Une critique de Janus
Ouvrage remarquable si l'on s'en tient aux qualités iconographiques , pédagogiques et historiques qu'il propose.
Ouvrage d'une richesse ésotérique rare et qui s'adresse à ceux qui sont des lecteurs dont l'écossisme est principalement leur doctrine philosophique de référence.
Ouvrage initiatique par excellence, placé sous le regard bienveillant, mais parfois perçant comme un bec d'acier, écartant les égarés de la foi, du dieu des dieux romains avant qu'il ne le répudie, de ce dieu du soleil, de ce gardien du temple qu'il laisse ouvert en temps de guerre et fermé en temps de paix. Allez comprendre pourquoi alors il détient deux clefs, l'une en or, l'autre en argent…Sans doute est-ce en cela que se trouve le petit ou le grand mystère…que l'auteur nous invite peut-être à découvrir au fil du chemin sinueux qu'est cette quête personnelle de l'ultime vérité.
Ouvrage où le mythique prend parfois plusieurs visages à la fois, et c'est au hasard des pages tournées que l'on se trouve, un peu par le miracle des images surgissant de l'imaginaire cosmologique, confrontés en pleine face aux têtes doubles, parfois triple et même quadruple de ce Janus polysémique et androgyne.
Même si cet ouvrage est très technique dans son approche tant symbolique qu'ésotérique, il demeure indispensable à la connaissance d'un certain savoir, que tout initié ou non, se doit de posséder, s'il veut ouvrir plus encore son compas d'épaisseur tout en se mettant de niveau.
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Cet ouvrage est principalement destiné à des francs-maçons ou à des personnes averties dans le domaine de l'ésotérisme ou du symbolisme.
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La grandeur et les responsabilités humaines sont de transmettre aux autres hommes la possibilité de devenir à leur tour véritablement humain page 21 préface d'Alain Pozarnik