Méto, tome 1 : La maison

La grande force de Méto, du moins de ce premier tome, c'est vraiment le suspense maintenu de bout en bout. J'ai débarqué dans l'univers de cette fameuse Maison comme si j'étais moi-même une nouvelle pensionnaire, écrasée par les règles sévères et absurdes, les sanctions, la peur constante des enfants… D'emblée, un climat très oppressant est instauré. Parfois, j'ai eu un peu de mal à suivre, puisque tous les gosses ont des pseudos antiques à la « Crassus », « Titus » ou encore « Bonusmalus »… Ah non, merde, ça c'est dans Astérix. Il est assez difficile de se souvenir qui est qui tant les règles de la Maison tendent à uniformiser les comportements et les personnalités. Cet aspect un peu « froid » de Méto pourra peut-être en rebuter certains, mais perso, j'ai trouvé mon compte ailleurs.

Il était intéressant de voir comment cette micro-société autoritaire fonctionne, et bien sûr, de suivre les différents comportements des garçons face à la tyrannie des adultes surnommés les César. Entre peur, rébellion, trahison… Méto doit apprendre à reconnaitre ses alliés et à organiser la résistance en secret. C'est la question du pouvoir et des responsabilités qui en découle qui est largement évoqué dans ce roman, et certains passages n'ont pas manqué de me faire penser à Orwell et à sa chère Ferme.
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Méto vit avec soixante-trois autres enfants dans une grande maison complétement coupés du monde. Dans leur emploi du temps minuté et immuable, chacune de leurs actions, de leurs attitudes sont surveillées. Un jour, Méto cherche à comprendre ce qui arrive à ceux qui, ayant grandi, disparaissent.
Un récit au départ austère et angoissant, aux nombreux personnages dont il ne faut pas perdre le fil - Mais quand l'action s'accélère, les pages défilent très vite jusqu'au tome 2 !

Pour bons lecteurs, dès la 5e

Depuis longtemps je voulais lire cette trilogie, à cause de son succès mais surtout parce que Yves Grevet est un auteur dont j'ai beaucoup apprécié certains romans, notamment L'Ecole est finie, et Seuls dans la ville entre 9h et 10h 30.
Mais j'hésitais car la dystopie n'est pas mon type de lecture préférée.
Et en effet, je ne suis pas vraiment entrée dans l'histoire, que j'ai trouvée un peu violente, même si je reconnais que c'est un roman intéressant et bien écrit.
Il se lit rapidement et facilement, et je suis allée au but sans problème, mais sans vraiment partager le quotidien de cette maison.
Une vie vraiment terrifiante, un monde horrible et sans pitié.

J'hésite à continuer la trilogie.
Le tome 1 s'arrête vraiment en pleine histoire !
Mais le second recommence avec encore plus de brutalité.
Ce ne sera décidément pas ma lecture favorite.
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Que j'ai trouvé cela long!!!! La mise en place s'éternise. le roman pourrait s'en tenir au tiers. On a l'impression que "ça part" uniquement vers la fin, lorsqu'une coalition entre les garçons se forme. Il faudrait que je lise la suite pour être plus objective et bienveillante mais je n'en ai pas envie. Ce livre, néanmoins, peut être conseillé en lecture à des élèves de cinquième dans le cadre de l'objet d'étude "Vivre avec les autres"! ;-)

Pour résumer, il y a un garçon qui s'appellent Méto. Il vit dans un pensionnat, il est responsable d'un garçon pendant un certain moment. Ils sont 64 élèves, il y a aussi des "Césars", des surveillants. Ils doivent compter avant de manger. S'ils brisent leurs lits, ils sont virés. Au début, Méto est responsable d'un enfant pendant 1 mois et à la moindre erreur, il prend tout.
Ce livre est un peu violent. J'ai ressenti de la haine entre les personnages. Il manque de la joie car les personnages s'affrontent toujours. L'histoire est pas mal, mais il reste des défauts à améliorer comme les personnages (ils doivent être plus réalistes). Mais, il y a des points positifs comme l'aventure qui se déroule au cours du temps.
Sidi

Ce livre nous emmène à la rencontre de Méto, un adolescents faisant parti de "La Maison" une sorte d'ophelinat de garçons exclusivement. Les règles y sont très strictes :
- si le lit craque, c'est l'explution,
- si le bandeau craque, c'est une étape de moin avant l'expulsion.

Face à un quotidien sur-contrôlé, à des régles et des pratiques des plus étranges, les habitants de la Maison se posent des questions interdites mais pourtant bien existancielles :
- D'ou vient-on ?
- Que nous arrivera t'il après La Maison ?
- À quoi ressemblent les humains femelles ?
Alors, Méto et ses camarades vont se lancer à la recherche des réponses à ces questions.

Deuxième fois que je m'aventure dans un ouvrage de Yves Grevet et deuxième fois que c'est une bonne lecture mais sans plus.
C'est juste un très bon livre avec un très bon scénario mais que l'on ne retiendra pas forcément. Si vous avez soif de dystopie et de mystère sociétal alors lancez-vous, mais si vous recherchez un livre marquant ça ne sera pas lui.

Mais bon... ne soyons pas mauvaises langues, c'est un bon livre. En tout cas moi je tente la suite !

Méto vit sur une île, avec d'autres garçons. Il n'a aucun souvenir de sa vie d'avant. Ce qui se passe dans le monde extérieur ? Il l'ignore. Tout est réglé comme une horloge dans son monde et gare à ceux qui grandissent trop vite et « craquent » leur lit, car ils disparaissent et sont remplacés par de nouveaux arrivants.
En voilà un livre étrange dont j'ai dévoré la première moitié. C'est glauque, noir, violent, quasi sadique et surtout emplit de mystère. On s'interroge beaucoup sur le pourquoi du comment dans cette histoire. Et puis vient la seconde partie, que j'ai trouvée terriblement classique : la rébellion, la fuite,... éternels thèmes des livres pour ado...

Méto vit avec d'autres garçons dans La Maison. Leurs journées sont encadrées par les César et rythmées par des cours où il ne faut pas trop se poser de questions, des repas où chaque coup de fourchette est chronométré, du sport, du chant et le jeu d'inche où ils peuvent évacuer les tensions. Mais tout manquement au règlement se traduit par des jours d'isolement au frigo et lorsqu'ils deviennent trop grands, les garçons disparaissent emmenés par des soldats mais où?
Niveau : 5e bon lecteur

Le premier volume de cette trilogie décrit un univers carcéral où chaque geste quotidien des enfants prisonniers est réglementé, chronométré, conditionné. (...)
Sans en avoir l'air, son roman est un outil politique et philosophique parfaitement réussi. Et l'on a hâte de découvrir la suite.

Article complet en suivant le lien.
Lien : http://bibliothequefahrenhei..

Le livre que j'ai choisie puis lue s'appelle Méto, qui à été écrit par Yves Graver, et qui à été ensuite publié en 2008.C'est un roman de science-fiction,un peu surréaliste,mais qui se lit facilement.Son genre est la fiction.

On ne sait pas trop quand se passe l'histoire car le personnage principal ne décrit pas l'époque.
C'est l'histoire d'un garçon prénommé Méto,qui vit dans une "maison".Cette maison il ne sait pas où elle se situe,il sait juste qu'il là depuis plusieurs années.Il y a d'autres enfants, soixante-quatre, qui s'appellent:Marcus, Polus , Spurius , Claudius....
Un jour un petit nouveau arrive qui se nomme Crassus . Méto et Crassus vont apprendre à faire connaissance et vont très vite devenir amis car Méto doit lui apprendre certaines règles comme par exemple: que les enfants doivent attendre plusieurs secondes pour repiquer dans leurs assiettes pour manger.Mais Méto sais qu'il va bientôt partir car il est rouge et est là depuis longtemps, il se pose une seule question: " Où vais-je aller après la maison ?"

Je recommanderais ce livre aux personnes qui aiment les bons livres et qui aiment les aventures un peu surhumain et non-réaliste.
Au début du livre,j'ai complétement accrochée parce que je voulais savoir la suite du roman.Au fil des chapitres, l'histoire est très suprenante.Comment le personnage décrit son histoire,on s'imagine comment cela est possible.
Méto est une découverte effrayante pour moi,c'est très captivant,la maison dans lequel les enfant sont enfermés fait penser à une "secte". Je suis restée sur ma fin, sans vraiment de surprise mais cela n'empêche pas aux gens de le lire alors si vous aimez les livres d'aventures extravagants, allez-y !
Victoire.T