En général, je suis bon public, mais là, j'abandonne ce livre au chapitre 28, où je me suis forcée à lire jusque là. Pour une fois, je suis allée lire la fin du livre qui ne m'a rien révélé d'extraordinaire, tellement je m'en doutais.
Je suis sincèrement désolée pour les lecteurs qui ont raffolé de ce roman. Je garde un goût amer et je tente de comprendre pourquoi, je n'ai pas aimé ce livre.
Pourtant, il avait tout pour me plaire, l'auteur, l'histoire écrit comme un conte à double récit, la société islandaise, le titre et le thème et le départ d'une histoire véridique, les personnages qui ont vraiment existés sans s'être rencontrés.
Mais j' en peut plus de toutes ces répétitions "de qui" et "pourquoi "et "comment" les personnages ont couché ensemble, ont menti, ont triché. Répétitions lourdes et pesantes des situations déjà racontées qui n'avancent pas. Lenteur excessive, personnages secondaires sans attrait sauf la prostituée.
Par contre, j'ai apprécié l'histoire de cette horloge et de la rencontre avec le roi. Toute la partie sur le temps donne à réfléchir.
J'ai lu avec intérêt les critiques et je suis triste d'avoir raté le rendez-vous avec ce roman.
Allez sans rancune,
Mr Arnaldur Indriðason, je vais de ce pas lire un autre de vos livres.