérer et de délivrer un message rassurant sur l'espèce humaine. J'ai particulièrement aimé l'exemple du projet éducatif international, humanitaire et environnemental Roots & Shoots développé par Jane GOODALL. Il suffit d'un rien pour accomplir de grandes choses, voyons petit mais efficace.
Et pour conclure, je reprendrais ces derniers mots : "Prodiguez votre aide tout autour de vous, soyez une source d'inspiration, faites votre part. Trouvez quatre bonnes raisons d'espérer, et laissez vous guider par elles...

Jane Goodall est bien gentille, elle a plein d'espoir, elle croit fermement à l'incroyable intellect humain et sa puissance d'esprit. Elle « sillonne » le monde pour faire la leçon à tout le monde en expliquant qu'il faut faire attention à ce qu'on achète, planter des arbres et faire moins d'enfant. Tout ça c'est très gentil, mais à aucun moment elle ne remet en question sa propre vie et le fait, tout de même,qu'elle prend l'avion pour faire le tour du monde pour alerter sur le réchauffement climatique. Ce serait un peu comme mettre le feu à une forêt pour alerter sur les dangers des incendies. Et évidement, tout ça, c'est une question individuelle, il faut que chacun fasse un petit effort et on va s'en sortir ; On ne parle pas ici du système capitaliste, de décroissance, de changer tout le système. Non c'est finalement un problème avant tout individuel et par des petits gestes, on vaincra. C'est très mignon, très développement personnel en fait et très loin de la réalité.
Le livre lui même n'est pas désagréable à lire, et les anecdotes et les petits histoires rapportées, tout comme la vie de Jane Goodall sont intéressantes, mais en termes de réflexion sur l'écologie, ça ne va pas très loin. le titre lui même est très « vendeur », tout comme le sous titre qu'il y avait sur mon édition « Pour un nouveau contrat social » ( chose que je n'ai pas vu du tout mais bref ).