Lord Jeffrey, tome 1 : Le train de 16h54

Jeffrey 13 ans, vit avec ses parents.
Sa mère est mère au foyer et son père part en déplacement toutes les semaines pour son travail.
Un jour, alors que Jeffrey attend le retour de son père comme tous les vendredis, se dernier ne rentre pas.
Quatre mois se sont écoulés, si pour la police, l'affaire de la disparition a vite été classée, Jeffrey repense à une conversation téléphonique étrange de son père.
Il se dit que ce dernier pourrait bien être un agent secret et qu'il a été enlevé.
Mais quand on est un enfant de 13 ans, qui irait nous croire avec une telle histoire ?

Ne pouvant s'en remettre qu'à lui même, Jeffrey, fan d'espionnage et de série de détective, va mener l'enquête accompagné de son chien, Sherlock.

Une série d'enquête se passant dans l'Angleterre des années 50 / 60 très sympathique, un scénario mystérieux qui nous donne envie d'en savoir plus et un dessin qui marche bien avec l'époque.

Une bd fraîche, distrayante, intriguante.
L'histoire est simple et le scénario est clair : le père d'un enfant disparaît, mais l'enfant refuse d'abdiquer. le petit garçon se lance dans une recherche plein d'enthousiasme, et sans se laisser bloquer à chacun des écueils qu'il rencontre. Ça va le mener assez loin, et l'intrigue monte crescendo.
Après ce premier opus, on a clairement hâte de lire le second tome.

🎂 À partir de 12 ans.

🕓 Nous plongeons au coeur de la fin des années 50. Nous sommes à Edimbourg.

🕓 Jeffrey a 13 ans. Il vit avec ses parents dans une jolie maison de quartier. Comme chaque dimanche, il y a du gigot au menu et comme chaque dimanche, son père prépare sa valise pour aller travailler à Londres. Il reviendra, comme à son habitude, le vendredi.

🕓 Sauf que le vendredi en question, son père ne revient pas. le temps passe. La police est prévenue et a classé l'affaire sans suite; sa mère a trouvé un travail pour subvenir à leurs besoins, la vie continue de tourner !

🕓 Jeffrey ne l'entend pas de cette manière ! Il est persuadé que son père a été enlevé et qu'il est en danger. Il décide de mener l'enquête avec son chien Sherlock, puisqu'il ne peut pas compter sur les adultes !

🤎 J'aime les illustrations, l'ambiance dans laquelle elles plongent le lecteur ! Une atmosphère feutrée qui entretient le mystère et tient le lecteur en haleine !

🤎 J'adore cette histoire qui allie enquête, recherche de vérité, espionnage, complots, organisation secrète, personnages charismatiques et énigmatiques.

🤎 Vous l'aurez compris, j'ai ressenti une immense frustration lorsque j'ai dû refermer le livre !! J'étais complètement immergée dans l'histoire et en sortir, alors que certains éléments allaient peut-être s'éclaircir, m'a complètement chamboulée 😉

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L'histoire se déroule en Ecosse, dans les années cinquante. Jeffrey, un jeune adolescent curieux, part à la recherche de son père mystérieux qu'il pense être un agent secret.

J'ai été très agréablement surprise par ce premier tome. L'intrigue posée est intéressante, et le suspens très présent. On a envie, à chaque page, d'en apprendre plus sur Jeffrey et surtout sur son mystérieux père qui ne fait qu'apparaître et disparaître, sans que sa mère sache ce qu'il fait réellement de sa vie.

Mais au delà de l'intrigue, j'ai surtout aimé les dessins. Au style volontairement vintage, ils s'harmonisent parfaitement à l'histoire et m'ont rappelés les comics de ma jeunesse.

Je suis curieuse de découvrir la suite très vite!
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Le train de 16h54 est le premier tome de la série Lord Jeffrey.

Jeffrey Archer est un jeune garçon de treize ans, qui vit à Édimbourg en 1958. Son père travaille à Londres toute la semaine et ne revient que le week-end. Officiellement il travaille pour une fondation philanthropique, mais après avoir surpris une étrange conversation au téléphone, son père lui confie qu'il part en mission ultra-secrète. Jeffrey comprend que son père est un agent secret et qu'il lui est arrivé quelque chose lorsqu'il ne rentre pas à la fin de la semaine.

Quatre mois plus tard, son père donne enfin de ses nouvelles par téléphone et annonce son arrivée par le train de 16h50. S'il a bien été vu dans le train, il a disparu à l'arrivée et Jeffrey ne retrouve que l'imperméable de son père et une mystérieuse clef. Quelques jours plus tard, Jeffrey est enlevé et se retrouve dans une école qui forme des espions. Il y fait la connaissance d'Eleonore Walton, qui semble connaître son père et quelques secrets sur le pensionnat...

Comme il ne s'agit que du premier volume, nous n'aurons pas la réponse aux questions posées : qui est vraiment Mr Archer ? Qui l'a enlevé ? Est-il un agent double ? Pour ma part je suis intriguée par le titre de la série. Qui est vraiment Jeffrey ? Il habite avec sa mère ( mais est-elle réellement sa mère ?) dans un immeuble quelconque d'Édimbourg, elle est obligée de travailler après la disparition de son mari. Jeffrey n'a donc rien d'un Lord...

Une bande dessinée délicieusement surannée, aux accents anglais (et écossais !). J'ai adoré les clins d'oeil aux romans policiers anglais (Le train de 16h50 d'Agatha Christie ; le chien s'appelle Sherlock et Jeffrey possède une casquette de détective !), ainsi qu'à Harry Potter (les uniformes aux cravates et blason rouge et or, comme les Griffondor, le surveillant du réfectoire aux allures de Rusard et l'élève qui ressemble à Drago Malefoy)... J'ai noté aussi le personnage de Mère-Grand, comme celui de la série Chapeau melon et bottes de cuir.

Merci aux éditions Kennes et à Babelio pour cet ouvrage, reçu dans le cadre de l'opération Masse critique.
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Le père du jeune Jeffrey a disparu depuis 4 mois lorsque le garçon de 13 ans reçoit un appel de ce dernier.
Il donne rendez-vous à sa mère à la gare d'Édimbourg à 16h50. Seulement, Jeffrey s'aperçoit que sa mère travaillant elle ne pourra pas s'y rendre. C'est donc accompagné de son chien Sherlock qu'il y va lui même.
Le train a du retard, il est 16h54... et Jeffrey ne voit pas son père. Il grimpe dans le train mais ne le trouve pas non plus. Par contre dans une cabine il aperçoit le manteau de son père, dans lequel il trouve une clé avant de se faire sortir du train par le contrôleur.
Jeffrey décide de mener l'enquête, persuadé que son père s'est fait enlever. Mais cette aventure lui attirera quelques ennuis.

Lord Jeffrey est le premier tome d'une série jeunesse. Il s'agit d'un polar dans lequel nous retrouvons des inspirations diverses de la culture britannique, tant dans le scénario que dans le dessin.
Les auteurs parviennent à nous plonger dans l'Ecosse de la fin des années 50, en plein milieu de la guerre froide.
A la fin de ce tome, l'intrigue est mise en place. Il reste a élucider quelques mystères et à découvrir ce qu'est devenu le père de Jeffrey.

Un bon 1er tome qui se lit facilement, malgré une petite difficulté pour moi au début (passage entre présent et flashbacks alternés).
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Nous voilà plongé en 1958, en Ecosse, en pleine guerre froide. On fait la connaissance d'un jeune garçon Jeffrey. Voilà maintenant quelques mois que son père a disparu, et il apprend qu'on aurait classé l'affaire en « sans suite », et qu'en plus on suspecte son père de mener une double vie avec une autre femme. Jeffrey ni croit pas une seule seconde, et compte bien découvrir le fin mot de l'histoire.

Très vite on se laisse porter par cette aventure. Jeffrey est très touchant, ainsi que son chien Sherlock, qui porte bien son nom. Ce petit homme a toujours en tête, les derniers mots de son papa, et il se doute bien qu'il y a quelque chose derrière cette histoire. Notre aventurier décide alors d'enquêter sur cette disparition. L'intrigue est très bien amenée, et c'est avec plaisir qu'on tourne les pages. le contexte historique dans lequel nous nous trouvons, ajoute une ambiance tendue, et intéressante pour cette enquête. C'est un plus pour cette histoire qui sait nous tenir en haleine. A la fin de ce premier tome, tout se bouscule, et j'ai hâte de découvrir la suite. Cette première partie aura réussi à me convaincre de continuer à suivre cet enfant au grand courage et force.

Du côté des dessins, ils sont assez simples et colorés. Les visages de nos personnages sont affectueux. Mais c'est surtout l'intrigue qui m'a le plus touché que les dessins.

Merci aux éditions Kennes pour cette lecture.
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Edimbourg, 1958. Voilà quatre mois que David Archer a disparu, pour la police cette disparition n'a rien d'inquiétante et soupçonne un départ volontaire pour refaire sa vie à Londres mais pour son fils de treize ans Jeffrey qui, persuadé que c'est un espion, fugue et part à sa recherche.
Un coup de fil de son père donnant rendez-vous à sa mère à la gare pour l'arrivée du train de 16h54, permet à Jeffrey d'obtenir une piste pour ses investigations le menant bien loin de ce qu'il aurait pu penser et entouré de personnes pour le moins suspectes.
Premier tome de cette série jeunesse, le train de 16h54 nous entraîne dans un récit pleine de rebondissements, installant l'atmosphère générale de la série orientée aventure avec cette ambiance années 50 qui m'a beaucoup plu. Un seul petit point négatif reste la fin qui loin d'être décevante laisse vraiment le récit en suspens coupant court à toute possibilité de suite au lieu de nous orienter vers un développement concret. le mystère demeure autour du père de famille qui semble être la clé à mes nombreux questionnements.

Je pense que cette série trouvera de nombreux fan moi y compris.
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Ce premier chapitre me laisse dubitative....
L'intrigue est certes intéressante avec ce père qui disparaît puis réapparaît pour mieux redisparaître.
Est-il comme le pense son fils un agent secret ?
On pourrait le croire au vu des circonstances pour le moins étranges qui entourent ses différentes disparitions.
Que de mystères autour de cet homme, père de famille, d'apparence si tranquilles.
Et qu'en est-il de cette île à l'abris de tous les regards ?
Les dessins sont bons et les dialogues sont inintéressants
Si l'histoire est bien amenée, je reste perplexe car je n'ai rien trouvé qui m'accroche.
L'ayant partagé avec mon ado, je me dois de donner son avis sur cette histoire.
Le concernant l'histoire et certaines scènes ne sont pas passées : le cours d'escrime et le fait que Sherlock reste avec Jeffrey.
Pour lui l’intrigue et les rebondissements sont tops prévisibles.
Si moi j'aimerai connaître la suite comme le dénouement de cette histoire lui n'a pas accroché.

Une bien jolie BD jeunesse qui démarre fort avec ce premier volume. L'histoire incroyable et pleine de rebondissements est parfaitement illustrée par un graphisme très clair, soutenu par une superbe mise en couleurs.
Si vous avez des enfants ou des jeunes ados qui aiment l'aventure, cette série est pour eux.

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Le quatrième de couverture :

Quatre mois après la disparition inexpliquée de son père, Jeffrey Archer, un jeune Écossais de treize ans, ne peut se résoudre au classement sans suite du dossier. Convaincu qu'il a été kidnappé, il décide de mener sa propre enquête avec pour tout indice une clé trouvée dans le train où son père a été vu pour la dernière fois. Il l'ignore encore mais il vient d'embarquer pour un périlleux voyage dans le temps qui le conduira jusqu'au berceau de la civilisation britannique… avant de découvrir l'incroyable vérité.