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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Le titre est vraiment évocateur du ressenti des personnages : la maladie s'invite comme une tierce personne, sans rien demander, en poussant les murs pour se faire de la place.

Je vous conseille de le découvrir si vous voulez lire une histoire poétique sans tomber dans le pathos et la pitié.
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Merci à Colline Hoarau pour l'envoi de son livre ! J'avais bien aimé son premier roman, L'Adieu à Lila, et j'avais hâte de découvrir Notre vie à trois qui traite d'un sujet complètement différent : la maladie de Parkinson.

Dès le début, l'auteur nous confronte à la maladie de Parkinson : une maladie connue, qui nous parle de nom. Ce que l'on sait généralement sur cette maladie, c'est que les gens tremblent. Mais savons-nous comment le malade vit avec ? Savons-vous réellement ce qu'engendre, ce qu'est cette maladie ? Avant Notre vie à trois, je peux vous dire que non... Et ce roman m'a fait ouvrir les yeux sur de nombreuses choses qui m'ont touchées et émues !

L'histoire se déroule à travers deux points de vue : celui d'un malade et de son épouse. A chaque chapitre, nous entrons dans les pensées d'un de ces deux personnages. Une sorte de dialogue se forme entre ces deux êtres qui s'aiment, et on apprend comment le malade vit avec la la maladie de Parkinson au quotidien, tout comme son entourage... Un récit qui nous touche dès les premières pages et qu'on lit très vite !

Chaque chapitre est intéressant et très complet ! On voit que Colline Hoarau s'est énormément documentée . Et cela m'a fait plaisir de lire un livre comme celui-ci, car l'auteur a inséré des notions médicales complexes, à la base, mais que l'on comprend très bien ici. du début à la fin, on apprend de nombreuses choses, sur cette maladie, loin de nous laisser insensible...

Cette lecture m'a apprise énormément, aussi bien sur la maladie de Parkinson que sur la vie en elle-même. On se rend compte que la maladie peut toucher tout le monde, à n'importe quel moment de sa vie, et c'est pour cela qu'il faut profiter un maximum de chaque moment de notre existence... Notre vie à trois change notre regard sur le monde et on prend pleinement conscience de la chance qu'on a lorsqu'on est en pleine forme ! Des gestes simples pour nous, comme mettre nos chaussures, devient un vrai casse tête pour un parkinsonien...

La fin est comme le reste du roman : poétique et belle. On réfléchit à cette question sur laquelle se termine ce livre... Puis on pense à tout ce qu'on vient de découvrir, et on est encore plus touché !

La plume de l'auteur est belle et captivante. Colline Hoarau nous offre une belle leçon de vie qui nous percute ! Ses phrases nous interpellent, on les lit puis relit, et on ne s'en lasse pas...

Pour finir, je pense sincèrement que Notre vie à trois doit être lu, doit être connu, car il apporte assurément à la personne qui le lit un nouveau regard sur la maladie, sur le monde ! Cette lecture restera à coup sûr graver dans ma mémoire : un livre important dans ma vie de lectrice.

Une merveilleuse lecture sur la maladie de Parkinson !
Lien : http://un-univers-de-livres...
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Tout d'abord, je tiens à remercier Colline HOARAU de m'avoir offert ce livre pour le chroniquer.

Colline HOARAU est née en 1966 à l'île de la Réunion. Curieuse, elle adore l'école et se retrouve souvent première de la classe, avec une préférence pour les matières littéraires. Très sociable et avec un caractère fort, elle est, pendant toute sa scolarité, chef de classe. Elle gardera de ces années, essentiellement à la Réunion, un souvenir joyeux. A 15 ans, elle suit ses parents dans le Béarn. C'est une difficile rupture avec son île et ses amis. Elle se plonge dans la lecture, dévorant toute la littérature de la bibliothèque d'Orthez. Elle aime les classiques, n'hésitant pas à lire Zola ou Balzac et à apprendre les poésies les plus longues De Lamartine.

Elle est reçue au bac à 17 ans. Elle a envie de littérature. Une année de Lettres Modernes à la l'université de Pau ne va pas la convaincre. Elle découvre l'informatique qui satisfait son esprit avide de nouveautés. Elle passe d'analyste-programmeur à formatrice, préférant l'humain aux machines. Elle change de métier en fonction des opportunités et de ses envies d'apprendre, de passer à d'autres univers. Mariée, puis divorcée, elle veut présenter son île à ses deux filles. Elle y revient sans retrouver l'air de son enfance.

Elle fera plusieurs allers et retours entre la métropole et la Réunion. le choix est impossible entre les deux mondes, si éloignés culturellement et géographiquement.
Commence alors une période tournée vers les autres : un engagement fort à SOS Racisme, la direction d'associations d'insertion, la responsabilité dans un office HLM de la Région parisienne.

Passionnée par ce qu'elle fait, Colline HOARAU est toujours très active. Elle devient chef de cabinet. Elle adore écrire, des rapports, des discours, et, pendant les longs et fréquents conseils municipaux, elle écrit sur son portable. Il lui suffit d'ouvrir l'ordinateur pour que les mots arrivent. Les doigts tapotent sur le clavier à toute vitesse.

Elle retrouve une amie d'enfance qui lui dit un jour : « je pensais que tu deviendrais écrivain ». C'est le déclic. Elle imagine alors mettre en forme ses écrits. C'est ainsi que naîtra « L'adieu à Lila » ou son album réunionnais, son premier roman.

Elle s'est installée avec son compagnon en Bretagne depuis 2012, revenant à la formation. Elle se dit adoptée par les Bretons, apprenant la langue et adorant le caractère de la région. Elle a l'impression de retrouver le côté sauvage du Sud de la Réunion. Elle aménage son temps pour pouvoir lire et écrire davantage.

Elle vient d'obtenir une licence de Breton et Langues Celtiques à Rennes 2, travaille dans une école Diwan en breton.

Notre vie à trois (version broché et numérique) est son deuxième roman, par la suite elle a écrit « Sois sage Reine-May« , « Madigoù: Où la petite fille aux bonbons« , « Histoire d'enfants » et « Peut-on tout réparer« .

Par ailleurs, Colline Hoarau anime un blog dans lequel vous trouverez sa bibliographie, ses citations, ses articles ainsi que son actualité.

Le titre et la couverture sont parfaitement choisis, en effet ce couple dont il est question au début du livre va devoir apprendre à vivre avec la maladie de parkinson, tellement présente et imposante qu'elle s'impose en quelque sorte comme une troisième personne qui vient perturber leur quotidien.

L'écriture est fluide et simple, les mots bien choisis et intenses permettant aux néophytes de mieux comprendre et connaître cette maladie dont on ne connait que trop souvent le nom sans en connaître les symptômes et ce que cela implique.

L'originalité du livre tient au fait que chaque évènement autour de la maladie est abordé d'une part par le malade, Achille, et de l'autre part, Orchidée, la conjointe.

On voit au fil de la lecture que ce couple vit la maladie intensément et constamment telle une épée de Damoclès prête à faucher cet vie.

Les points de vue de ce couple autour de la maladie sont très intéressants car même si chacun appréhende la maladie avec leur vision proche, on se rencontre que les avis convergent dans le même sens et que leur souffrance est commune.

En effet, les gestes du quotidien deviennent un vrai combat et une vraie souffrance pour Achille. Ce qui était inné ne l'est plus et il doit lutter et réapprendre le moindre geste de la vie courante.

Orchidée, quand à elle, souffre d'être impuissante malgré tous les efforts fournis et les recherches (médicales, vestimentaires) effectuées pour soulager le quotidien d'Achille.

Le regard des autres est pesants également car il se situe en pitié et incompréhension. Ce qui amène le malade et son entourage à devoir s'isoler.

Ce passage m'a particulièrement marqué et choqué:

Le dentiste ou l'homme qui ne voulait pas

Dans certaines contrées, c'est un défi de trouver des spécialistes. Un rendez-vous fut pris. Un entretien fut tenu. Je me retrouvai plus dépité à la sortie qu'à l'arrivée. le dentiste, effrayé par ma maladie, ne souhaitait pas me soigner. Je ne sais plus comment il me l'avait intelligemment glissé. Mais il me le fit comprendre. Il ne me restait plus qu'à en trouver un autre. J'ai besoin d'avoir une dentition soignée, comme tout un chacun. Je me rends bien compte que les repas, surtout avec d'autres, sont les moments les plus sensibles et les plus difficiles à gérer.
Comment un homme de science, peut-il refuser de soigner un malade au prétexte qu'il a peur?! Je n'arrive pas à comprendre.

Colline Hoarau explique la maladie de Parkinson de manière réaliste et vraie sans jamais tombé dans le dramatique.

Avant de lire cet ouvrage, comme tout le monde, je pensais que les malades atteints de la maladie de Parkinson n'avaient que le tremblement comme symptôme.

Aujourd'hui je sais que cela ne s'arrête pas à cela et je vois tout ce que cela implique pour le malade et son entourage.

Je ne peux que recommander cet ouvrage d'autant plus si on connait une personne atteinte de cette maladie. Cela permet de mieux la comprendre et de faire sauter des préjugés.

Ce livre est un hymne à l'amour et à la tolérance.
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Ce roman n'a rien à voir avec le précédent du même auteur, L'adieu à Lila.
J'ai été conquise dès le début avec le suspens de la troisième personne. Qui est la troisième personne ?
J'ai vraiment apprécié le style, fluide, cinglant, direct et soigné.
J'ai été émue.
Cette histoire pourrait être celle d'une personne handicapée ou atteinte d'une maladie quelconque. le fait de "vivre" dans les deux rôles est vraiment intéressant et nous fait comprendre que, dans chaque situation, il y a le regard de celui qui le vit et l'autre qui le regarde.
Il est juste ce qu'il faut, ni trop long, ni trop court, ni trop émouvant.


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Notre vie à trois est un magnifique roman qui traite le sujet de la maladie de Parkinson, peu souvent abordé comme étant le thème principal, ou même secondaire, d'une intrigue. En effet, la maladie de Parkinson est connue de nom par la majorité d'entre nous, mais seulement une minorité de personnes savent véritablement de quoi il s'agit. Cela est dû à un manque d'information et à des croyances très réductrices de la réalité des choses. Grâce au récit de Colline Hoarau, nous pouvons mieux nous rendre compte du quotidien des patients ainsi que de leurs accompagnants, à savoir les conjoints, la famille ou encore les amis. Nous comprenons notamment que de nombreux symptômes nous sont inconnus et que le tremblement n'est qu'un exemple parmi tant d'autres. Dans le chapitre « le diagnostic d'Achille », nous prenons conscience que chaque patient est unique et que les symptômes peuvent varier d'un individu à un autre, mais surtout que la maladie de Parkinson peut être détectée autrement que par ces fameux tremblements. Effectivement, la dépression, la perte d'odorat ou encore la raideur des membres peuvent être des signes de cette maladie. Plus qu'un récit fictif destiné au divertissement des lecteurs, Notre vie à trois nous instruit et nous sensibilise à la maladie de Parkinson. Basé sur des faits réels et des informations vérifiées, issues de sites et études officiels, ce roman est un véritable témoignage qui permet aux lecteurs d'en apprendre davantage sur la maladie et d'en ressortir grandis.
Le format de ce récit est également très intéressant puisqu'il propose un dialogue entre le patient, Achille, et son « aidant », Orchidée. Si les médicaments et la stimulation cérébrale profonde sont très certainement indispensables au bien-être des patients, le soutien moral et affectif des proches l'est tout autant. En effet, comme le dit si bien Orchidée, « je ne sais pas quels sont les effets des médicaments sur la maladie mais ce que je subodore, c'est l'effet incontestable d'un accompagnement quotidien, d'une attention permanente et d'une assistance adaptée. Je sais que l'amour reçu a autant d'effet bénéfique sur le bien-être, si ce n'est plus, que n'importe quel traitement » (p. 97). Cette citation, que l'on retrouve à la toute fin du roman, peut être interprétée comme étant la morale de ce récit. Il est vrai que les proches des malades sont souvent laissés dans l'ombre, l'attention étant portée sur la personne atteinte, mais ils ont le pouvoir d'aider cette dernière à affronter la maladie et, parfois même, à l'accepter. En plus de nous donner des informations sur la maladie de Parkinson, afin que nous la connaissions mieux et jugions moins les personnes qui en sont atteintes, Notre vie à trois délivre un message d'amour et de tolérance. La justesse de la plume de l'auteure, ces chapitres courts qui font écho les uns aux autres et ces protagonistes à la fois forts et touchants, ne manqueront pas de vous convaincre. Je vous encourage fortement à découvrir ce joli roman.
Lien : https://alytterature.wordpre..
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Un récit touchant, empli d'émotion. Une bouffée d'air frais. L'auteure aborde des thèmes dont la société ne parle pas assez, tellement peu que lorsque nous entendons « maladie de parkinson », nous pensons, (presque) exclusivement à une conséquence parmi tant d'autres de cette maladie : les tremblements. Nous ne pensons pas à tous se qui s'en rattache, tout ce que cette fichue maladie emporte sur son chemin, tous les projets et les espoirs qu'elle peut ensevelir, les dégâts qu'elle peut causer et paraitre insurmontable pour la personne malade, mais aussi son entourage, les aidants.
L'auteure aborde avec justesse et délicatesse le thème de la maladie et de l'adaptation inévitable dont il faut faire preuve, la dépression, la confiance en soi, l'infirmité ressentie et perçue, la différence alliée à la peur du regard de l'autre, ces regards de curiosité, de pitié, ou parfois d'antipathie face à cette différence, à ce qui « n'est pas normal », mais également à la non reconnaissance des aidants face aux maladies qui les touchent également de plein fouet : « Mais, parfois, j'avais envie de me plaindre, de geindre, de susciter un peu de compassion. Et là, l'amie me ramenait tout de suite à celui qui souffre vraiment, au malade. » - orchidée.
Des questionnements que l'auteur nous pousse à faire sur nous-même mais aussi sur la vie, une vie qui peut être chamboulée du jour au lendemain, cette introspection est inévitable. le lecteur est happé dans cette histoire sans même qu'il s'en aperçoive. L'auteur raconte avec honnêteté, les conséquences de cette maladie et l'impact sur la vie du malade et de son/ses aidant(s). Certaines phrases sont plus dures que d'autres et vous frappent plus intensément : « ce que je ne supporte pas, c'est sa souffrance » - orchidée.
J'ai avancé dans ma lecture si aisément, plus les pages avançaient, plus je m'attachais aux personnages, aux deux personnes, à Achille mais aussi à Orchidée car tous deux font parties de l'histoire, de « la même racine ». La fin, quant à elle, ou l'épilogue devrais-je dire, a été dur. Pourtant, il n'est composé que de quelques lignes. Mais les mots qui les composent sont durs. Si vous lisez cet écrit, ce que je vous encourage à faire car celui-ci transmet une très belle leçon de vie, vous comprendrez mes dires. J'ai été plus que ravie d'entrer dans le quotidien de ce couple, d'en apprendre plus grâce à vous, Colline, ce fut fabuleux et je vous en remercie.
Je remercie l'auteure pour sa confiance et je vous retrouve très vite pour une nouvelle chronique.
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Je tiens tout d'abord à remercier l'auteure Colline Hoarau pour cet envoi en service presse dédicacé.

Notre vie à trois est un roman fort émouvant qui vous raconte la vie d'un couple qui traversent ensemble la maladie de Parkinson.Ce livre m'a beaucoup émue,on vois cette maladie d'un autre oeil,elle est difficile à vivre,ce que peu de gens savent.On peut penser qu'elle ne s'arrête qu'à des tremblements mais c'est bien plus que ça.J'ai pu notamment voir combien la vie est difficile pour ces parkinsoniens.

Ce livre est émouvant,court mais surtout plein de vie et d'espoir.Il ne pourra que vous plaire.
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✔️Mon ressenti : La couverture et le titre du roman ont réveillé l'ancienne soignante qui sommeille en moi.
Ce court roman expose sans détours la vie d'Achille et de sa compagne Orchidée après l'annonce du diagnostic de la maladie de Parkinson.
Cette histoire, tellement juste, donne la parole sans filtres à l'homme, devenu patient, et à sa compagne devenue aidante.
Ils vivent avec cette maladie, comme un couple devenu par la force des choses un trio. Ils nous livrent à l'état brut la peur, la crainte, la honte, les gestes les plus anodins devenus douleurs et montagnes à gravir.
C'est un très beau roman porté par la plume sensible, poétique et touchante de l'auteure.
Un roman qui m'a profondément remuée, et qui me semble d'une justesse incroyable.
Merci Colline pour votre confiance et pour cet éclairage sur la vie des personnes atteintes de la maladie de Parkinson et de leur entourage.

🎯Mots clefs : Maladie / Parkinson / Vie / Aidant / Couple

🏆Ma note : 18/20


Lien : https://entredeuxlivres22813..
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Les premières pages donnent le ton et nous confrontent à la maladie de Parkinson. Comme beaucoup, je connaissais la maladie de nom et son principal symptôme : le tremblement.

« Notre vie à trois » c'est l'histoire d'Achille et de sa compagne Orchidée après l'annonce du diagnostic de la maladie de Parkinson. Au fil des pages on découvre le quotidien d'une personne souffrant de la maladie de Parkinson et de sa femme devenue aidante. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé avoir ces deux points de vue, car j'ai trouvé qu'elles se complète à la perfection. En effet, chaque personne appréhende la maladie d'une façon différente, mais on se s'aperçoit rapidement que la souffrance est commune. C'est le cas pour Achille et la maladie, mais également pour Orchidée qui met tout en oeuvre pour soulager son compagnon.

L'autrice aborde le thème de la maladie de Parkinson avec justesse, sensibilité, réalisme sans rentrer dans un jargon médical. En effet, elle explique les choses avec des mots simples, ce qui permet de se rendre rapidement compte de ce qu'est la maladie.

J'ai beaucoup aimé la lecture de ce roman qui m'a appris beaucoup de choses sur la maladie elle-même.

La plume de l'autrice est fluide et simple.

Je remercie l'auteure pour l'envoi de son roman en service presse et la dédicace.
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Dans ce roman, pas de voyages sous les cocotiers de l'île de la Réunion ou de bonnes crêpes bretonnes (voir ses 2 autres romans 😉). Dans celui-ci, il s'agit d'un sujet bien plus sérieux : la maladie de Parkinson.

Comme beaucoup de monde (moi y compris) on se dit que la maladie de Parkinson = des tremblements... Dans ce roman, j'ai pu constater que j'avais tout faux.

@collinehoarau nous détaille avec subtilité les symptômes associés et les manières de soulager le patient mais aussi les aidants.

Je le conseille vraiment. Ce roman est vraiment très bien fait.
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