L'Épée de vérité, tome 11 : L'ombre d'une inquisitrice

Grosse déception même si, à ce stade-là, je n'en attendais plus grand chose.
Pour résumer, il ne se passe rien ou alors c'est complètement tiré par les cheveux. Richard galère pendant des pages et des pages avant de se rendre compte qu'il a la science infuse et (alleluia) sauver le monde.
Les méchants, toujours plus nombreux (ils poussent comme des pâquerettes dans cette saga) sont caricaturaux à souhait; et on en vient presque à espérer qu'ils rasent le monde pour que la comédie cesse.
J'ai quand même fini le tome parce que j'espérais une fin un peu plus élaborée que ce qu'il laissait présager: raté. Cet opus est à l'image d'une bonne partie de la saga: creux, répétitif, sans réel intérêt.
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Quand j'ai commencé ce tome, je n'avais vraiment pas envie... Allez, c'est le dernier me suis-je dit... Et heureusement ! Que ce cycle fut long et ennuyeux à l'exception des deux premiers romans.
Ma recommandation : arrêtez vous au deuxième tome. Vraiment dommage.

Que dire de ce dernier tome, si ce n'est décevant ?
Cette série a beaucoup trop traîné en longueur avec certains tomes (le 7 en particulier) qui m'ont donné envie d'arrêter. J'ai pourtant persévéré jusqu'à la fin, et ma première réaction devant ce "deus ex machina" a été : "il se fout de notre gueule." 11 tomes pour ça, c'est trop. Mais bon, l'esprit était là et la fin attendu enfin arrivée... Et ben non, ce cher Terry a décidé de tirer un peu plus sur la corde puisqu'un 12e tome est sorti, et là c'est hors de question que je me fasse avoir une fois de plus.