Le club des incorrigibles optimistes

Livre dont j'avais lu beaucoup d'éloge et personnellement je me suis ennuyé ferme à la lecture de ce livre , j'ai du sauter pas mal de pages du fait des longueurs. Heureusement que je ne suis pas diabétique sinon je pense que j'aurais fait une overdose de sucre tellement c'est mielleux et rempli de bons sentiments. Bon après tout, chacun ses gouts littéraires.

Rarement déçu par les Goncourt des lycéens, je me lançais dans ce club des incorrigibles optimistes sans trop de doutes.
Et pourtant, si les plus de 700 pages de ce roman se lisent sans trop de difficultés, l'écriture assez médiocre et les intrigues vaines font de livre une déception.
Mais on n'a quand même pas passé un moment si désagréable...

Très très déçue par ce livre, je m'attendais à ce qu'il réponde aux promesses du titre et de la quatrième de couverture. L'intrigue est absente, les personnages sont relativement mornes. J'ai dû sauter des pages à la fin pour abréger les choses.

Ai courageusement lu 700 pages en espérant que quelque-chose décolle... Ai été récompensée par les 40 dernières pages... ratio décevant !

Moi qui aime bien d'habitude le prix Goncourt des lycéens, et bien là non je ne me suis ennuyée.

Dans les années 60, Michel, ado d'une douzaine d'années, fait son apprentissage de la vie : premiers balbutiements amoureux, premières approches politiques. Écriture simple (qui permet d'avaler ces 750 pages sans difficulté) sans manquer d'authenticité.

J'ai emprunté ce livre à la bibliothèque et n'ai pas réussi à le lire en entier avant de le rendre. Je l'ai trouvé très long, de nombreuses digressions ou flashbacks m'ont empêchée de rentrer dans l'histoire et j'ai dû sauter des pages pour arriver à la fin. Il était pourtant indiqué sur la couverture qu'il avait reçu le prix Goncourt des lycéens, mais pour moi, ce livre était beaucoup trop long.