Lorsque Alexandre Crusoé rencontre
Fanfan, il sent très vite que ce sera l'amour de sa vie, “celle qui saurait [l]'obliger à devenir [lui]-même.” Pour préserver la pureté et l'intensité de cet amour naissant, éviter qu'il ne flétrisse avec le temps, qu'il perde l'élan passionné des premiers jours, il décide de ne pas dévoiler ses sentiments, de rester pour toujours courtisant et séducteur, sans jamais franchir le pas.
Une idée poétique et intéressante avec un personnage fougueux en proie à ses élans et contradictions, mais un récit qui m'a semblé vite tourner en rond. J'ai fini par trouver Alexandre agaçant, ses réflexions redondantes. Finalement, je crois que j'aurais préféré passer plus de temps avec les personnages secondaires :
Fanfan, Monsieur Ti, Maude,... qui attiraient plus ma curiosité.