Ramsès, tome 1 : Le fils de la lumière

Si tu commets une faute, n'accuse personne d'autre que toi-même et rectifie-toi.

Alliés dans la conquête, ils le resteraient dans la victoire.

Méfie-toi de tes subordonnés et de tes proches, ne compte que sur toi-même. Le jour du malheur, personne ne t'aidera.

N'aie confiance en personne ; tu n'auras ni frère ni soeur. C'est celui à qui tu auras beaucoup donné qui te trahira, c'est le pauvre que tu as enrichi qui te frappera dans le dos, c'est celui à qui tu auras tendu la main qui formentera des troubles contre toi.

Elle était belle, rayonnante ; son regard avait la profondeur des eaux célestes.

Entre ton père et moi existent des liens invisibles ; même lorsque nous sommes éloignés l'un de l'autre, nous demeurons unis.

Seule la valeur des êtres m'intéresse ; et il n'existe pas de handicap qu'un être de valeur ne parvienne à surmonter.

Sois en quête de l'essentiel, et le secondaire sera harmonieux.

Tu as peur, et c'est bien ; seuls les vaniteux et les imbéciles ignorent la peur. De cette crainte doit naître une force capable de la vaincre.

Le goût du pouvoir ne transformait-il pas l'humain en bête féroce ?