Certes, du suspense, il y en a ! Mais par trop d'invraisemblances : on lit cela comme un conte sans y croire, on tremble pour les personnages et les victimes, mais le sourire en coin. Dommage.
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Elle était jeune et venait juste de commencer sa carrière. Cet homme représentait un véritable trésor de mégalomanie. Comment pouvait-elle ne pas être attirée ? Fort heureusement, la culpabilité et son bon sens professionnel l’avaient aidée à surmonter ce qui devenait pour elle une vraie dépendance psychologique. Puis, quelques années plus tard, elle avait entendu dire que Currier et quatre autres pensionnaires de la prison étaient morts pendant un incendie.
Elle cherchait toujours un mari potentiel, l’homme de ses rêves, et elle n’avait pas honte de le dire. Après tout, on ne sait jamais : au moment où on s’y attend le moins, on peut tomber dessus par hasard. Il est vrai qu’elle tombait dessus un peu trop souvent, mais elle ne désespérait pas pour autant.
Les vieux qui boitent ne ricanent pas ; du moins, pas ceux qui regardent ces saletés de mômes sortir joyeusement de leurs écoles privées chichiteuses. Les vieux comme ça, ils sourient, oui, d’un sourire bête et niaiseux, caractéristique des connards usés
Ce n’était pas le moment de rêver. Le pessimisme et les chimères n’étaient certainement pas de rigueur en ce moment. Il avait une mission à accomplir. Le Destin l’avait choisi pour faire son propre chemin, d’une façon inimitable.
Tout le monde s’intéresse à l’argent ! Elle n’existe pas, la personne qui ne s’intéresse pas à l’argent !