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Dans « on a supermarché sur la lune » c'est Rosa qui nous conte ses mésaventures d'adolescence, ses joies et ses peines mais aussi ses craintes, ses doutes et son impression d'être si différente, d'être en dehors du moule, de ne coller a aucun genre.

Je ne pensais vraiment pas que j'allais accrocher à ce roman. La présentation, comme un journal intime, est assez déroutante au début, mais les chapitres sont extrêmement courts, tels des moments de la vie couchés rapidement sur le papier. L'image est un peu brouillon, un peu bâclée mais je trouve qu'elle s'apprête très bien au cerveau d'une adolescente un peu perdue dans ses baskets.

La plupart des scènes présentées sont banales et décrivent ce que Rosa a pu vivre et ressentir. Certaines ont tout de même su me serrer la gorge, aussi bien par les propos que par certaines difficultés que Rosa peut rencontrer dans sa vie de tous les jours, dans son sentiment d'être seule et un peu abandonnée même si elle réussit à s'intégrer à un groupe d'amis.

En tout cas, c'était une bonne découverte sur un style à l'opposé de mes habitudes et j'ai été ravie d'accompagner Rosa durant ses quelques instants de vie.
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Merci aux Éditions @lajoiedelire pour cet envoi [SERVICE PRESSE]
L'histoire est présentée sous forme de journal intime, le Journal de Rosa. Une écriture drôle et parfois moins drôle, limite dramatique aux yeux des ados. Des sujets puissants et même tabous tels que les tentatives de suicide, l'amour, l'homosexualité, ... mais aussi beaucoup d'espoir, la possibilité de réaliser ses rêves, la force et la confiance en soi insoupçonnées. On est emporté par un rythme sans frein mais agréable. J'ai bien aimé cette lecture.
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J'ai été assez déçue par ce roman en vers libres, dont on m'avait dit énormément de bien.

J'ai trouvé le style assez décousu, et il y avait un manque flagrant de ponctuation (rendez-nous les virgules s'il vous plaît !).

Les personnages sont assez peu attachants, à l'exception du personnage principal, qui est assez sympa à suivre. Les personnages secondaires, quant à eux, sont légèrement insignifiants, à tel point que quand quelqu'un a été touché par un drame, j'ai dû relire le début du roman pour retrouver qui c'était.

Je pensais sortir de cette lecture bouleversée, mais j'ai surtout été déboussolée, et je ne sais pas quoi en penser. Je crois pouvoir assurer que ce n'est pas un roman dont je garderai un souvenir immuable !

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Septembre, octobre, novembre, décembre, janvier, février. Au hasard des moments volés au train-train de l'existence, Rosa écrit son journal. La collégienne extériorise en les écrivant les milliers de choses qui bouillonnent en elle.

Les entrées de son journal sont courtes (parfois très) et disparates : scènes du quotidien, poèmes, réflexions, ressentis bruts, coups de gueule, déclarations d'amour. Ces impressions qui fusent un peu dans tous les sens forment une sorte de kaléidoscope assez déstabilisant. Les personnages sont nombreux à graviter autour de la protagoniste. Leurs apparitions sont trop fugaces pour nous laisser le temps de nous attacher et leurs dialogues sont minimalistes, à la limite de la caricature. le fil conducteur ne se révèle qu'à petites touches : il faut s'accrocher, se laisser porter par le texte pour voir où il nous mène.

Mais il y a un rythme, un flow dans les mots de Rosa, une poétique de l'adolescence. Une fougue pour dire le mal-être et les révoltes, la famille qui devient trop étroite, les rêves, les fulgurances, l'intensité des émotions avec force points d'exclamation. Sous nos yeux, Rosa se cherche et se trouve. C'est chaotique, parfois douloureux, joli aussi. Et finalement, la forme éclatée de ce roman est à l'image de la manière dont on grandit.

Un roman pétri de fantaisie, de sensibilité et de poésie, en lice pour le Prix Vendredi.
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L'univers que l'on découvre dans ce roman est très proche du nôtre, mais c'est le regard qui y est posé qui donne tout le ton du roman et l'originalité de ce dernier. de ce fait, le personnage principal constitue vraiment la clef de voûte du roman, puisqu'elle est à la foi narratrice et actrice de sa propre histoire. Ainsi, les descriptions qu'elle nous livre ont propre à sa perception du monde, une perception adolescente, qui rappellera peut être ces années à certain.e.s d'entre vous.

L'histoire en soi n'a rien de véritablement trépidante puisqu'il ne s'agit « que » de la vie de cette adolescente fan de musique. Mais selon moi, il s'agit de bien plus une cela. Ce roman est pour moi une ode à la découverte de soi. Ainsi, au fil de son histoire, peut être pas aussi palpitante que les romans fantastique dont j'ai l'habitude de vous parler, on découvre en même temps que Rosa, qui elle est réellement. Cette découverte la mènera loin, dans l'espoir de retrouver son amour de jeunesse, quitte à organiser un voyage express avec sa mère, véritable point de frénésie de ce roman.

Les personnages correspondent vraiment au point d'orgue de ce roman. Bien que l'on suive principalement la psyché de l'héroïne, d'autres personnes nous sont présentées de façon complexe et naturelle. Une belle diversité est également proposée, si bien que chacun peut trouver son compte et s'identifier. Mais le plus interessant dans ce roman, ce sont les interactions entre les personnages, qui sont pour moi beaucoup plus importants et interessant puisque c'est ainsi que ‘on découvre toute la complexité de Rosa e même temps qu'elle.

Tout ceci est orchestré par la plume de l'auteur, qui fait vraiment le lien entre tous les éléments, et leur donne réellement envie. Les émotions sentiments et la psyché de Rosa prend vie à travers ses mots si bien choisi si poétique que cela touche le coeur du lecteur. de plus, l'auteur nous un des messages teintée de poésie, d'acceptation, et de beauté qui ne laisserai personne de marbre.

Un roman poétique, à lire sans conditions
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L'écriture de Sébastien Joanniez est toujours aussi subtile, habile et poétique. Il arrive à brosser le portrait de Rosa avec une infinie délicatesse et un humour bien calibré. C'est en effet une immersion dans son journal intime qui nous permet de mieux appréhender les émotions et les émois de cette jeune collégienne. Voici une lecture d'été prenante, au rythme enlevé, doublée d'une radiographie de l'adolescence qui sonne parfaitement juste. le visuel est intrigant et réussi ; le titre ne trouve son explication qu'au bout d'une centaine de pages. J'ai beaucoup aimé la temporalité, les dialogues et la fragmentation de l'écriture. Ce roman est à la fois original, touchant et pétri d'humanité. A lire, à conseiller, à partager sans hésiter. Une pépite à découvrir aux éditions La Joie de lire.
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Rosa est une adolescente qui se cherche. Elle jongle entre ses interrogations concernant sa famille, ses amis, son école.

Entre poésie et musique, elle évoque par bribes ses états âmes et les événements, graves et légers qui virevoltent autour d'elle. Brevet du Collège, fugue et suicide mais aussi amitié et constitution d'un groupe de musique.

Les sentiments et les sensations sont au coeur de ce récit très personnel. Les pensées s'agitent au gré des événements extérieurs.

Mon passage préféré est celui où Rosa, sa mère et sa soeur cherchent à se débarrasser de l'affreux morceau de biche donné par le voisin, qu'elles retrouveront un peu plus loin dans le récit. Il fait coexister drame et humour.

Et puis il y a les liens qui se tissent et se nouent, avec les amis et l'amour qui arrive. Et les rapports familiaux forcément agaçants, mais aussi importants.

C'est un peu compliqué pour le lecteur de se retrouver dans la tête d'une jeune fille de quinze ans. Il y a de la confusion et de la fraîcheur. Et beaucoup d'attentes.
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Il y a quelques semaines, j'ai reçu le roman “On a super-marché sur la lune” de Sébastien Joanniez, aux éditions La Joie de Lire. 😊 Ce journal intime d'adolescente nous présente une tranche de vie qui mêle souvenirs heureux et malheureux, les amis, la musique et les premiers émois.

Je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre quand j'ai ouvert ce roman pour la première fois, mais je dois avouer que je n'ai pas été déçue. 👍 L'auteur nous présente ici un roman court et efficace, avec le personnage de Rosa que l'on prend plaisir à suivre. Les chapitres s'enchaînent avec fluidité, on ne s'ennuie pas dans la lecture. 😃 Pour moi, c'est une belle réussite.

Le vrai point fort de ce roman réside dans la plume de l'auteur. J'ai réellement été séduite par la poésie qui émane de ces lignes. ❤️ Les jeux de mots s'enchaînent avec les métaphores, le tout à travers les yeux d'une adolescente, c'est un véritable plaisir pour les yeux et pour l'imagination.

On a super-marché sur la lune” est un roman que je peux vous recommander pour l'été. Il se lit très vite et, sans être un roman d'aventure au suspense fulgurant, reste un ouvrage particulièrement bien écrit qui vous permettra de passer un très bon moment de lecture ! 👍😃
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[SERVICE PRESSE]



On a supermarché sur la lune de Sébastien Joanniez

Je remercie chaleureusement @lajoiedelire pour ce service presse surprise !


Mon résumé :

Rosa est en troisième. A la rentrée de Septembre, elle décide de tenir un journal intime. Elle y parle de sa famille, de ses envies, de ses doutes.


Rosa est une adolescente qui entre en troisième. Elle vit avec ses parents, son frère et sa soeur. Au collège, elle traine avec Mano, Lucie et Lila. Pour cette nouvelle année scolaire, Rosa décide de tenir un journal intime.


Mon ressenti final :

Je dois avouer que lorsque j'ai reçu ce service presse surprise, j'ai eu un peu peur. du young adult mélé a du potentiel FF, aïe, tout ce que je ‘'deteste''. J'ai débuté ma lecture cet après-midi, et je viens de la finir !


Rosa est une ado lambda. Elle évolue au sein d'une famille nucléaire, c'est à dire composée de son père, de sa mère, de son frère et de sa soeur. Comme dans toutes les familles, il y a quelques tensions mais on y découvrira beaucoup d'amour, d'entraide et d'humour. J'ai beaucoup aimé le papa, surtout durant l'épisode du mariage de la tante, il m'a souvent fait sourire. La maman aussi, sait faire preuve de chaleur lorsqu'elle voit sa fille désemparée.

Puisqu'il s'agit là des écrits d'un journal intime, c'est Rosa qui est mise en avant. On y découvre une gamine pétillante, drôle et très lucide sur le monde. Elle m'aura bien fait rire, j'ai aimé son côté rêveur et je l'ai trouvé très courageuse d'oser avouer son amour à Lila. L'adolescence est une période de transition très délicate, à bien des égards, et je me suis étonnamment souvent retrouvée dans les pensées de Rosa.

J'ai dévoré ce livre en une après midi. L'auteur y dépeint parfaitement les angoisses, les comportements et les rêves des ados, et on est happé dans ce tourbillons de sentiments mélangés. L'écriture est tantôt drôle, tantôt dramatique quoique relative, car on sait tous que la moindre contrariété banale peut être ressentie comme le pire drame de sa vie d'adolescente. Il y'a des sujets forts, comme l'amour et la tentative de suicide, mais on y trouve aussi la force de réaliser ses rêves et de monter son groupe de rock. J'ai noté une absence importante de ponctualité qui donne au récit un rythme effréné qui n'est pas désagréable. Rosa nous compte son année scolaire dans les moindres détails, ses amitiés, ses amours, ses redacs sur Boris Vian et durant un court instant, j'étais de retour dans mon collège. Une bouffée de nostalgie m'a tenue compagnie durant ma lecture.


Si tu veux jouer de la batterie dans le groupe de rock de Rosa, c'est ici : https://amzn.to/3PzvJFm
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Sans être d'une remarquable originalité, On a super-marché sur la Lune est un roman format journal intime parfaitement adapté à un public de grands ados.

Il est facile à lire, s'inscrit dans des questions sociétales contemporaines qui interpellent - le rapport à l'identité et au genre, les questionnements amoureux, les réflexions et actions quant à l'état de la Terre... - et dans le quotidien "banal" de Rosa, dans celui de son entourage familial, amical, scolaire, et amoureux, qu'elle nous décrit dans le même temps qu'elle se raconte à travers la centaine de pages qui déroule une partie de son année de 3è. de fait, les questionnements, réflexions, sentiments de Rosa sont ceux de nombre d'adolescents de son âge, ce qui a de grandes chances d'intéresser aussi.

Qui plus est, le roman n'est pas du tout dénué de recherche stylistique et poétique, Rosa étant elle-même férue d'écriture, les poèmes comme les chansons parsemant logiquement son journal intime ; et les références à divers artistes fusent également tout au long des pages.

Je remercie les éditions La Joie de Lire de m'avoir permis de découvrir ce roman, que j'ai moi-même apprécié lire, et qui va investir ma salle de classe à la rentrée prochaine : m'est avis qu'il va intéresser certains de mes lecteurs de 3è, peut-être même de 4ème.
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