Avant de commencer à donner mon ressenti sur cette lecture, je voudrais remercier les éditions Oskar pour leur envoi et évidemment Babélio qui, à travers sa dernière Masse Critique, m'a permis de découvrir ce roman et cette auteure que je ne connaissais pas.
Pour ce qui est de ma critique, je suis partagé car mon expérience de vie et mes quelques lectures sur des sujets similaires et durant cette période de l'histoire me font dire qu'il y a, à mes yeux, beaucoup mieux ailleurs et beaucoup plus poignant. Tant au niveau de l'histoire, de la manière dont c'est narré ou dans le message qui est véhiculé entre les lignes. Oui mais voilà, ce ressenti est personnel et ce fait en fonction de l'âge de mes artères, de mes nombreuses lectures et de mon expérience de vie. Sauf que ce livre n'est initialement pas destiné au public que je suis (même si je suis resté un grand gamin dans ma tête parfois, ça ne compte pas, ne m'en déplaise!!!)
Et c'est là où ma critique va quelque peu se modifier car si je prends en compte le fait que ce roman soit adressé à un public jeune adulte, je trouve que pour le coup, ce livre, qui se lit en quelques heures, peut faire son petit effet et peut faire prendre conscience de certaines choses sur plusieurs sujets traités dans l'histoire tels que les non-dits, la communication, l'écoute,
L Histoire, etc...
La plume de l'auteur est simple, efficace, et les découpages voulus dans le scénario pour ménager le suspense de l'histoire sont classiques mais fonctionnent bien.
A mes yeux, même si je ne suis pas un grand spécialiste des romans de ce genre, ce Sourire du diable se défend plutôt pas mal mais ne sort pas pour autant du lot, que ça soit dans l'écriture ou dans le scénario.
Pour résumer, un roman qui se laisse lire sans aucun souci mais qui est clairement destiné à son public que sont les jeunes adultes.