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4,14

sur 3565 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Déjà plus de 300 critiques sur ce livre et en voilà une de plus ! Enfin une critique, je pense que c'est vite dit. Pour jouer un peu, j'ai demandé à mon amoureux de me choisir un livre dans la bibliothèque et c'est celui-ci qui a été tiré au sort. Je dois avouer que les pavés m'ont toujours fait peur, allez savoir pourquoi. Des années qu'il était dans ma pile à lire, c'était peut-être son moment.

Je viens de finir plus de 700 pages et me voilà incapable de vous résumer cette histoire. J'ai trouvé ce roman très long, j'ai même mis plus de deux mois à le lire. le repoussant sans cesse, en commençant un autre en attendant. Pourtant, il s'y passe beaucoup de choses. le personnage principal, Michel, a douze ans en 1959. Et sa vie est faite de rencontres, de rebondissements, d'étonnement, de douleurs, de joies et d'histoires émouvantes. Mais avec toujours cette impression de lenteur, de gris, d'ennui. Peut-être suis-je passée complètement à côté étant donné que la majorité des critiques. Et en effet, ce n'est pas un livre que je déconseille. Il est étoffé, avec de vrais personnages, des histoires présentes et passées. Ce n'est pas du tout un mauvais roman. Il n'a juste pas fait écho.

Sur la quatrième de couverture, une critique parlait de "long moment de plaisir". Pour ma part, ça a tout simplement été un long moment.
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Bon. Premièrement, je ne comprends absolument pas comment on a choisi les lycéens qui ont attibué un prix Goncourt à ce roman tellement le contexte historique, politique et social m'a paru compliqué et sinueux. Je m'y suis complètement perdue (et il m'a rappelé d'épouvantables souvenirs scolaires). J'en déduis que je n'ai pas dû comprendre ce roman, parce que je suis restée en-dehors tout le temps. Je n'ai pas accroché à l'histoire de famille de Michel que j'ai trouvé extrêmement compliqué sans qu'on ne fasse rien pour nous aider à la suivre et sans que sa complexité n'apporte grand-chose à l'histoire. Je n'ai pas non plus compris grand-chose aux histoires de son frère, révolté contre sa mère, engagé dans la guerre d'Algérie qui sert de toile de fond que l'on effleure sans vraiment l'aborder. Je n'ai pas non plus compris pourquoi il s'accrochait autant à cette Cécile, la petite-amie de son frère, qu'il suit comme un petit toutou bien docile sans pour autant se dire amoureux d'elle, qui l'appelle petit frère mais qui le fuit à la première occasion, dont la seule ambition et de faire une thèse de littérature ou une fac de psycho et qui fait une tentative de suicide lorsqu'elle se fait plaquer (c'est une caricature de personnage féminin cette fille, mon dieu...). Et en relisant ce que j'écris, je me pose de sérieuse questions sur le titre: où est l'optimisme? Tous les personnages semblent se débattre avec la grisaille, la ruine, le déchirement, la trahison, la mort. Si optimisme il y a, il n'est pas du tout parvenu jusqu'à moi. Au contraire, j'ai trouvé l'ensemble très long, rien n'est fait pour rendre vivant les aventures des différents personnages qui prennent la forme de récits très compacts et très factuels sans lien les uns avec les autres. Seule l'histoire de Michel et son évolution m'a empêchée de fermer le livre avant la fin. Quand je relis la quatrième de couverture, annonçant un "terrible secret", j'ai l'impression d'avoir un peu été flouée sur la marchandise.
Une lecture trop laborieuse pour moi.
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Mon gros problème c'est ma vitesse de lecture. Je lis beaucoup et depuis longtemps mais lentement. Alors ce roman de 750 pages était très bien, mais la moitié aurait convenu aussi.
L'auteur se répète, fait parfois trainer inutilement certains mystères entre les personnages, l'intrigue piétine souvent... Humainement l'histoire est très bien, bien racontée et ces personnages se matérialisent pratiquement sous nos yeux. Mais... lent, c'est dommage.
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je sens que vient le moment où je vais me faire taper sur les doigts par tous les lecteurs ultra-enthousiasmés de ce livre..
je serai bien incapable de dire si j'ai aimé ou non ce livre tant je suis partagée!
il y a des moments plaisants, notamment lors de l'apparition de nouveaux personnages ou lorque le narrateur nous raconte des bribes du passé des anciens communistes qui composent le club. A ce moment là, l'histoire semble prendre son rythme et semble dire voila ce qui fait que vous ne lacherez pas le livre et pourquoi il laissera un souvenir impérissable!!!
mais le reste du temps, il y a beaucoup de longueurs,c est plat, ennuyeux, redondant...
ce que j'ai trouvé de meilleur dans ce roman c est la fin, qui il faut l'admettre est remarquable! je suis presque d'ailleurs déçu de ne pas avoir lu le roman à l'envers,j'aurai préféré dans ce sens là!! :)
en conclusion, je concerne une impression en demi teinte de ce roman: ni franchement bonne, ni franchement mauvaise!!!
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Que dire sur ce livre qui n'ait pas déjà été dit… Eh bien, je vais peut-être scandaliser toutes celles et ceux qui ont eu un gros coup de coeur, et ils sont nombreux, mais je n'ai pas du tout accroché à ce roman, au point de déclarer forfait au bout de quatre cent et quelques pages.
Il s'agit d'un roman d'apprentissage qui se déroule entre 1959 et 1964, à Paris. le jeune Michel a douze ans au début du roman, et commence à délaisser le lycée Henri IV pour des parties acharnées de baby-foot, puis pour l'arrière-salle du café le Balto où se réunit informellement une drôle de bande. Léonid, Igor, Sacha ou Vladimir, qui ont quitté l'Europe de l'Est et remâchent leurs espoirs déçus, leurs rêves et leurs familles abandonnées, entre deux parties d'échecs. Michel fait aussi la connaissance de Pierre, un ami de son frère, et de Cécile, soeur de Pierre.
Sans doute Michel a-t-il acquis beaucoup de maturité au contact des livres, car il fréquente davantage la bibliothèque que les cours de maths du lycée, mais il semble par moments peu vraisemblable qu'il soit ainsi admis par des jeunes gens de 7 ou 8 ans son aîné, qu'il devienne le confident de Cécile. Ses réponses et arguments dans les discussions ne trahissent pas toujours son âge non plus.
De plus, le style ne m'a pas éblouie plus que ça, l'histoire m'a paru s'étirer inutilement en longueurs, bref, je cherche encore le pourquoi de si nombreux coups de coeur. J'ai apprécié la description du Paris du début des années soixante, sur fond de guerre d'Algérie, qui forme une vraie atmosphère, c'est là ce qu'il y a de plus rare et remarquable, je veux bien le reconnaître, mais cela ne m'a pas suffi pour me faire tenir jusqu'au bout. Dommage, j'aurais aimé l'adorer, moi aussi !
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Je vous présente aujourd'hui ce livre de plus de 700 pages qui, au départ, m'a charmée avec son titre plutôt engageant et cette couverture prometteuse. Pour moi c'était un appel à la légèreté, malheureusement je me suis plantée en beauté.

Pour le résumé, j'ai été aidée par Violaine que je remercie (fidèle lectrice d'instagram) qui m'a envoyé une petite note avec ce dont elle se souvenait du livre et qui m'a permis de broder et de compléter avec mes propres notes (je vous rassure il n'y a là aucun copié-collé, ce n'est pas le genre de la maison). Il a été difficile pour moi d'écrire cette chronique sur ce bouquin que je n'ai pas du tout aimé.

Je commence donc par le résumé, melting-pot donc de Violaine et de moi-même.

Michel, adolescent passionné de lecture, de baby-foot et photographe amateur, se retrouve un jour dans l'arrière-salle du café Balto à Paris, sa ville. Il y rencontrera toute une bande passionnée d'échecs et composée d'hommes qui ont un point commun : ils viennent de l'(ex)URSS. Cette patrie qui les a abandonnés mais pour laquelle ils vouent encore un amour sans bornes.

Le livre relate l'histoire et les déconvenues des membres de ce club très sélect et de leur arrivée à Paris et dans le club. le bouquin commence en 1959 pour s'étendre sur plusieurs années, on estdonc en pleine guerre d'Algérie et en pleine Guerre Froide.



Les membres de ce club d'échecs n'ont pas été épargné par la vie. Ils ont subi des choses qui auraient pu en faire devenir plus d'un complètement pessimiste (ou suicidaire – c'est selon). En l'occurrence, ce n'est pas le cas puisque les membres de ce club restent optimistes en toutes circonstances…



Alors que sa famille éclate, Michel trouve un peu de réconfort auprès des membres du club.



Je pense que vous avez vite compris ce que j'ai pensé du roman. Malheureusement, on ne peut pas tomber que sur des romans « coup de coeur ».

Je n'ai pas été transportée par l'histoire et j'ai eu du mal, du début à la fin, à me mettre dans l'ambiance. Pour moi, il ne se passait rien dans ce bouquin. On y racontait juste une histoire, celle de Michel et celle de ses amis, mais une histoire pour laquelle il n'y avait pas vraiment de chute.



En revanche, j'ai adoré Michel ! Ce jeune homme que l'on voit grandir et évoluer, attendrissant et touchant. Je me suis un peu reconnue à travers ce petit bonhomme qui lit en marchant. Il ne lui estjamais arrivé de cacahuète, jamais de piquet qui promène au milieu du trottoir ou de pavé qui se lève subitement, jusqu'au jour où PAF, il se heurte à Camille en pleine lecture également. Camille, jeune fille juive dont il tombera amoureux, amour impossible…



Le roman contient également beaucoup d'évènements historiques et de personnages connus (ou pas). En temps normal, ce genre de détail ne me dérange pas du tout mais vu que je n'arrivais pas à intégrer l'histoire, ça me paressait interminable.



Le bouquin est bien écrit, rien à redire sur ce point, mais toujours trop de détails superflus pour moi qui n'avais qu'une envie, en finir.



Difficile pour moi de conseiller ce roman, mais n'ayez crainte, Violaine, elle l'a adoré. Elle en garde un très bon souvenir ; ce livre lui a appris que la vie malmène les gens, mais au lieu de la détester, ils continuent à l'aimer (Là, c'est un copié-collé ).



J'ai du mal à remettre une mauvaise critique sur un bouquin car tout est subjectif… l'avis de l'un n'est pas celui de l'autre et je suis donc contente d'avoir pu associer Violaine à cette chronique pour que vous puissiez quand même avoir un peu de positif pour terminer ! Je me suis même remise en question et ai été voir sur Babelio les critiques des uns et des autres – chose que je ne fais jamais en pleine lecture – et là, grosse claque, les avis sont plus que dithyrambiques, j'en ai rougi !

Heureusement, après un petit sondage sur Instagram, je me suis rendu compte que je n'étais quand même pas la seule à ne pas avoir aimé (OUF !).
Lien : https://livresquement-djusti..
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Ce roman , me semble plus être , un roman pour adolescents , qu'autre chose , il y a certains passages qui m'ont plu , sur l'amitié , la trahison , les secrets des protagonistes , mais je n'ai pas pu m'empêcher , de trouver que c'était une trop belle histoire , une adolescence peut-être , un peu trop lisse par moments , qui colle un peu trop aux évènements de l'époque .
Tant mieux , si ce livre , a donné envie aux adolescents de lire , mais j'aimerai avoir l'avis de personnes qui ont été adolescentes à cette période pour avoir d'autres témoignages sur l'époque .
Donc , pour moi , déception.
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A la toute fin des années 50, Michel est au début de son adolescence ; il fréquente le lycée Henri IV sans grande conviction et passe ses après-midi au Balto à jouer au baby-foot, matière dans laquelle il excelle bien plus qu'en mathématiques. C'est dans ce café qu'il fait la connaissance des membres du Club des incorrigibles optimistes : des réfugiés de Russie et autres pays de l'Est pour la plupart, férus d'échecs. Dans ce monde à part, Michel va lier des amitiés, découvrir des vies brisées, apprendre aussi la désillusion et les idéaux ébranlés. Des vies marquées par l'exil quand les petits boulots de veilleurs de nuit ou de chauffeurs de taxi ont remplacé les vocations de médecin ou de pilote. (...)
Lien : http://lencreuse.over-blog.c..
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j'ai eu beaucoup de mal a aller au bout de ce livre. Pourtant l'histoire est intéressante, mais le problème c'est qu'il s'agit d'un exposé de fait : j'ai fait ceci, il a fait cela... mais aucun sentiment n'est vraiment exprimé. Nous n'avons pas le sentiment de l'auteur sur les périodes qu'il a vécu: la guerre froide, la guerre d'Algérie... nous avons été surpris, est un maximum... la désertion de son frère, ses abandons sans explication, tout ce qu'il en dira c'est que c'est un salaud. la mort de sa grand-mère, le départ de son grand père.....surpris!
et le personnage annoncé durant le prologue n'apparait qu'à la page 400 et des poussières.
Bref ce livre ne m'a pas tenue en haleine, je n'ai pas réussi à m'attacher plus que çà aux personnages et j'ai peiné pour aller au bout malgré une histoire intéressante, je n'avais pas plus besoin que çà de connaitre la suite.
un mot: déçue
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Je me suis attachée à ces "incorrigibles optimistes" , même si je ne comprends pas vraiment pourquoi l'auteur les qualifie ainsi. Je me suis attachée à leur histoire et à celle de la famille de Michel. Par contre, j'ai trouvé le récit trop long et répétitif. J'ai parfois eu l'impression de relire trois fois la même chose. Certains passages freinent l'intrigue et la lecture en devient laborieuse.
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