Anita Blake, tome 9 : Papillon d'Obsidienne

Bon, ce n'est peut-être pas très malin de ma part de lire les bouquins dans le désordre : après avoir lu les deux premiers, je me suis lancée dans Papillon d'obsidienne, qui se passe environ deux ans après le premier livre, en étant légèrement déroutée. Assez rapidement, cependant, on est pris dans l''histoire, Anita ayant un caractère bien trempé, une répartie vive (elle adore vanner, ce qui n'est pas toujours la réaction la plus intelligente), et quelques dilemmes moraux et amoureux donnant de l'épaisseur au personnage. Il y a beaucoup d'action, ça vire même souvent au trash (la description des victimes, notamment, ou certaines scènes). En tout cas, ça bouge toujours beaucoup !
Ce qui assez marrant, c'est l'effet d'Anita sur les hommes : on se sert beaucoup de ça dans la promotion des livres, d'où les couvertures laissant suggérer des scènes de sexe toutes les quinze pages, ce qui n'est pas le cas, par ailleurs. Néanmoins Anita attire pas mal d'hommes, ce qui rend certaines situations assez marrantes...ou gênantes pour elles ! Et comme elle flirte et vanne pas mal, c'est encore plus drôle.
La culture aztèque est au centre de l'intrigue de ce tome, ce qui est un plus. Je méconnais ce folklore et ça m'intéresse beaucoup. A part ça, on a encore une fois une jolie palette de personnages très différents les uns des autres, de Ramirez le gentil, à Marks le flic stupide aux idées d'extrême droite, d'Edward le paradoxal à Olaf le sadique. Bref, j'ai beaucoup aimé !
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Le neuvième tome se consacre au développement du personnage d'Edward, le tueur surnommé la Mort. On en apprend plus sur lui et de ce fait on l'apprécie mieux à sa juste valeur. Un opus intéressant donc qui nous donne envie de continuer à dévorer cette série.

Après le tome 8 bien apprécié, je n'ai pas su m'arrêter alors j'ai enchainé avec le T9. Autant l'avouer de suite, je suis déjà dans le T10. Une vraie drogue.

Après avoir frôlé la mort pour sauver Richard et sa famille, et après avoir appris des petits secrets du triumvirat, Anita décide de prendre ses distances avec les 2 et répond à l'appel d'Edward pour l'aider à élucider des meurtres étranges.

La voici en route pour Santa Fe, où nous allons aller de surprises en surprises. Déjà Edward, alias Ted, va se marier avec une ravissante poupée blonde, veuve et mère de 2 enfants.

Mais le plus important reste les meurtres perpétrés pour lesquels Edward l'appelle à l'aide. Sans entrer dans les détails, les victimes sont découvertes vivantes pour beaucoup et écorchées vives.

Là, je ne cache pas que je me suis réjouis de ne pas avoir mangé quand je me suis mise à lire les descriptions. C'est un peu cracra.

Anita va devoir mettre en pratique tout son savoir faire et faire jouer toutes ses compétences pour trouver la raison de ces meurtres, mettant en grand danger sa vie.

Ce nouveau tome, essentiellement centré sur Anita et Edward, fait l'effet d'un ovni dans la saga. Edward, personnage très secondaire, est mis en lumière dans cet opus, pour mon plus grand bonheur. Sa relation avec Anita va évoluer et je confirme qu'à mon sens, il est bien le seul en qui elle peut avoir une confiance absolue.

Par ailleurs, Anita va faire la connaissance d'un flic humain, qui fera battre son coeur, mais auquel elle se fermera pour retourner vers JC et Richard. J'ai trouvé ceci bien dommage. L'occasion de sortir de cette vie ne fut pas saisie par cette dernière.

Beaucoup de sang, de violence pour ce nouvel opus, qui fut très agréable à lire, avec une enquête prenante et consciencieuse. Un vrai bonheur.

Edward m'avait laissé voir deux choses que je ne m'attendais pas à trouver en lui – de la peur et de la confiance. Il ne se contentait pas de me confier sa vie : il me confiait sa mort. Pour un homme comme lui, il n'existait pas de plus grande preuve d'amitié.
Nous n'irions jamais faire les boutiques ensemble, et nous ne nous goinfrerions pas de pâtisseries en nous plaignant que les hommes étaient tous des salauds. Jamais il ne m'inviterait chez lui pour un dîner ou un barbecue. Jamais nous ne serions amants. Mais il y avait de grandes chances pour que l'un de nous soit la dernière personne que l'autre verrait en ce bas monde. Ce n'était pas de l'amitié au sens où l'entendent la plupart des gens ; et pourtant... c'en était quand même.
Je connais plusieurs personnes à qui je confierais ma vie, mais aucune autre à qui je confierais ma mort. Par amour – ou pour quelque chose qui y ressemble –, Jean-Claude et Richard tenteraient de me maintenir en vie coûte que coûte. Ma famille et mes autres amis en feraient autant. Mais si je veux la mort, Edward me la donnera. Parce que nous comprenons tous les deux que ce n'est pas mourir qui nous effraie. C'est vivre.

J'ai adoré ! Pour plusieurs raisons, et la première étant Edward.

J'aime ce personnage et enfin on en apprend un peu plus sur lui ! J'ai d'ailleurs eu très peur à la fin, mais je n'en dirai pas plus pour ne pas trop dévoiler l'histoire ;)

Le fait que Jean Claude ne soit presque pas présent dans ce tome est pour moi un très bon point car désolée les filles, mais Jean Claude, moi, ça passe pas du tout ! Peut être est-ce le fait que je lise les versions françaises, mais son "ma petite" m'énerve à chaque fois... Et pourquoi Anita vouvoie Jean Claude d'abord ? ça aussi, ça m'énerve !

Je regrette la présence de Richard, que je préfère de loin à Jean Claude qui m'insupporte (vous aurez compris que je n'aime pas du tout Jean Claude, non ?! lol).

J'ai aimé les côtés gores, l'action que n'en finit pas et nous tient en haleine tout au long de ces 700 pages qu'on regrette finalement d'avoir dévorées si vite !

Papillon d'Obsidienne, c'est comment dire ? Une explosion. Explosion d'horreur avec des cadavres dépecés et mutilés, mais aussi explosion de pouvoir avec une Anita de plus en plus puissante. Dans ce tome , j'ai retrouvé avec plaisir Edward, l'ami d'Anita limite sociopathe et tueur de monstres en tout genre. Petite surprise avec l'annonce du futur mariage d'Edward et d'une mère de famille un peu à l'ouest, totalement à l'opposé du fiancé, un vrai régal. On y découvre également Itzpapalotl, une vampire qui se prend pour une déesse aztèque et que même le conseil vampirique fuit (pourtant ils sont bien flippant ceux-là!). Au programme : baston aussi bien physique que métaphysique, sang, enlèvements, nombreux séjours à l'hôpital, renforts d'Edward un rien psychopathes (genre un violeur/tueur, bonne nuit Anita!!) et un méchant final bien gore, de quoi ravir les fans !
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Au revoir les créatures surnaturelles, et bonjour le tueur a gage. Ce tome est centré exclusivement sur Edward, que l'on découvre complétement. On le pensait sociopathe avec un coeur de glace, on le découvre humain et capable d'aimer. Même si il charie Anita, il tient a elle puisqu'elle est ce qui se rapproche le plus d'une amie. Anita va lui payer sa dette en tentant de l'aider et en y laissant presque la vie. Edward a 2 visages dans ce tome : le tueur sans pitié et l'amoureux au coeur tendre. On finit même pas se demander qu'elle est sa vraie personnalité ...

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Oui, je sais, j'avais dit plus de bit-lit, parce que ma dernière expérience du genre - et du même auteur - avait été une suite ininterrompue de soupirs désolés et de ricanements mesquins. Mais puisqu'il me restait encore 3 volumes des aventures d'Anita Blake dans ma PAL, je me suis dit : pourquoi pas ? Après tout, ça fait baisser la pile, alors je me lance... Et voilà qu'une fois de plus je me suis laissée prendre au jeu !... Allez, je vous raconte !...

Dans ce 9ème tome des aventures de l'exécutrice de vampires - accessoirement réanimatrice, flingueuse hors-pair, nécromancienne, et séductrice impénitente à ses heures perdues (rien que ça !) - Anita Blake est appelée à la rescousse de son vieux compagnon d'infortune : Edouard-le-tueur-de-méchants. Cet homme froid et calculateur est un dangereux assassin que nous avons déjà croisé dans les autres tomes (mais si, souvenez-vous !), et qui a plus d'une fois sauvé la vie de notre héroïne. Il décide donc de faire appel à ses services pour lui prêter main-forte face un cas particulièrement délicat. Des meurtres sont perpétrés au Nouveau-Mexique, et la police locale piétine. Une douzaine de personnes sont retrouvées écorchées vives et mutilées, et ce d'une manière qui laisse supposer que le tortionnaire en question n'est pas un simple mortel.

La suite ici :
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J'ai adoré ce tome tout simplement parce que pour une fois il n'y a pas la présence de Jean-Claude et Richard et que ça fait du bien d'oublier leurs histoires d'amours !
On découvre une autre facette de Edward et c'est pour ça que ce livre est très intéressant, une histoire complétement différente des autres et ça permet de pas tomber dans la lassitude de cette série.
Livre qui annonce bien des choses notamment avec le personnage de Olaf qui même s'il disparait à la fin de ce tome, va surement revenir pour Anita ^^
Un tome que j'ai dévoré, que j'ai eu plaisir à lire :)

Je vais copier coller ma critique sur les 15 tomes que j'aie lu de cette autrice
Malheureusement, j'ai choisi de m'accrocher jusqu'au tome 15 avant d'abandonner purement et simplement le récit, victime d un ennui profond indui par la lecture de cette série. Les scènes érotiques décrites avec tellement de détails que ça n'en est même plus excitant, la description à rallonge des fringues des protagonistes qui prennent 3 pages, chaque action de chaque personnage épluchée en une multitude de paragraphes qui ne s'arrêtent jamais, bref, j'ai lâché l'affaire. Depuis les premiers tomes je trouvais l'histoire ennuyeuse, j'ai voulu pousser jusqu'au bout, mais cela a eu raison de moi. Beaucoup trop long, beaucoup trop pénible, beaucoup trop de détails, beaucoup trop de sexe, bref, cette série aurait pu être intéressante avec moitié moins de pages.