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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
"Confusion", troisième tome de la saga des Cazalet, couvre la période mars 1942 - mai 1945. Après la disparition de Rupert en France en 1940, la famille est de nouveau éprouvée par le décès de Sybil des suites d'un cancer.

Big et la Duche vivent toujours à Home Place en compagnie de Villy et Zoé, leurs belles-filles et des plus jeunes enfants de la famille. Les autres membres vivent à Londres, notamment les trois cousines, Louise, Polly et Clery. Louise est mariée , mère de famille, mais pas très épanouie. Polly et Clery entrent dans l'âge adulte. Elles apprennent la dactylo puis cherchent du travail. A peine adultes l'amour est pour elles une grande question et une énigme. Elles sont très attachantes, notamment Clary dans sa croyance en la survie de son père.

Tout au long des quatre cent quatre vingt pages l'autrice raconte également ses autres personnages. Ils sont nombreux, évoquons-en quelques uns. Edward trompe et ment à son épouse, Hugh ne réussit pas à faire son deuil de Sybil, Rachel se consacre toujours à ses parents et à l'entreprise familiale au détriment de Sid, Zoé, épouse ou veuve de Rupert, tombe amoureuse d'un journaliste américain.....(pages difficiles lorsque Jack parle de ce qu'il a vu lors de l'ouverture des camps de concentration.)

N'oublions pas Archie.. D'un rôle très secondaire dans le tome II, il se retrouve dans le tome III personnage clé de la famille Cazalet. Archie , ami de Rupert, est un homme sympathique, célibataire et amoureux éconduit de Rachel. Il se retrouve d'être non seulement l'ami, mais aussi le conseiller, le confident, le presque directeur de conscience de la grande majorité des membres de la tribu Cazalet.

Elisabeth Jane Howard avait soixante ans lorsqu'elle écrivit cette saga. S'est-elle inspirée de sa propre vie pour écrire cet ouvrage ? Difficile à dire car internet donne peut d'information sur la vie de l'autrice Toutefois on constate qu'elle fait naître Louise en 1923 (sa propre date de naissance). Elle souhaitait devenir actrice de théâtre, projet abandonné du fait de la déclaration de guerre en 1940. Elle choisi ensuite l'écriture.

La lecture de cette saga est non seulement un plaisir mais aussi documentaire en nous racontant la vie d'une famille bourgeoise aisée pendant une période importante dans l'histoire non seulement anglaise mais mondiale.
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Nous voici donc à mi-chemin et même de l'autre côté du sommet une fois tournée la dernière page de ce troisième volet d'une saga qui en compte cinq. Joie de se dire qu'il en reste deux soit un millier de pages à savourer et léger pincement au coeur à l'idée que cela se termine un jour. Mais nous n'en sommes pas là. L'essentiel est qu'après plus de 1500 pages la compagnie des Cazalet est tout aussi addictive. J'ai appris récemment dans un passionnant article paru en rubrique Livres de Libération à quel point l'auteure s'était inspirée de sa propre expérience pour donner vie à ses personnages, et à quel point sa vie avait tous les ingrédients d'un excellent roman. Encore fallait-il réussir à transformer cette matière en une saga enthousiasmante. J'avoue que je suis assez admirative du résultat et pas du tout inquiète quant à la qualité de la suite.

Ce troisième volet couvre les trois dernières années de guerre, entre le printemps 1942 et l'armistice de mai 1945 qui nous sont toujours restituées principalement par les trois jeunes filles que nous avions quittées à 17 ans en pleine réflexion sur leur avenir. Louise, Clary et Polly. Trois facettes du passage à la vie d'adulte rendu encore plus complexe par le contexte en temps de guerre. En pleine confusion des sentiments comme l'indique fort justement le titre, qui s'ajoute à la confusion provoquée par la situation internationale. Louise fait en accéléré l'expérience du mariage, de la maternité et de la désillusion. Clary tient un journal destiné à son père porté disparu et qu'elle espère toujours vivant. Polly et elle rêvent d'indépendance et de quitter Home place pour s'installer à Londres. Avec ces trois figures, l'auteure pointe les velléités d'émancipation de jeunes femmes lassées d'être traitées comme des enfants y compris par une société qui leur refuse l'accès à de nombreux domaines. Et un personnage apparu dans le précédent tome, Archie agit ici comme une sorte de pivot qui relie les différents membres de la famille, détenteur de leurs secrets, sorte de sage et de facilitateur. Il donne à ce volet une ossature très intéressante alors que la suite des aventures des Cazalet ne s'annonce pas de tout repos malgré la fin de la guerre. J'aime toujours autant la façon dont Clary utilise ses lectures pour tenter de comprendre le monde, le léger humour qui irrigue les pages, l'habileté dont fait preuve Elizabeth Jane Howard pour incarner des personnages aussi profonds les uns que les autres et jouer avec finesse sur leurs ambivalences. Et cette toile de fond qui vient charger l'intrigue de moments parfaitement dramatiques où surgit l'actualité dans toute sa violence malgré la sourdine du cocon familial.

"Pendant si longtemps, de même, probablement, que tout un chacun, il s'était représenté la fin de la guerre comme le début d'une nouvelle existence merveilleuse, ou du moins la reprise d'une ancienne existence confortable. Aujourd'hui il se demandait si, pour la plupart des gens, ce serait effectivement le cas."

Quelle sorte de révélateur joueront ces années de confusion dans les vies des protagonistes ? Dans quel état chacun va-t-il aborder cette sortie de guerre ? C'est tout le talent de l'auteure que de donner envie d'être déjà en automne pour retrouver ce petit monde et son Nouveau départ. Hâte !
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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Les Cazalet sont de retour pour notre plus grand plaisir !!

L'histoire se passe cette fois-ci entre 1942 et la fin de la guerre. le roman abonde de détails, de drames, d'angoisses et d'amours déçus ou non partagés.
J'ai donc retrouvé avec plaisir, Louise, Clary, Polly, Zoê, Villy, Rachel. Ce troisième tome est plus orienté sur l'histoire de ces femmes toutes formidables.
Tout d'abord, parlons de Louise. Cette dernière épouse Mickaël ainsi que c'était prévu. très vite et contre sa volonté, elle tombe enceinte et accouche d'un petit Sébastian. Malheureusement, les sentiments qu'elle éprouve pour ce bébé, sont mitigés. Elle n'est pas certaine de son amour pour lui et a même le sentiment désagréable que le bébé ne l'aime pas. Par ailleurs, son mariage n'est pas parfait. Mickaël est souvent absent et Louise ne peut donc pas profiter de son mari comme elle le souhaiterait d'autant que la mère de Mickaël exige que son fils passe du temps avec elle au détriment de Louise.

Quant à Clary, alors qu'elle est restée longtemps persuadée que son père était toujours vivant, décide de ne plus écrire sur le journal destiné à son père. En effet, cette dernière commence à douter de son existence, sentiment renforcé par le fait que toute la famille le croit mort.
Zoë tombe amoureuse de Jack, journaliste américain rencontrée dans le train. Mais Jack est en proie à des sentiments douloureux après avoir visité un camp d'internement en Allemagne.

Rachel, choisit toujours sa famille au détriment de la pauvre Sid qui désespère de passer du temps avec son amie.

Polly tombe amoureuse mais son amour n'est pas réciproque, alors elle entre dans un état de mélancolie qui inquiète son père.

Le titre "Confusion" prend tout son sens car il s'agit bien des sentiments que ressentent nos héroïnes. Période difficile pour chacune d'entres elles. L'auteur a, avec beaucoup de finesse, explore les sentiments personnels de chacune de ces femmes. Bref, j'ai passé un bon moment avec la famille Cazalet, détestant toujours Edward pour sa lâcheté de cacher sa liaison sulfureuse à sa chère Villy que finalement, il n'aime plus.


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Quel régal que ce tome 3 ! On retrouve avec tellement de plaisir tout le clan Cazalet ainsi que toutes les pièces rapportées. Il y a énormément de personnages dans cette saga mais l'auteur parvient à les rendre tous uniques (même si pas forcément tous aimables). le contexte est par contre assez dur, il y a moins d'humour et de légèreté et plus de drames dans ce volume. La découverte de l'holocauste en particulier, donne une tonalité très grave à la fin du tome. Je n'ai qu'une hâte, c'est de les retrouver (en particulier Clary et Archie qui sont devenus mes chouchous). Pas de date d'annoncée pour la sortie du tome 4 pour l'instant...
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C'est crescendo que m'évoque le commentaire de cette "trilogie ", le quatrième étant attendu.
Je l'ai lu encore plus vite que les autres car il est vrai qu'au troisième, on se trouve au centre de l'action des Cazalet.
Dès le début de ce tome, on attend comme les personnages , la fin de la guerre, des errances des uns et des autres et des changements qu'apportera cette victoire.
Tout se met en place habilement par l'auteur car bien qu'il ce soit encore passé bien des événements familiaux, on aura les réponses attendues que dans le dernier opus.
Chaque couple, parents,enfants, petits enfants vivront encore des tourments. Une saga quoi !
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Confusion. Des temps et des sentiments. Dans ce tome 3 de la saga des Cazalet, la guerre s'étire et devient un élément du décor. On s'habitue à tout. Au rationnement, au black-out, au danger latent, à l'absence. L'absence d'un père, perdu quelque part en France, à l'absence d'une mère, que le cancer n'a pas épargné, l'absence d'un amour, d'amour tout simplement, l'absence d'un regard qui pourrait par sa force, tout changer.
Louise, qui incarnait l'audace, a sacrifié sa liberté pour un mariage triste, une belle famille perverse et une maternité subie. Polly et Clary, si complices, voient leur relation changer, se teinter de jalousie et d'amertume, parce que leurs coeurs battent à l'unisson pour Archie. Ce dernier étant un élément central de ce tome, le confident, le père, l'ami qui couve les femmes de la famille. Zoé qui gagne en maturité et qui fait la rencontre de Jack, sûrement le plus beau personnage de cet opus.
La mélancolie les étreint tous, une certaine lassitude aussi, qui colle parfaitement à notre époque. La situation de crise dans laquelle ils essaient tant bien que mal d'avancer n'a qu'un horizon flou. Quelques rêves pointent encore le bout de leur nez, mais les mariages sont tristes et les sourires voilés.
Il y a des scènes bouleversantes, une justesse dans les portraits de femmes et de jeunes filles, une sensibilité aux choses du quotidien. Libération a consacré un bel article à Élisabeth Jane Howard, où l'on découvre que l'auteure a parsemé cette saga d'éléments autobiographiques. Et l'on se demande pourquoi il a fallu tant de temps avant qu'un éditeur nous propose une traduction. Et l'on se dit qu'une nouvelle adaptation en série serait bienvenue. Parce qu'il faut bien rêver un peu en attendant le tome suivant.
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Sans surprise, retrouver la famille Cazalet reste un réel plaisir de lecture. Retrouver toute la famille, c'est entrer par la petite porte dans la demeure Home Place au moment de la terrible deuxième guerre.

Ce tome « Confusion » est assez sombre. Elizabeth Jane Howard nous raconte la vie en Angleterre sous les bombes, la vie après la perte d'un être cher, l'infidélité, la condition des femmes, l'espoir de revoir un père. L'auteure n'oublie personne. Elle nous raconte les enfants, les parents, les grands-parents, les domestiques, les amis. Dans « Confusion », nous accompagnons principalement les cousines Polly et Clary qui partent vivre à Londres. Elles sont le fil rouge de ce tome. Et le reste de la famille gravite autour, à Londres, à Home Place. Nous en apprenons toujours plus sur chacun. Nous partageons avec tous leur peine, leur désespoir, leur espérance, leur désillusion, l'amour.

Je continue à m'attacher à toute cette famille. Je pleure avec eux. J'espère autant qu'eux. Je rage de certains comportements. J'écoute leurs secrets attentivement. Je tremble à cause de la guerre qui les touche.
Elizabeth Jane Howard sait parfaitement mêler l'Histoire avec le romanesque british. Elle m'emporte avec facilité grâce à ses mots, son envie de transmettre. Elle a un don particulier pour me rendre accroc à toute la famille Cazalet. C'est un réel plaisir de plonger dans la vie de toute sa famille si attachante.
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Des trois tomes de la série des Cazalet que j'ai lus jusqu'à présent, Confusion est sans conteste celui que j'ai préféré. Si les deux premiers tomes prenaient leur temps à démarrer, avec celui ci nous sommes immédiatement plongés dans le vif du sujet.

Un événement dramatique, largement prévisible à la fin du second tome, a eu lieu dans le laps de temps entre les deux livres, et la famille Cazalet a encore une fois été largement bouleversée. le Brig et la Duche ne sont plus dans leur prime jeunesse, Rachel se dévoue et s'oublie un peu plus chaque jour, Rupert est toujours porté disparu, Hugh est tout à son chagrin, et Edouard s'empêtre dans l'égoïsme de sa double vie.
Confusion couvre la période allant du printemps 1942 au printemps 1945. Comme dans le tome précédent, nous suivons essentiellement Polly, Clary. Enfants dans le tome 1, adolescentes dans le tome 2, elles entrent à présent dans l'âge adulte, aspirant à d'avantage de liberté et d'indépendance. Elles vivent leurs premiers émois, et le parallèle avec leurs aînées, Angela, Nora et Louise, nous fait espérer davantage de chance pour elles deux. Les deux filles n'ont pas épargnées par la vie, et s'éloignent peu à peu. Elles ont appris que leurs parents, et les adultes en général, ne sont pas irréprochables, et ont perdu pas mal de leur illusions. Sans doute est-ce le prix pour quitter l'enfance.

Un passage m'a particulièrement marqué, raisonnant tristement avec l'actualité au moment de ma lecture. « On aurait pu penser que, sachant à quel point la guerre est abominable, scandaleuse et effrayante, les gens seraient tombés d'accord pour qu'il n'y en ait plus, mais je suppose que seule une minorité lit des livres comme ça, et qu'on n'écoute plus les personnes qui pourraient en parler parce qu'elles sont trop vieilles. »

Naïvement on pourrait penser qu'en temps de guerre, la famille est le socle sur lequel s'appuyer quand le reste du monde semble devenir fou. Que pour tenir le coup, on se recentre sur l'essentiel, sur ceux qu'on aime, sur son cocon.
Et pourtant, Confusion aurait pu s'appeler Adultères. Comme si, en cette période si difficile, les hommes comme les femmes avaient besoin de trouver le réconfort des sens et des sentiments partout où ils le pouvaient.

Les derniers mots du livre, prêtés à Rupert : « D'une manière ou d'une autre, je vais devoir trouver le courage de repartir de zéro », présagent bien du tome 4 à venir, Nouveau Départ.
La guerre est finie et on voit bien que la plupart de nos personnages sont arrivés à un tournant de leur vie. L'effet catalyseur de la Guerre a précipité des prises de conscience et des décisions ; peut-être certains n'auraient-ils jamais franchi le pas en temps normal, mais là on sent que tout est possible.

Mon coeur de midinette est de plus en plus attendrie par les relations de Archie et Clary, deux personnages que je trouve particulièrement attachants, et j'espère que cela ne finira pas mal, comme la plupart des relations de cette saga pour le moment. J'ai très, très hâte de découvrir ce quatrième tome, même s'il me fait très peur.
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1942, la guerre secoue l'Europe et les Cazalet. Pendant trois ans, nous suivons les inquiétudes de tous les membres de la famille sur leur avenir. Petits tracas, peines de coeur, tickets de rationnement, soirées dansantes et bien sûr le bruit des V1... le tout s'agence avec intelligence et humanité. A la fois drôle et tragique, cette saga est un portrait d'une époque et une galerie de personnages touchants et forts.
Quand ma collègue m'a apporté "Confusion", je lui ai fait un calin. C'est dire à quel point j'étais heureuse de voir sortir le troisième tome de l'excellentissime saga des Cazalet. J'ai dévoré un jour et demi la moitié de cette brillante suite avant de ralentir le rythme afin de bien profiter de toute la finesse de l'écriture d'Elizabeth Jane Howard. Au final, le seul défaut de ce roman, sa suite qui n'est pas encore sortie! Je vais devoir attendre encore de longs mois pour découvrir la suite des péripéties quotidiennes de ma nouvelle famille préférée.
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Le troisième tome de la saga des Cazalet débute en mars 1942 et se terminera à l'armistice de 1945. Comme le volume précédent, Elizabeth Jane Howard se penche plus précisément sur le sort des trois cousines : Louise, Polly et Clary. La première va choisir le mariage plutôt que sa carrière au théâtre. le résultat est plutôt mitigé, la maternité et les absences répétées de son mari n'arrangent pas les choses. A 17 ans, Polly et Clary cherchent encore leur voie mais ce dont elles sont certaines, c'est qu'elles veulent être indépendantes. Elles quittent donc le cocon de Home Place pour Londres qui, même sous les bombardements, reste le lieu où tout peut arriver.

J'ai retrouvé avec grand plaisir la plume si fluide, si élégante d'Elizabeth Jane Howard. Comme dans les deux premiers tomes, elle réussit à merveille à mélanger l'Histoire, ses évènements tragiques, à l'intimité des membres de la famille (l'un des personnages nommé Jack est à ce titre totalement bouleversant). La guerre apparaît ici comme une parenthèse où certaines choses sont autorisée, permises alors qu'elles ne seraient pas arrivées an tant normal. Par exemple, Jessica, la soeur de Villy Cazalet, se perd dans la fête, la légèreté alors qu'elle a toujours été une femme sérieuse et une mère de famille impliquée. Mais tout cela semble devoir se terminer à la fin de la guerre et le sentiment global de ce tome est une profonde tristesse et un grand gâchis notamment amoureux. Il n'y a pas d'amour heureux dans « Confusion ». Les femmes de la famille Cazalet peinent à trouver le bonheur, à trouver le bon compagnon de vie. Les unes après les autres, elles se retrouvent coincées dans des impasses qui s'achèvent souvent en moments tragiques.

La force d'Elizabeth Jane Howard est encore une fois de pénétrer avec acuité dans la psychologie de chacun. Cette connaissance précise des affres, des espoirs qui animent les personnages nous les rend infiniment proches et attachants. Mais cette description des personnages ne s'adresse pas qu'aux personnages principaux. Ce que j'apprécie beaucoup chez cette auteure, c'est l'attention qu'elle porte aux personnages secondaires. Elle dresse le portrait de chacun et en quelques lignes le personnage prend de l'épaisseur et de la densité. Elizabeth Jane Howard a vraiment un talent merveilleux pour donner vie à ses personnages.

« Confusion » s'achève sur un évènement qui questionne beaucoup l'avenir de la famille Cazalet, j'ai donc hâte de lire la suite en espérant que le ciel va enfin s'éclaircir pour certains personnages.
Lien : https://plaisirsacultiver.com/
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