Il faut savoir prendre de grandes décisions. Pour son propre bien.
Aussi, après 146 pages j'ai jeté l'éponge.
Afsakið Arnaldur!
J'avais déjà quelques craintes avant même de commencer cette lecture. Il faut dire que tous les derniers romans d'Arnaldur m'ont déçu. Même ceux qui mettaient en scène son flic préféré Erlendur, celui qui m'avait aimé l'univers de l'auteur… à ses débuts!
Mais avec
le roi et l'horloger, l'ennui s'avère mortel. Malgré la tentative de dynamiser le rythme du roman en alternant entre l'histoire du père de l'horloger et la réparation de l'horloge en elle-même qui est l'occasion d'échanges entre le roi du Danemark et l'artisan islandais, l'intrigue traine en longueur. Et j'ai eu l'impression d'avoir un boulet au bout de chaque poignet en lisant ce livre. Plombée.
Alors même si j'ai l'impression de commettre la faute ultime, c'est l'abandon qui s'impose! Trop d'autres (et j'espère meilleurs!) romans m'attendent dans ma PAL.
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