AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur L'épopée de Gengis Khan, tome 3 : La chevauchée vers l'empire (22)

Peu importe que nous passions dans les chroniques de Temüge pour des tyrans ou des couards. Ce qui compte, c’est ce que nous faisons maintenant. Nous sommes nos seuls juges, souviens-toi de cela. Ceux qui viendront après auront à se soucier d’autres épreuves, d’autres batailles.
Commenter  J’apprécie          50
L’homme qui mène le peuple ne doit pas être faible. Il ne doit agir ni sur un coup de tête ni par dépit. Il doit d’abord réfléchir mais quand il agit, ce doit être avec la rapidité du loup, sans la moindre pitié. De nombreuses vies dépendent de lui et une seule mauvaise décision peut détruire ce que les frères et moi avons bâti. [...]
Je suis le khan de l’océan de l’herbe, du peuple d’argent. J’ai choisi mon héritier, comme c’est mon droit. Que le père ciel et la terre mère anéantissent tout homme ou toute femme qui s’y opposera.
Commenter  J’apprécie          20
Il ne craignait pas de tels ennemis, ni même une douzaine de telles armées. Il était le khan de la mer d’herbe, ils n’étaient que des habitants des villes, mous et gras malgré leurs fanfaronnades. Ils les réduirait en poussière.
Commenter  J’apprécie          20
Il n’était plus jeune, cependant, et quand son dos lui faisait mal, le matin, il songeait au monde qui continuerait de tourner sans lui. Son peuple ne s’était jamais soucié de permanence. Quand un Mongol mourait, il laissait derrière lui les tracas du monde. Maintenant qu’il avait vu des empires, il en imaginait un qui durerait plus que lui. Il pensait avec plaisir à des hommes qui gouverneraient en son nom longtemps après sa mort. L’idée faisait croître en lui un sentiment dont il avait à peine conscience.
Commenter  J’apprécie          20
Pour les Mongols, c’était de la provocation. Tout homme assez fou pour se risquer parmi eux sans une lame ou un arc ne faisait qu’attiser leur soif de tuer.
Commenter  J’apprécie          70
En temps de paix, la civilisation n’avait pas de place pour des bouchers comme lui mais on avait besoin d’eux - on aurait toujours besoin d’eux - quand les villes opulentes et les jardins verts étaient menacés.
Commenter  J’apprécie          122
Quand je ne serai plus, je ne veux pas qu’on dise : « Regardez les richesses qu’il a entassées, ses villes, ses palais et ses splendides atours. » [...] Je veux qu’on dise : « Assurons-nous qu’il est bien mort. C’était un vieil homme féroce et il a conquis la moitié du monde. »
Commenter  J’apprécie          80
Nous dormons tranquillement dans nos lits parce que des hommes rudes se tiennent prêts, la nuit, à employer la violence contre ceux qui chercheraient à nous nuire.
George Orwell.
Commenter  J’apprécie          380
Je suis venu sur ces terres parce que, si je détourne les yeux quand un homme me menace, il me prend quelque chose d'important. Si je me bats et si je meurs, il ne peut me prendre que ma vie. Il me reste mon courage, ma dignité.
Commenter  J’apprécie          430
Prie pour avoir raison.
Je ne prie personne. Si je le faisais, le père ciel me répondrait : « Süböteï, tu as reçu les meilleurs guerriers au monde, des généraux qui écoutent tes plans, un ennemi idiot, lent à se mouvoir, et tu demandes encore un avantage ? ».
Commenter  J’apprécie          530






    Lecteurs (196) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Quelle guerre ?

    Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

    la guerre hispano américaine
    la guerre d'indépendance américaine
    la guerre de sécession
    la guerre des pâtissiers

    12 questions
    3180 lecteurs ont répondu
    Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

    {* *}