- Pourquoi j'ai l'impression qu'on vient de faire une grosse bêtise ?
- Peut-être parce que tu juges les autres comme toi-même et que tu vois le mal partout.
- Si tu veux mon avis ; Lea’saa, cette gamine n’a pas que sale caractère, elle aussi trèèèès compliquée.
- C’est une fille. Les filles de chez nous aussi sont compliquées. Beaucoup de caractère ! Le caberlot à l’envers ! Pas mal de contradictions…
- Tu sais que tu ne me rassures pas du tout en disant ça ?
- J’imagine !
La peur nait de la crainte de mourir. Il faut donc apprendre à regarder la mort en face.
Devenir responsable complique la vie mais cela remplira ton âme.
J'estimerai ta valeur à celle que déploie ton ennemi pour te détruire.
[Lettre d’Irinild à son père] : Vieux croûton !
Ne m’attends pas.
Je suis partie avec ton vieil ami Belthoran et deux autres abrutis pour les terres d’Ogon.
J’ai pris la carte.
Si je ne reviens pas, t’auras qu’à en dessiner une autre.
Ah, ben non, tu peux pas, t’as pas de mémoire.
Tant pis !
Ta fille.
PS : Je leur ai dit que t’étais mort.
Comme on dit souvent par chez nous, "avec le talion, tu l'as droit dans le fion !"
- Lea'saa : Qui les a envoyés ?
- Feda'saa : Leur capitaine n'a pas pu nous renseigner. Ni les autres d'ailleurs...
- Lea'saa : Forcément, je suppose que Turuk l'a tué avant.
- Turuk : Ce n'est pas évident de garder le capitaine en vie. Il est devant, il dit un tas de conneries, puis il veut en découdre pour montrer qu'il en a deux bien grosses ce qui me contraint à mettre un point final à sa misère ! Dommage !
À quoi bon vivre si on ne peut courir les cheveux dans le vent?