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4,24

sur 1025 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
J'avais adoré Love hypothesis et j'espérais retrouver avec Love on the brain, le même ton irrésistiblement drôle, l'univers scientifique. Ça l'a fait au début. Vraiment, c'était formidablement bien parti . Et puis, ça a fait un peu PSchhhhitt...

Une scientifique va déménager à Houston, avec son assistante, afin de collaborer avec la NASA . Quand je dis "collaborer", cela veut dire qu'elle travaillera avec un ancien étudiant de la fac, qui était environ quatre classes plus haut qu'elle et qui la détestait copieusement. Mais Bee veut ce poste, et tant pis pour les mauvaises vibrations qui viendront avec.
On devine que ces deux-là vont se rapprocher , on devine comment cela va finir, mais ce qui compte c'est comment l'autrice va faire en sorte que...
Donc de ce côté _là, il n'y a pas de suspens, ça arrive assez vite.
Trop vite. Et après, tout est gaché parce qu'on a droit à des scénes assez "hot," qui ne cadrent pas avec le ton de l'autrice, qui est pleins d'humour et de malice.
Ça ne cadre pas non plus avec ce que l'on sait des deux héros, qui ne sont pas très portés sur la chose, puisqu'ils ont été abstinents , une bonne partie de leur vie, ou très peu en couple. Et là , ils se tranforment en bêtes de sexe, c'est étonnant !
A la fin, l'autrice nous réserve une grosse surprise, un rebondissement qui sort du chapeau, pas crédible lui aussi, et qui vient se superposer aux deux autres styles littéraires évoqués plus haut. ( Presque du policier, mais pas du tout bien exploité ).

J'ai aimé ce début d'histoire d'amour, mais pas la fin. J'ai aimé le ton, et l'immersion dans le domaine scientifique que connait bien l'autrice puisque , munie d'un doctorat (dans je ne sais plus quelle spécialité : neurosciences ?), elle enseigne en université.
Je l'ai sentie moins à l'aise dans le monde de l'entreprise, et du coup, cela rejaillit sur la lectrice : je n'ai pas compris les différents sigles, ni en quoi consistait exactement le travail de Levi et Bee, mais il faut dire qu'on ne les voit pas beaucoup bosser, plutôt intéragir avec divers collégues...

Ce que j'ai préféré c'est le compte Twitter de Bee qui ,sous le pseudo " @QueFeraitMarie " ( comprenez Marie Curie, son idole ! ) , anime un compte qui parle de discrimination de genre dans le monde scientifique, dénonce des procédés d'admission en fac qui favorisent les enfants issus de classes sociales supérieures, parle de féminisme. Cet aspect du roman n'est pas assez exploité. Enfin, il l'est au début mais se perd en route pour finir en apothéose au niveau coincidence ...
C'est dommage que ces choses-là s'effacent petit à petit pour laisser la place (trop de place) à l'histoire d'amour " consommée".

Donc un avis un peu mitigé sur ce roman : du bon et du moins bon...
Il parait qu'elle aurait commis d'autres romans, espérons que les éditions d'Hauteville les traduissent fissa fissa !

Et sinon, Love on the brain, c'est le titre d'une chanson de Rihanna... Je l'ai appris en cherchant la traduction , ça veut dire "Un amour cérébral."..
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Il y a quelques mois j'avais fait la folie de m'offrir deux éditions reliées – et hors de prix – de Ali Hazelwood. Même que j'en avais parlé ici. Heureusement, la lecture de The Love Hypothesis avait été une excellente surprise, me laissant présager que le deuxième bouquin ne servirait pas seulement à décorer ma bibliothèque…

Bien entendu, je me retrouvais avec la crainte d'une déception. Cette fois je voulais du bon, du mignon, de la romance qualitative. Alors, qu'en est-il au terme de ma lecture ?

Et bien on prend les mêmes ingrédients et on recommence. Même si le trope n'est pas le même, on a le droit à tout ce qui a fait de The Love Hypothesis un succès : des personnages choupissons à souhait, de la romance feel-good, un milieu universitaire fascinant et sans pitié,… Malgré le peu de surprise réservé par Love on the Brain, je me suis encore laissée embarquer par l'autrice. Sincèrement, plus que le côté sentimental, c'est encore une fois l'aspect militant du récit qui fait la différence. Bee, l'héroïne, est une scientifique qui évolue dans un monde d'hommes et dont l'idole est Marie Curie. le roman m'a d'ailleurs donné envie de me plonger à l'occasion dans une biographie de cette dernière. Bref, Bee est drôle, excentrique, caustique et féministe. Comme le récit est à la première personne on a le droit à sa si savoureuse vision du monde. Par exemple :

"Si nous obtenons bien le feu vert, ils seront absolument tous sur notre dos. Les big boss de la NASA et des NIH tournoieront comme des vautours au-dessus de nos têtes. Je vais devoir expliquer à un créationniste blanc rendu à son douzième mandat de sénateur que la stimulation cérébrale n'est pas la même chose que l'acupression." (page 131)

Surtout, elle décrit avec légèreté et pertinence, ce que c'est que d'être une femme scientifique entourée d'une majorité d'hommes :

"Avec Levi présent, son équipe a tendance à adhérer plus vite à mes suggestions – un phénomène connu sous le nom de Référence SaucisseTM. Enfin pour Annie et moi, du moins. En plein PhalluslandTM ou Foire à la SaucisseTM, avoir un homme qui se porte garant de vous contribuera à ce que vous soyez prise au sérieux – plus l'homme sera considéré, plus grand sera son pouvoir de Référence SaucisseTM." (page 142)

Comme pour le premier roman d'Ali Hazelwood, on est sur de la bonne grosse romance et c'est donc à réserver aux amateurs du genre. Et si le récit, encore une fois, aligne avec malice les clichés, on se prend facilement à aimer nos héros, Bee et Levi. Pour le moment, l'autrice n'a pas encore publié d'autre ouvrage, aussi me faudra-t-il patienter pour retourner dans cet univers. D'ailleurs cette possible troisième lecture sera, cette fois, un brin méfiante, car, soyons francs, si les ingrédients ne varient pas un peu, la lassitude risque de pointer le bout de son petit nez blasé…
Lien : http://altervorace.canalblog..
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Les romans de Ali Hazelwood ? Une source sur de pure bonheur. On lit une romance scientifique avec les 3/4 des termes ou tu te dis what the fuck mais on adore ! Justement ce fameux mélange de science et d'amour, ce combat féministe pour dire que oui la femme est aussi intelligente que l'homme. La fragilité émotionnelle de Bee dans sa vie personnel mais sa détermination dans sa vie personnelle ce n'est pas la même personne.
J'ai moins aimé que the love hypothesis qui as été un coup de coeur mais celui là a été un vrai plaisir à lire et en sachant que ce mois ci un nouveau livre va être traduit de cette autrice je me devais lire celui là d'abord. J'aime comment ces écrits, j'aime cet touche d'humour qu'elle rajoute, j'aime les personnages, j'aime l'histoire, j'aime tout, enfin presque.

Je mets 4 étoiles car malheureusement la fin m'a dérangé légèrement, je m'attendais pas à ça et j'ai trouvé que c'était vachement bâclé et j'ai trouvé ça dommage, on aurait pu faire mieux mais à part ça sa reste quand même une bonne lecture
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J'ai beaucoup aimé ma lecture ! ☺️ Tout autant que ᴛʜᴇ ʟᴏᴠᴇ ʜʏᴘᴏᴛʜᴇsɪs je dirais même. Bon, j'avoue, je ne fais pas partie de cette hype incroyable autour de cette autrice. J'aime beaucoup, mais ça reste assez lambda dans le paysage de mes lectures ! Il n'empêche que j'ai passé un super moment et que j'ai beaucoup aimé Bee et Levi. 🥰⠀
⠀⠀
Comme une Jedi vengeresse aux cheveux violets rétablissant l'équilibre dans un univers d'hommes, Bee Königswasser vit selon une règle simple : ǫᴜᴇ ғᴇʀᴀɪᴛ ᴍᴀʀɪᴇ ᴄᴜʀɪᴇ ? Si la NASA lui proposait de diriger un projet de neuro-ingénierie, Marie accepterait sans hésitation ! Mouais. Mais la mère de la physique moderne n'a jamais eu à co-diriger avec Levi Ward... son ennemi juré de fac. Séduisant et ténébreux. Qui s'est toujours tenu à des années-lumière de distance d'elle. Pourtant, peu après son arrivée à Houston, Bee jurerait voir Levi s'adoucir pour devenir un allié... tout en la dévorant de ses yeux verts. Tous les neurones de Bee sont en ébullition ! Lorsqu'elle doit vraiment passer à l'action et mettre son coeur en jeu, seule une question compte : Que fera Bee Königswasser ?⠀

Contrairement à TLH qui était à la troisième personne, ici c'est un point de vue à la première, du POV de Bee. Et j'ai beaucoup aimé. Elle a un côté très drôle et est parfois aux antipodes de ce qu'on pourrait imaginer d'une scientifique. Elle tergiverse énormément et est hyper sympa à suivre. Bon, évidemment, le point fort du roman, c'est Levi. 👀 J'ai aimé son ambivalence et sa maladresse. Vous savez, c'est le genre de personnage qui se révèle au fil des pages et pour lequel on fond comme neige au soleil. 🫠 C'est un bookboyfriend que j'ai vraiment aimé ! ⠀

Dommage pour les quelques longueurs que j'ai ressentie �� mais sincèrement, dans l'ensemble, c'était très chouette et je recommande ! ⠀
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C'est le premier livre de l'autrice que je lis et j'ai plutôt bien aimé. Plutôt, parce que j'ai trouvé qu'il y avait des longueurs, des répétitions. Et parce que j'écoute l'audio de The Love Hypothesis à peu près en même temps et qu'il y a des ressemblances un peu trop grosses à mon goût.
J'ai aimé l'humour au début du roman, qui est vite devenu lourd et répétitif à mes yeux. Bee est assez excécrable à toujours répéter combien Levi la déteste sans lui laisser la possiblité de s'exprimer. Elle parle trop, pour rien, et même ses pensées internes sont assez pénibles par moment. Levi, en revanche, est un personnage plutôt cool. L'engagement de l'autrice contre le système américain permettant d'accéder aux études supérieures est palpable et intéressant. de même que le compte Twitter et l'intrigue secondaire qui découle de la position de Bee dans le projet sont vraiment 2 points que j'ai beaucoup apprécies. Une bonne lecture donc, mais qui perd un peu de sa saveur suite aux points relevés.
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Cette histoire se base sur d'énormes et monstrueux quiproquos entre nos héros, que nous, lecteur.rice. s, voyons venir à cent kilomètres ! Et, c'est ce qui fait le charme de ce roman et c'est ce qui est drôle aussi. du moins en partie.

Dès le départ, Bee, notre héroïne déteste son futur collègue, un ancien camarade de fac qui lui a fait la vie dure ! Et pour cause, il semble l'avoir toujours méprisée. Pourquoi ? Bee n'en sait rien, mais dès le début, j'ai compris qu'il y avait anguille sous roche parce que c'était trop gros. Et effectivement, on pourrait presque comprendre ce qui lui fait croire que Levi Ward la déteste ! Notre protagoniste est brutal dans ses propos, il la fuit autant que possible et ses actions tendent à prouver que oui… Levi Ward méprise ouvertement Bee Königswasser ! Pourtant ils doivent bosser ensemble, et Bee ne partira pas, car ce projet elle y tient et il peut être un bon tramplin pour sa carrière scientifique.

À lire cette comédie romantique, je n'ai pas pu m'empêcher de penser à The Big Bang Theory, parce que oui, notre héroïne est une scientifique accro à son boulot qu'elle adore, et surtout, elle est un peu geek sur les bords. Mais Bee, avec ses piercings, ses tatouages et ses cheveux colorés détonne un peu dans ce milieu. J'ai adoré cette héroïne drôle, attachante et maladroite. En lisant la biographie de l'autrice et sa note à la fin du roman, on comprend même qu'elle s'est pas mal inspirée de sa propre vie.

Love on the Brain est un roman qui se lit très bien et vite.

C'est frais, drôle, même si j'ai noté quelques longueurs et que parfois les malentendus entre nos héros étaient un peu trop tirés par les cheveux ! Ça va parfois assez loin et Levi a vraiment un problème de communication avec Bee. Quand on découvre pourquoi il se comporte comme ça avec elle, c'est à la fois amusant et triste.

L'autre petit point qui m'a chiffonné, ce sont les scènes de sexe extrêmement crues et là aussi trop poussives. J'ai lu la première par curiosité, mais les suivantes, je les ai passées. Je pense sincèrement qu'elles sont de trop et dénotent furieusement avec le ton de l'histoire qui se veut drôle et léger (bon, il n'y en pas tant que ça non plus, rassurez vous). Quant au gros twist (le fameux retournement de situation qui va mettre Bee bien à mal), là encore, il tombe un peu comme un cheveu sur la soupe et semble rajouté. Comme si l'autrice avait pensé que pour garder ses lecteur.rice. s en alerte, il fallait ajouter encore en plus un élément perturbateur alors que les non-dits entre les héros, plus certains secrets suffisaient, à mon sens, amplement.

Malgré tout, j'ai adoré cette romance contemporaine, bien dans l'air du temps, très fraiche avec des personnages hauts en couleur et marrants. de plus, la plume d'Ali Hazelwood est agréable et elle maitrise très bien son sujet et ses héros. Bref, j'ai vraiment beaucoup aimé Love on the Brain. Et je terminerai cet avis en vous parlant brièvement du livre relié qui est splendide et que je suis ravie d'avoir dans ma bibliothèque (oui, je suis faible devant les beaux livres-objets, c'est mon côté collectionneuse).
Lien : https://songedunenuitdete.co..
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••• AVIS LECTURE •••
J'ai failli craquer l'an dernier pour « The Love Hypothesis », premier roman de Ali Hazelwood, mais je préférais à l'époque attendre une parution poche… Au final nous avons eu de magnifiques éditions reliées lors de la sortie de son second roman « Love on the Brain », évidement, j'ai été incapable de résister (c'est la tranche qui m'a eue…). J'ai lu en premier le second car j'avais lu quelques avis disant que ce n'était pas le coup de coeur du premier.

Bee scientifique spécialisée en neurosciences a un mantra dans la vie « Que ferait Marie Curie? ». Malheureusement cela ne va lui être d'une grande aide quand elle peut enfin travailler sur l'énorme projet dont elle rêve, la NASA lui en donnant la direction. Car il y a une coquille. Elle va être co-directrice et son co-directeur sera, à son plus grand désespoir, Levi, son ennemi juré de la fac, celui qui la déteste et la considère comme quantité infime depuis leurs études. Et celui-ci va lui mettre bien des bâtons dans les roues, enfin, qu'elle croit …

Ce roman n'a pas été un coup de coeur. J'avais deviné pratiquement tous les éléments de l'intrigue (sauf un) depuis les premières pages, les ficelles étaient un peu grosses mais je m'en fiche un peu parce que je l'ai dévoré. C'est une romance doudou comme je les aime: c'est gloussant, c'est couinant mais il m'a manqué les papillons dans le ventre en plus pour atteindre le coup de coeur.

J'ai beaucoup aimé l'univers de l'auteure. Les sciences, le fonctionnement de ce milieu là de l'université jusqu'à après (quel milieu injuste !). Derrière sa jolie romance elle en profite pour dénoncer quelques faits et je ne peux qu'applaudir. Et ça c'est grâce au personnage de Bee qui dénote un peu dans le paysage scientifique : on ne sait jamais à quoi s'attendre avec elle mais le récit à la première personne nous la rend plus réelle et sincère que jamais.

Une jolie romance toute douce, une ambiance qui change des romances habituelles (les sciences ce n'est clairement pas la norme), des personnages auxquels on s'attache doucement au fil de notre lecture et même un peu d'action ! Une plume acidulée, sensible et entraînante. Verdict, je ne regrette pas ma lecture , au contraire, je suis un peu en manque de ce genre de romance drôle, moderne, pleine de peps et toute douce à la fois. Mais il m'a manqué les papillons dans le ventre pour le coup de coeur. « The Love Hypothesis » ne va clairement pas traîner très longtemps dans ma PAL …
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Bee, neuroscientifique, stagne dans sa vie professionnelle jusqu'à ce qu'une opportunité de collaborer avec la NASA se présente.
Ce projet la fera travailler avec Levi, sa nemesis à l'université. Un homme qui n'a jamais fait mystère de son dédain à son égard.
Seulement, les choses ne sont pas ce qu'elles paraissent être ...

Quelques malentendus devront être éclaircis avant que Bee et Levi parviennent à se comprendre.

L'auteure reste dans l'univers de la science avec le défi pour les femmes d'être prises au sérieux dans un monde majoritairement masculin.
Le projet BLINK nous est expliqué même si je n'ai pas tout compris :p.

Bee tient en secret un compte sur les réseaux sociaux qui rencontre un petit succès. Compte qui dénonce les difficultés que rencontrent les femmes scientifiques et qui s'intitule : qu'est-ce que ferait Marie Curie?
D'ailleurs, on en apprend plus sur la vie de cette physicienne et chimiste renommée.

Bee a perdu ses parents jeune, a vécu une vie nomade et des déceptions dans sa vie amoureuse et amicale. On peut comprendre qu'elle se protège un maximum et ne croit pas en des relations sur du long terme.

Levi, de son côté, se montre assez froid et renfermé avec Bee car il a du mal à exprimer ses sentiments, ses émotions ce qui se comprend également quand on connaît son passé.

Comme dans son précédent roman, l'auteure nous présente des dialogues remplis d'humour et cela fonctionne!

J'ai aimé la romance qui se développe petit à petit. Mon bémol concerne des éléments que je n'ai pas trouvé crédibles (comme la fin du projet BLINK) et qui m'ont empêchée d'être totalement convaincue.

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Une vraie petite bouffée d'oxygène ! Je découvre cette auteure avec ce roman et j'ai beaucoup aimé.
Je pense avoir eu le sourire du début à la fin ! C'est drôle, mignon, attendrissant et la plume d'Ali Hazelwood est exquise!

Bien-sûr avec ce genre de roman il n'est pas question de grandes intrigues, le schéma narratif est bien rodé, mais quel plaisir ! Les personnages sont charmants et attachants.

C'est une jolie parenthèse qui nous met de bonne humeur !
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J'ai passé bon moment. J'ai beaucoup apprécié les personnages et leurs excentricités/particularités. En revenche si vous souhaitez une lecture innovente, ou révolutionnaire en matière de romance, passez votre chemin. Pas mal de clichés sont presents. Par contre, si vous voulez simplement passer un bon moment, en bonne compagnie, je ne peux que vous encourager à y aller.
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