L'"odeur" de Chirac, les "charters" de Cresson, l'"invasion" de Giscard: indépendamment de mon état, plus jamais je ne voterai de ma vie.
La chambre d'hôpital est un cocon insidieux qui, petit à petit, rend effrayant l'espace réel de l'extérieur, même le couloir.
Écrire est aussi une façon de rythmer le temps et de le passer.
J'ai peut-être fait la connaissance, aujourd'hui, de la chambre dans laquelle je vais mourir. Je ne l'aime pas encore.