AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,47

sur 53 notes
5
0 avis
4
3 avis
3
5 avis
2
0 avis
1
1 avis
Deuxième ouvrage que je lis de cet auteur en peu de temps. J'y retrouve des personnages et toujours un univers félin naturellement. C'est d'ailleurs ce qui m'a fait choisir cette lecture, mais ce livre m'a moins intéressée que le premier... C'est une lecture facile, légère, qui ne demande pas de concentration ni d'effort... Je ne sais si d'autres romans de la série m'attendent dans ma PAL, mais je vais prendre mes distances.
Commenter  J’apprécie          220
Je crois bien que c'est le premier livre que je lis de cette auteure maintenant disparue. Je l'ai trouvé en brocante. Sa parution date de 1995 dans la collection Grands détectives de 10/18. Il est très agréable à lire et plein d'humour ! Je me suis même demandé s'il y aurait un meurtre mais tout arrive. Il y a eu un coup de couteau fatal dans la Taverne Trackside alors que les supporters de l'équipe locale de football fêtaient la victoire à plus de la moitié du livre (page 175) et ensuite tout s'est merveilleusement bien enchaîné jusqu'à la surprise finale. Les deux siamois Koko et Yom Yom sont irrésistibles et j'ai vu sur la photo de l'auteure dans Babelio qu'elle aussi possédait un siamois. Ce livre fut un bon délassement.
Commenter  J’apprécie          92
Les tomes se suivent et se ressemblent un peu, c'est ce qui fait leur charme: une petite ville peuplée de personnages hauts en couleurs, un crime mystérieux, de la nourriture, des livres et des chats 🙂 Que demander de plus? ^^

Cette fois, la mise en place et un des derniers chapitres m'ont semblé un peu décousus, au début j'étais un peu perdue. Mais l'intrigue n'est pas complexe, donc je suis vite retombée sur mes pattes.

Les tomes de cette série ne sont jamais complètement centrés sur l'enquête policière. Ici les quelques éléments qu'on apprend au fil de la lecture mènent à une résolution assez abrupte dans les dernières pages. On s'intéresse aux trains, à la construction stressante d'une maison et à l'hilarante et très inédite adaptation d'une pièce de Shakespeare. Comme toujours ce sont les relations entre les personnages qui font le sel du récit, à commencer de celle entre Qwill et ses siamois.

Une lecture très distrayante et sans prise de tête, parfaite pour ces journées de grosse chaleur où on a juste envie de se détendre.
Lien : https://bienvenueducotedeche..
Commenter  J’apprécie          80
James Qwilleran (dit Mr. Q) et ses deux chats siamois, Koko et Yum-Yum, vivent dans la petite ville fictive de Pickax, située dans le comté de Moose, à «400 miles au nord de partout ailleurs." Bien qu'elle ne l'ait jamais déclaré officiellement, les villes, les comtés et les modes de vie décrites dans la série sont généralement considérées comme étant calqués sur ceux de Bad Axe, Michigan, où Lilian Jackson Braun résidait avec son mari jusqu'au milieu des années 1980. Et cette petite ville est peuplée de véritables « caractères », de personnages hauts en couleurs qui, tous, gravitent autour de notre journaliste milliardaire, Mr Q. Celui-ci, avec son humour pince-sans-rire, est également un vieux célibataire, très courtisé mais défendu de la gente féminine par ses deux chats.
Cette fois, l'intrigue tourne autour d'un amateur de trains, très riche, qui disparaît en emportant le capital de sa banque, avant un audit. Les siamois, comme tous les chats, c'est bien connu, ont d'autres perceptions du monde que les êtres humains. Leur maître, perspicace, prend en considération chacune de leurs attitudes. Mais quand l'un d'eux déclenche une coupure de courant dans tout le comté, il doit bien reconnaître qu'en plus d'avoir neuf vies, les chats sont des sources d'énergie vibratoire.
La première qualité de ces enquêtes est l'humour dans les dialogues et dans certaines situations. La seconde est que, à chaque histoire de la série du « Chat qui… », j'ai l'impression de retrouver un univers familier avec ses archétypes, ses lieux dits, ses descriptions de la vie provinciale.
Commenter  J’apprécie          60
Pourquoi bouder son plaisir ? Cette collection des chats me rappelle de bons moments.
Commenter  J’apprécie          50
L'univers du modélisme ferrovière et du train en général donne un cachet particulier à ce tome. Une fois encore, Lilian Jackson Braun nous livre une enquête passionnante, entremêmélée des péripéties de construction de maison de Polly, l'amie du personnage principal.
Un tome très riche en péripéties, surprises, personnages et beaucoup d'humour, comme d'habitude. J'ai apprécié l'installation de Célia Robinson à Pickax : c'est un protagoniste truculent, croisé quelques tomes auparavant. Célia apporte un souffle nouveau à la série.
La troupe de théâtre qui monte Songe d'une Nuit d'Eté apporte aussi sa touche à un tableau bien complet !
Un 17è tome dans lequel on ne s'ennuie pas une minute !
Commenter  J’apprécie          30
Gare aux rats minables gros, bis

J'avais lu il y a dix ans deux aventures de Jim Qwilleran et ses deux siamois Koko et Yom Yom. J'avais aimé l'esprit bon enfant de cette petite communauté américaine. Et puis une amie, très portée sur les matous, c'est elle-même qui l'écrit, a rappelé la vieille Madame Lilian Jackson Braun à mon souvenir. Morte à 98 ans en 2011 LJB fait du bien quand on la lit, à condition de ne pas lire la trentaine de volumes d'affilée. Mais de temps en temps, grâce à 10/18 Grands détectives on peut s'en amuser. Je viens de le faire avec "Le chat qui donnait un coup de sifflet" où l'on retrouve l'improbable comté de Moose, au nord de partout. Tout un petit monde vit là-haut, bibliothécaire, vieilles dames curieuses, journalistes provinciaux, banquier véreux pour justifier une enquête menée par Jim avec la complicité de ses deux félins surdoués.

On y boit du café en bonne compagnie, les habitants répètent sérieusement "Le songe d'une nuit d'été", version petits hommes verts à la place des fées, quelle audace. Tout cela est bien sympathique sur fond de bourgade un peu "idéale " sauf que meurtre il y aura tout de même. Miaou, on est dans un polar après tout, les dits Koko et Yom Yom n'apparaissant d'ailleurs qu'assez succinctement, chats de luxe qu'on a plaisir à imaginer. Ça plaira aussi aux ferropathes car l'intrigue tourne autour d'une magnifique locomotive à escarbilles. D'accord mais on peut avoir d'autres chats à fouetter quant à bouquiner. Qu'importe, un petit moment à sillonner le filon félin de Lilian Jackson Braun n'a jamais fait de mal à ronronne, euh, à personne.
Commenter  J’apprécie          20
Dans cet épisode, Qwill cherche à percer le mystère qui entoure la disparition d'un banquier fana de trains, il aurait détourner des fonds mais rien n'est clair et lorsqu'il se rend compte que Polly a embaucher le fils de ce fameux banquier pour construire sa future maison, le journaliste à la retraite tend l'oreille et surveille.
Encore un bon tome. Je ne me suis pas ennuyée une seconde, c'était un plaisir de retrouver l'un des personnages d'un tome précédent qui avait aidé Jim Qwilleran à résoudre une enquête jouer à nouveau les espions.
Commenter  J’apprécie          10
Roman agréable à lire, en dépit d'un début un peu lent. J'avoue que les soixante premières pages m'ont donné l'impression d'un aimable bavardage. L'intrigue ne démarre réellement qu'après et ça paraît un peu long. L'idée du chat qui donne des indices à son maître me semble un peu tirée par les cheveux, mais donne un fil conducteur à toute la série de romans "Le chat qui..."et puis, les deux chats espiègles donnent malgré tout un rythme à l'histoire et complètent agréablement le personnage original de Qwill. Au final, c'est un petit univers où je replongerais volontiers, à l'occasion, d'autant que j'adore les chats, en particulier les Siamois, que je trouve extraordinaires, et Koko et Yom Yom sont des Siamois...
Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (185) Voir plus



Quiz Voir plus

Il faut savoir miauler à temps !

Très rapidement, Jim Qwilleran se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique d'art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire les manchettes de journaux.

Le chat qui lisait à l'envers
Le chat qui flairait l'embrouille
Le chat qui avait un don

10 questions
24 lecteurs ont répondu
Thème : Lilian Jackson BraunCréer un quiz sur ce livre

{* *}