Les aventures de Tintin, tome 8 : Le Sceptre d'Ottokar

Tintin est, à son insu pris dans un complot visant à destituer le roi de Syldavie, Ottokar. En effet si ce dernier ne se produit pas lors de la fête nationale en possession du fameux sceptre il sera destitué. Les méchants étant les bordures.
A dire vrai, j'étais persuadé ne pas avoir lu cet album de Tintin. Je l'ai donc réservé à la bibliothèque de mon village au rayon jeunesse (Tintin c'est jeunesse comme Blake et Mortimer, Lucky Luke, etc.)
En fait je l'avais lu e je l'ai donc relu.
Ce n'est pas le plus fameux des albums du héros bien qu'assez drôle dû
au fait des Dupont-Dupond spécialistes des glissades et des chutes. Mais on passe quand même un bon moment car l'intrigue est assez relevée et la supercherie révélée en fin d'histoire tient la route tout comme la façon de subtiliser le sceptre.
Globalement un bon moment (assez court) de lecture et notamment pour les tintinophiles qui n'auraient pas lu ce tome-ci.
Là j'ai lu tous les "Tintin".
Lien : https://www.babelio.com/livr..

Lu et relu, cet album de Tintin fait partie de ceux que j'oublie très vite. Il faut dire qu'une grande partie des courses poursuites sont très semblables à celles que l'on retrouve dans d'autres albums et que la Syldavie, son roi, son sceptre et son palais ne m'ont jamais vraiment captivée.
Tintin, comme lui reproche Milou au début du récit, se mêle de ce qui ne le regarde pas et se retrouve à nouveau en mauvais posture: en quelques heures, le voici devenu l'ennemi numéro un de tous les opposants au roi Muskar XII et qui sont justement en train de fomenter un coup d'état.
Au travers de cet album,
Hergé s'intéresse cette fois-ci à l'actualité brûlante de son propre pays et de l'Europe toute entière: l'entrée en guerre contre Hitler que Müsstler (Mussolini / Hitler) préfigure ici, la Bordurie (qui veut à nouveau annexer la Syldavie) représentant l'Allemagne nazie.
C'est un album qui se laisse lire mais qui n'a pas la saveur de ceux où apparaît le capitiane Haddock ou encore le professeur Tournesol, personnages que j'attends impatiemment dans ma relecture chronologique des albums à ma disposition.
IC'est quand même celui de la première apparition de la Castafiore que Tintin quitte, terrorisé, dès qu'il en a la possibilité!

En pleine redécouverte des albums de Tintin avec mes enfants, je me faisais une joie de leur lire le sceptre d'Ottokar dont je garde de merveilleux souvenirs faits d'intrigues, aventures et péripéties entremêlés. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir ses longueurs, et ses interminables paragraphes - lus à haute voix, c'est particulièrement flagrant ! Un peu déçue je l'ai rangé et me suis bien gardée de le critiquer, ne voulant pas trahir mon souvenir de jeunesse.
Pourtant à la quatrième relecture je ne peux que constater que c'est l'un des albums que me réclament le plus souvent mes enfants et qu'ils restent d'un calme admirable en écoutant les longs discours sur la sigillographie (vous vous demandez ce que c'est ? Il ne vous reste plus qu'à lire l'album !) et la Syldavie, ce pays imaginé par Hergé pour évoquer la situation politique des Balkans.
Et c'est vrai que l'intrigue tient sacrément bien la route : complot politique, trahison, enlèvement, révélations, rebondissements, suspense... Les Dupondt sont toujours fidèles au poste, et en attendant l'apparition dans les albums suivants des figures emblématiques que sont le capitaine Haddock et le professeur Tournesol ils apportent la touche humoristique de l'histoire.
Tintin fait toujours preuve de qualités humaines exceptionnelles, et rencontre une belle figure de souverain en la personne de Sa Majesté Muskar XII, le roi syldave, doux, posé et intègre.
Un album surprenant mais réussi et efficace.

Dans cet album le pauvre Tintin se retrouve plusieurs fois enfermé, mais heureusement il peut compter sur son brave Milou et sur l'assistance, ou pas, des Dupont et Dupond.
Le roi de Syldavie S.M.Muskar XII lui devra une fière chandelle et le fera finalement chevalier de l'Ordre du Pélican d'or.
Il n'y a pas à dire, résolument les albums sans le capitaine Haddock sont beaucoup moins drôles.

Etant enfant, Les aventures de Tintin étaient une de mes lectures préférées et récurrentes. Ma relecture à l'âge adulte me fait apparaître la simplicité du scénario, le comportement attendu de Tintin et le schéma toujours identique de ses aventures. Au point d'avoir l'impression de relire sans cesse la même histoire, avec quelques variantes. le manque de réalisme me dérange aussi : Tintin est un reporter qui travaille relativement peu mais qui possède des compétences insoupçonnées parmi lesquelles celles de voler un avion et de le piloter. Vraiment rien de palpitant.

Cet album marque la première apparition de la cantatrice Bianca Castafiore et j'attends avec impatience l'arrivée du Capitaine Haddock ainsi que celle du Professeur Tournesol pour apporter un vent de fraicheur à la collection.

Chronique complète sur le blog
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Je poursuis, avec ce huitième opus, ma relecture des albums des aventures de Tintin.

Une histoire assez classique où Tintin bien aidé par Milou et les Dupon-t-d empêchera le coup d'état qui visait à obliger le roi de Syldavie à renoncer à son trône ...

Bien rocambolesque une fois encore et avec quelques traits d'humour visant les Dupon-t-d

A suivre ...
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Après avoir essuyé de nombreux échecs aux quizz des tintinophiles sur Babelio, je me suis dit qu'il était temps de relire quelques albums pour me rafraîchir la mémoire. Il devait y avoir 20 ans que je n'avais pas ouvert un album de Tintin et ma relecture a provoqué une drôle de sensation : un mélange de mélancolie et de joie.

J'ai redécouvert cet album avec l'oeil d'une adulte qui lit entre les lignes. Enfant, je n'avais pas compris les références aux coups d'État nazis ou au fascisme.
Je me suis aperçue aussi que les Dupont et Dupond me faisaient moins rire aujourd'hui qu'à l'époque et que certains rebondissements faisaient un peu téléphonés.

Malgré tout, j'ai pris tellement de plaisir à redécouvrir le Sceptre d'Ottokar que j'ai envie, à présent, de relire tous les albums !

Bon roi et méchant dictateur,
(Un Hit-olini ? Non, Musstler !)
Une tentative d'annexion,
Comme on voit aux Informations.

Voilà pour le contexte, avec
Des airs connus du XXème siècle :
Albanie, Bulgarie, Hongrie,
Mixées pour faire la Bordurie.

Tiens, à propos de Bulgari,
Bianca Castafiore chante ici,
Première fois, l'air des bijoux
(de Gounod, pas Iznogoud ;-).

Dupont et Dupond sont présents
Et assurent l'amusement ;
Il faut attendre pour les comparses,
Les Lampion, Abdallah et ses farces…

Si le contexte est très marqué…
L'aventure, elle, fait bricolé :
Milou vole un os au Musée,
Tintin un avion à l'armée !

Atteint le huitième numéro,
Le dessin est à son plateau ;
Mais pas de grandioses perspectives
Comme on a vu dans d'autres livres :
Je pense aux « unes » de couverture
Des deux dernières aventures,
L'Ile Noire, L'Oreille Cassée,
Avec forêt, cours d'eau, rochers.

Je l'avais lu il y a … longtemps,
Il ne m'avait pas emballé.
Je l'ai relu plus récemment,
Mon sentiment n'a pas changé.
(J'avais bourlingué entretemps
En Hongrie, Slovaquie, Balkans…).
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Notre cher Tintin n'a encore une fois pas de chance et se retrouve pris dans une histoire de complot. Je crois que c'est le tome que j'ai eu le plus de mal à comprendre petite.

Quand j'étais plus jeune Tintin était ma série de bd préféré,de grandes aventures sont bien et elles sont toutes aussi drôle.Cette bd est pas mal.Et c'est ma bd préféré de tout les Tintin.