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Parce que Gaston a promis à son amie, Purity, la prostituée qu'il avait rencontrée à New-York, de s'occuper de son fiston, Alvin, le voilà en route pour Crapeville, la ville d'origine de la jeune femme. Peut-être pourra-t-il lui retrouver un cousin? un oncle? un grand-père? Et c'est accompagné de Jimmy, l'étrange créature à la tête toute ronde et sans bouche, que nos compagnons se dirigent vers leur destination. Mais en chemin, outre les multiples questions incessantes d'Alvin, le trio se fait attaquer par une bandes de bras cassés. À leur arrivée, ils sont surpris de tomber sur Ézéchias, le prédicateur bonimenteur qui promet le jugement dernier à tous les hérétiques. Gaston n'a pas d'autre choix que de s'éloigner de la ville et s'installer dans le Bayou...

Suite et fin des aventures touchantes et mouvementées de l'ours, Gaston, d'Alvin et de Jimmy. Régis Hautière réussit, une fois de plus, à nous émouvoir avec cet album et, mine de rien, à nous donner de belles leçons sur la vie. Des leçons à la fois graves et plus légères, traitées avec subtilité et poésie. Que ce soit la tolérance, le respect, l'amitié, le deuil... Alvin, quelque peu naïf et doux-rêveur, à l'instar d'Abélard, va peu à peu réussir à apprivoiser Gaston. D'ailleurs, Abélard n'est jamais bien loin, ni son chapeau magique et ses petites maximes. Graphiquement, le trait hachuré de Renaud Dillies et ses personnages tout en rondeur sont tout à fait charmants et emplis de tendresse. Les couleurs, quant à elles, sont d'une grande subtilité et apportent encore une touche de poésie. 
Un dyptique poétique, drôle, attendrissant et profondément humain. 
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Suite du voyage vers le sud des nos trois compagnons; arrivés à Crapeville , ils doivent une nouvelle fois s'enfuir car le prêcheur est arrivé avant eux.
Nouvelle connaissance, nouvelle destination, ça sera le Bayou et ses rituels vaudous. avec , à la fin, une morale pour cette fable des temps modernes
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Très beau second tome, aussi beau, édifiant et touchant que le premier. Ce diptyque est sans doute moins noir que le premier mais tout aussi profond et mêne à une profonde réflexion sur de nombreux sujets dont l'obscurantisme religieux, le racisme, les responsabilité et les différentes sortes d'amour.
Le dessin est magnifique.
A découvrir, à lire et à relire.
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Beaucoup avaient été surpris par la noirceur de deuxième tome de « Abélard ». La notion de diptyque prenait alors tout son sens, le départ en Amérique servant de bascule. Dans « Alvin », le voyage est aussi le point de bascule. Ce deuxième tome, intitulé « le bal des monstres », achève donc cette deuxième histoire scénarisée par Régis Hautière et dessinée par Renaud Dillies. le tout est publié chez Dargaud.

« Alvin » prend le chemin inverse de « Abélard ». Après la grisaille de New York, on part vers le soleil et les marais de Louisiane. On a l'impression de fermer la boucle avec ce livre. Gaston et Alvin, l'orphelin, se sont trouvé un nouveau compagnon en Jimmy. Ils voyagent jusqu'à Crapeville où ils doivent trouver la famille du petit. Mais Crapeville, c'est le Sud et la ségrégation.

Hautière et Dillies s'en donnent à coeur joie pour développer les thèmes qui leur sont chers : amitié, poésie, critique sociale, tolérance, musique… Les habitués du duo ne seront pas surpris par l'histoire. Les compagnons de galère, à force de se soutenir, finissent par s'apprécier. Et Gaston le bougon finira bien par avoir du mal à laisser le colérique Alvin seul.

Au travers de thèmes classiques, les auteurs instillent suffisamment d'absurde, d'humour et de poésie pour donner une coloration particulière à l'ouvrage. le scénario, détricoté, est relativement simple et limpide. Mais c'est dans ses personnages que « Alvin » trouve son intérêt et sa force. Gaston est un personnage râleur, bougon qui n'hésite pas à crier sur Alvin (qui lui-même a un sacré caractère). Mais que d'empathie pour ces blessés de la vie !

Le dessin de Renaud Dillies est toujours aussi splendide. Ses animaux, très enfantins, sont sublimés par les hachures qui donnent beaucoup de matière et de dynamisme à l'ensemble. Il maîtrise parfaitement la narration et influe une bonne part de poésie à l'ouvrage. Ainsi, le dessinateur possède un trait parfaitement adapté à son scénario. Quant aux couleurs, elles sont magnifiques et ajoute encore de la poésie et de l'atmosphère aux planches. Une belle osmose entre scénariste, dessinateur et coloriste !

« Alvin » est finalement moins noir que « Abélard ». Il en est forcément moins puissant. Malgré tout, je n'ai pas pu empêcher de lâcher ma larme à la fin du livre, bouleversé par mon empathie pour Alvin et Gaston. du grand art, pour une bande-dessinée au style très personnel
Lien : http://blogbrother.fr/alvin-..
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Sur la même lignée que le premier tome, l'univers est plutôt sombre malgré ces traits enfantins. C'est une bonne petite découverte. J'avoue que la jeunesse d'Alvin m'a parfois agacée. Ses questionnements sont légitimes mais par sa jeunesse, il s'entête à ne pas entendre les réponses de Gaston. Je ne m'attendais pas à tomber sur une BD d'intolérance et de folie humaine, surtout que je viens de lire le Singe de Hartlepool de Lupano...J'ai également été surprise par la rapidité de la chute.
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C'est le jour de paye pour Gaston. En cette fin de semaine, alors qu'il débauche de son poste sur le chantier, il invite son collègue et ami à le suivre au bar de George. Mais Gaston voit son invitation refusée. Pavlo va bientôt être père de famille et il doit désormais être responsable ; il ne peut plus se permettre de dépenser sa paye dans l'alcool et les parties de poker. Responsable… voilà bien une obligation que Gaston ne se sent pas en capacité d'assumer.

Il part donc seul au bar de George, dépenser quelques sous dans quelques pintes. Alors qu'il est accoudé au comptoir, Purity vient le saluer. Cette femme de petite vertu est aussi son amie. Alors, quand celle-ci – après avoir été passée à tabac par un de ses clients – confie dans un souffle qu'elle est inquiète pour l'enfant qu'elle élève seule, Gaston l'apaise. Consciente que sa vie est entre les mains des médecins, elle lui fait part de ses dernières volontés : elle lui demande de veiller sur Alvin et de promettre que l'enfant ne sera pas confié à l'Assistance Publique. Gaston promet… et apprend le lendemain matin, en arrivant à l'hôpital, que Purity a rendu son dernier souffle.

Lui qui ne voulait assumer aucune responsabilité met pourtant tout en oeuvre pour tenir ses engagements. Il prend Alvin sous son aile comme il l'avait autrefois fait pour Abélard. Constatant que l'enfant n'a nulle part où aller, Gaston décide de quitter New-York et de l'emmener en Louisiane, dans la ville natale de sa mère, espérant ainsi y trouver les membres de sa famille à qui il pourra confier la garde d'Alvin.



C'était avec tristesse que j'avais refermé le diptyque d' « Abélard ». J'acceptais mal la disparition d'un personnage comme celui-ci ; il m'avait touchée car il était fragile, humaniste, drôle, tendre… attachant tout simplement.

Alors comment résister quand Régis Hautière et Renaud Dillies propose une nouvelle épopée qui fait revivre Gaston, compagnon d'aventure et d'infortune du chétif Abélard ?

On retrouve dans « Alvin » la même tendresse des auteurs à l'égard de leurs personnages. A chaque page de ce récit, Régis Hautière dépose délicatement un détail qui contribue à construire un lien durable entre les deux protagonistes. Ainsi, dans cette quête initiatique que va vivre Alvin-l'enfant, Gaston [l'adulte] veille à ce que tout se passe au mieux. Rien ne prédestinaient pourtant ces deux-là à s'entendre, si ce n'est pour l'amour que l'un porte à sa mère et le profond respect que l'autre voue à son amie… Purity incarnant ces deux facettes de la femme.

Contre toute attente, on assiste – impuissants et ravis – à la métamorphose de Gaston ; sous nos yeux, il reprend vie et accepte une nouvelle fois de tendre la main à plus petit que soi. On sent sa peur de s'attacher de nouveau à quelqu'un mais malgré tout, il accepte de se lancer dans un nouveau périple. Une nouvelle fois, son compagnon de route est un individu frêle et chétif qu'il doit protéger. Mais là ne s'arrêtent pas les similitudes entre Abélard et Alvin. Excepté leur âge respectif, tous deux sont naïfs et rêveurs, tous deux posent inlassablement des questions sur le monde qui les entourent afin de pouvoir mieux en appréhender les contours. On ressent constamment la présence d'Abélard, comme une présence diffuse jusqu'à ce que les émotions de Gaston s'apaisent et qu'il commence le douloureux travail de deuil qu'il doit entreprendre.

La poésie de l'instant est renforcée par les petits billets qui continuent à sortir quotidiennement du chapeau magique. Les couleurs et le trait de Renaud Dillies inscrivent le diptyque d' « Alvin » dans la lignée de son prédécesseur. Les tons sont chatoyants et doux et portent à merveille cet univers fictif pourtant traversé par des sujets qui font notre quotidien : le racisme, l'esclavage, la prostitution, l'intolérance, le fanatisme religieux… La poésie n'est pas en reste pourtant, force est de constater que ce récit a moins de force et de profondeur que le précédent malgré la présence de jolies trouvailles graphiques qui viennent agrémenter l'ensemble.
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Avant de commencer ma lecture, j'étais à la fois très curieuse et un peu inquiète tant Abélard avait été un gigantesque coup de coeur.
Si j'avais instantanément aimé notre petit poussin du premier diptyque, il m'a fallu un peu plus de temps pour m'attacher à Alvin. Non pas que celui-ci ne soit pas sympathique, c'est un gamin solitaire et insolent qui n'a pas sa langue dans sa poche pour poser des questions et protester. Simplement, j'ai trouvé le duo Gaston/Alvin moins original. Gaston se retrouve dans le rôle d'un père de substitution et on se doute bien que, malgré ses affirmations comme quoi il n'aime pas les enfants, il finira par s'ouvrir grâce à Alvin.
Pourtant, au fil des pages, je me suis attachée à ce petit bonhomme. Certes, il n'est pas l'irremplaçable Abélard. Certes, il n'a pas l'innocence et la joie chevillées au corps comme ce dernier. Mais il est tout aussi touchant lorsque l'on jette un oeil sous la carapace et sa répartie m'a souvent fait sourire.

Mais finalement, je me demande si le personnage qui m'a le plus émue ne serait pas Jimmy Pumpkins. Je n'en dis pas trop, mais cet être différent et muet qui se libère de ses chaînes et découvre au fil de leur périple ce qu'est la vie m'a permis de retrouver la poésie et l'émotion poignante d'Abélard.

Alvin fait en quelque sorte le chemin inverse d'Abélard. L'un quittait une famille, l'autre en retrouve une ; l'un voguait vers les ténèbres, l'autre vers le soleil ; l'un perdait le goût de vivre, l'autre le découvre. du coup, la fin a été forcément moins poignante que celle – déchirante – d'Abélard.
Cependant, tout est loin d'être rose dans cette nouvelle aventure. Car Alvin est beaucoup plus réaliste qu'Abélard. le premier tome s'ouvre sur une peinture de New-York avec ses chantiers vertigineux, ses filles de joie, la guerre, les orphelins… Et par la suite, en plus de faire l'expérience de la mort et de l'abandon, Alvin découvre, au cours de leur voyage vers le Sud, le racisme, les cirques de monstres et le fanatisme religieux.
Malgré cette nouvelle orientation, j'ai retrouvé tous les ingrédients qui avait fait d'Abélard un bijou : la poésie, les petites citations et réflexions philosophiques du chapeau, la tendresse, les merveilleuses illustrations de Dillies sensibles et pleines d'émotions…

Si Alvin ne m'a pas fait ressentir les mêmes émotions qu'Abélard, si ce second diptyque n'a pas su être un coup de coeur aussi infini que l'a été le premier, cette « suite » signe malgré tout une belle rencontre avec Alvin et Jimmy et de tendres retrouvailles avec Gaston. Ainsi qu'avec les mots magiques de Régis Hautière et les dessins envoûtants de douceur de Renaud Dillies.
Lien : https://oursebibliophile.wor..
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Que cela soit pour Abélard ou sa suite Alvin, je n'ai qu'une chose à dire par rapport à ma lecture, c'est une oeuvre remarquable.
Tant pour les personnages, pour le propos de l'oeuvre, de la poésie qui se dégage mais surtout par ce panel d'émotions que j'ai pu avoir lors de ma lecture.
L'oeuvre semble simpliste, mais cela c'est qu'aux premiers abords, car la lecture est constituée de plusieurs couches de lecture, d'un fond qui fait forcément réfléchir avec des thématiques fortes comme la différence par rapport aux autres, la différence physique, les origines,...
J'ai vécu un grand moment de lecture
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Gaston, un ours grognon et mal léché qui travaillait dans le New York des années 20 à la construction de gratte-ciels, comme tant d'autres immigrés, se retrouve sur la route avec le petit Alvin, le fils d'une prostituée battue à mort par un client. Suite à une promesse faite à cette dernière, notre vieux célibataire désabusé doit dorénavant s'occuper de ce petit orphelin insolent et rebelle. Accompagnés de Jimmy, une créature un peu bizarre, rencontrée en chemin, ils prennent la direction de Crapeville, espérant y retrouver la famille du jeune garçon…

Après Abélard, qui invitait à suivre les aventures d'un jeune poussin bien décidé à décrocher la Lune pour séduire sa belle, Régis Hautière et Renaud Dillies proposent la conclusion de ce second diptyque, se déroulant dans le même univers. Marquée par l'absence d'Abélard, cette nouvelle aventure permet néanmoins de retrouver son compagnon de route Gaston, un gros ours solitaire et plutôt grincheux, tout en dévoilant un nouveau héros auquel le lecteur n'aura aucun mal à s'attacher : Alvin !

Avec le bal des monstres, Régis Hautière poursuit la balade de ces deux naufragés de la vie, qui se retrouvent contraints de faire un bout de chemin ensemble. Au fil de ce road-movie profondément humain, ces deux êtres que tout oppose apprennent à se découvrir, donnant progressivement naissance à une formidable complicité. Si l'histoire en elle-même ne déborde pas forcément d'originalité, la magie de l'univers d'Abélard suffit à opérer une séduction totale. le charme de cette ambiance particulière mêlant tendresse, mélancolie, humour et poésie fonctionne toujours à merveille. Saupoudrant son récit de dialogues savoureux, Régis Hautière parvient non seulement à donner de l'importance aux mots, mais également à chaque non-dit.

Ce road-trip à travers les États-Unis sert également de prétexte pour traiter des sujets plus graves, qui contrastent avec la légèreté ambiante. Si le premier volet abordait le sort des immigrés dans une Amérique en pleine crise, cette conclusion parle de thèmes particulièrement actuels, tels que le racisme, les préjugés, la ségrégation et le fanatisme religieux. L'auteur ne manque donc pas de confronter ses adorables personnages aux dures réalités du monde. Ceux-ci peuvent heureusement de nouveau compter sur les maximes philosophiques qui sortent du chapeau magique d'Abélard… question de pouvoir relativiser et ne pas sombrer dans la désillusion.

Si la narration de Régis Hautière tout au long de ce conte initiatique et philosophique est un modèle du genre, le dessin de Renaud Dillies renforce encore la poésie de chaque page. Privilégiant souvent l'ambiance aux mots, les auteurs installent une atmosphère envoûtante, portée par la colorisation douce et totalement adéquate de Christophe Bouchard.

Tout comme Abélard, Alvin fait partie de ces personnages que le lecteur abandonne le coeur serré…

Un bien bel album, que vous pouvez retrouver dans mon Top BD de l'année !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Gaston a décidé de tenir la promesse qu'il a faite à Purity. Il va faire en sorte de trouver quelqu'un pour s'occuper de son fils et pour cela, il va quitter son New-York. Un premier pas en dehors de la ville qu'il n'a jamais quitté pour le bonheur d'un gamin. Prêt pour le voyage à Crapeville ?

Je m'en doutais bien, le voyage de Gaston et Alvin n'allait pas être de tout repos. Ensemble, ils vont voyager à travers les Etats-Unis pour retrouver la famille de Purity. Gaston va bien trouver quelqu'un qui connaît sa famille et qui voudra s'occuper du petit. Mais avant d'arriver à Crapeville, il y a du chemin à faire.

Ils vont rencontrer un prêcheur qui va abuser de la stupidité des gens. Ce dernier va même jusqu'à emprisonner des gens différents pour montrer l'horreur qui arrive quand on n'écoute pas dieu. Puis, ils vont voir l'horreur avec le fait l'esclavagisme de ceux qui ont des becs. le regard sur la différence et la malhonnête vont être récurrent mais c'est bien aussi pour donner des bases d'humanité à ce jeune garçon ? D'ailleurs, ne vont-ils pas rendre la liberté à Jimmy, ce personnage bizarre sans bouche avec une tête d'ampoule ?

Bien entendu, ils vont arriver dans le Bayou, rendre justice et trouver une famille pour Alvin. C'est sans aucune surprise que l'histoire se déroule. On ne pouvait trouver plus facile et évident même si sur le chemin, on met un peu d'horreur humaine pour faire réfléchir. Je l'avoue cela ne me suffit pas. La fin avec la petite larme m'a laissé complétement froide. le fait que je n'aime pas le dessin, rend la lecture un peu plus compliqué. Alors si en plus l'histoire est bien sans être génial, je peine à tourner les pages. Cette aventure va-t-elle changer Gaston ? Je ne pense pas. Il va retourner chez lui et fera peut-être moins de cauchemar. Et le gamin, Alvin, va apprendre à vivre autrement et va oublier ce qui s'est passé. Une petite larme, on se mouche et on passe à autre chose.

Je n'avais pas lu le premier dypitique avec Abélard, je suis déçue de celui avec Alvin. Alors une certitude, je ne lirais pas le prochain. N'aimant pas du tout l'univers graphique, je ne me suis pas plongée dans cette histoire qui a un récit trop classique et trop prévisible.

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