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3,68

sur 737 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Un roman en deux temps et deux parties.

Jour 1 : c'est un peu long et lent, les personnages se présentent et se mettent en place, mais un peu trop lentement à mon goût.

Cependant, jour 2 le clap d'action résonne et tout le monde s'anime, s'active et l'histoire se dénoue au fur et à mesure avec des rebondissements à la chaîne qui laissent sans voix et font qu'on ne lâche plus le livre jusqu'à la dernière page.

Bien sûr, il n'y a pas réellement de clap dans l'histoire mais c'est l'effet que m'a produit se roman, comme une pièce de théâtre en deux actes où d'abord on rencontre les acteurs et ensuite ils jouent.

J'ai bien aimé ce tome-ci, autant que le premier même si le frisson de la découverte n'y était plus.

Ce que j'apprécie le plus avec les histoires de R.Jonasson, c'est que personne n'est vraiment innocent, aucun des protagonistes n'est tout blanc ou tout noir : ils sont tous un peu gris, ils ont tous et toutes leurs démons, leur problèmes, leur part d'ombre et de lumière.

C'est avec plaisir que je lirai les autre romans si l'occasion se présente.

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Dans "Nátt", le deuxième tome signé Ragnar Jónasson, l'auteur nous entraîne plus profondément dans les mystères enveloppant Siglufjördur et ses environs tout en s'aventurant dans des thèmes plus sombres et complexes tels que la traite humaine, le suicide et le viol. Cette ambition narrative est à saluer, bien que l'entrelacement de ces sujets avec l'intrigue principale aurait bénéficié d'une approche plus nuancée pour en maximiser l'impact et la résonance.

Le roman voit le retour d'Ari Thór, dont les fans apprécieront la présence, bien que son rôle semble être un peu éclipsé par l'introduction de nouveaux personnages et l'expansion des intrigues. Cette multiplication des perspectives et des sous-intrigues, bien qu'elle apporte une richesse à l'univers de Jónasson, peut aussi rendre le suivi de l'histoire principal plus exigeant pour le lecteur. La diversité narrative, tout en étant un atout, requiert une attention soutenue pour démêler les fils entrecroisés de l'intrigue. 🕵

Isrún, introduite comme un personnage central de cette toile élargie, se distingue nettement. Sa quête obstinée de la vérité et son intégrité journalistique offrent une dynamique fascinante, rendant son parcours à la fois captivant et émotionnellement riche. Sa présence dans le récit ne fait pas que compenser la place moins centrale d'Ari Thór mais ajoute également une profondeur thématique et humaine appréciable. 👩

La représentation de l'Islande, avec ses descriptions évocatrices des paysages et du climat estival, continue de séduire et d'immerger le lecteur dans une expérience sensorielle unique. le cadre, presque un personnage à part entière, enveloppe l'histoire d'une atmosphère à la fois mystérieuse et captivante, renforçant l'immersion dans le récit. ☀🏞

En somme, "Nátt" de Ragnar Jónasson est une oeuvre ambitieuse qui, tout en présentant certains défis en termes de gestion des multiples intrigues et de l'équilibre entre les personnages, notamment Ari Thór, offre une exploration riche et nuancée de thèmes sombres. Les points forts du roman, tels que le personnage d'Isrún et les descriptions magistrales de l'Islande, contribuent notablement à son attrait. Malgré la complexité de ses nombreuses ramifications, "Nátt" reste une lecture engageante, témoignant de la capacité de Jónasson à tisser des récits denses et captivants.
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Nátt est mon premier roman policier Islandais.
Je n'ai donc pas de comparaison et c'est peut-être pas si mal.

C'est le tome 3 de cette série mais comme l'éditeur mentionnait que les tomes pouvaient se lire indépendamment je me suis lancé.
Je pense avoir des trou dans la vie de Ari Thor mais rien qui empêche de livre ce livre.

Dans les premières pages nous avons bien un meutre et cela annonce une enquête passionnante, bon c'est pas tout à fait ça.
Dans les premières chapitres, il y a beaucoup de personnes qui arrivent est beaucoup de descriptions qui au final n'apporte rien à l'enquête.

Il faut attendre la moitié du livre pour qu'il y ait un retournement de situation.
C'est à ce moment que pour moi l'histoire a vraiment pris de l'intérêt et j'aime adoré.
J'ai donc lu les 150 dernières pages beaucoup plus rapidement que les 150 premières.

Je lirai sûrement les autres tomes.



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C'est dommage parce que j'ai eu besoin de 230 pages presque pour bien rentrer dans l'histoire. Alors est-ce que c'est pcq j'ai pas eu du temps pour le lire plus rapidement ? Possible. Parce que je sais que c'est un des effets que ça peut me faire puisque du coup je profites pas à fond de l'histoire.

J'ai été très contente de retrouver Ari Thor parce que c'est quand même un personnage qui me plaît.
L'histoire et l'enquête sont intéressantes surtout quand les tenants et les aboutissants se dévoilent.
Bon après on est sur un thriller nordique donc on sait que ça peut mettre du temps à bouger. J'aime ça d'habitude mais là ça m'a un peu déranger.
Je continuerai quand même bien évidemment la saga!
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Que j'apprécie les polars islandais.
Le rythme est parfois lent et contemplatif, mais chaque roman est riche de détails sur le pays, l'enquête, les personnages.
Cette enquête ne déroge pas à la règle et j'ai aimé suivre les différentes visions et ce revirement de situation.
Finalement tout n'est pas si simple et les thèmes sont encore plus profonds qu'on ne le pense au départ.
Ici c'est le tome 2 des enquêtes d'Ari Thòr qui en compte 6, alors je vous donne rdv pour les prochains volets.
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C'est l'été à Siglufjördur. Une saison qu'Ari Thór attendait impatiemment. Enfin, il fait jour et le soleil ne se couche jamais. Mais Ari Thór se sent seul, il n'a pas pu renouer avec Kristin surtout après lui avoir avoué la brève relation qu'il a eu avec Ugla (voir le tome 1). Ce qu'il ne sait pas, c'est si elle l'aime encore car elle ne répond à aucun de ses messages. Elle a quitté Reykjavik pour travailler désormais à l'hôpital de Akureyri où elle avait demandé un poste avant leur séparation. Elle est maintenant très isolée elle-aussi.
Tomas le supérieur d'Ari Thór souffre aussi de solitude : sa femme est partie dans le sud du pays et seul son plus jeune fils vient de temps en temps le voir pour le week-end.
Hlunur, leur collègue de travail, ne va pas très bien non plus. Il reçoit des emails inquiétants d'une mystérieuse personne. Depuis qu'adolescent, il a harcelé sans relâche ses camarades de classe, il a eu beau chercher à s'excuser auprès de chacun, des souvenirs remontent à la surface et se mettent à le hanter car l'un de ses anciens camarades s'est suicidé. Qui peut donc le harceler à son tour ? Est-ce quelqu'un qui veut se venger ?
Mais voilà que nos trois policiers, malgré leurs soucis personnels doivent se montrer à la hauteur parce qu'encore une fois dans la petite ville tranquille de Siglufjördur, un homme est découvert battu à mort près d'une maison en chantier.
Elias, la victime travaillait à la construction du tunnel censé désenclaver la ville, mais il faisait également partie d'une association créée pour aider les familles et les personnes touchées par la crise économique. Un homme bien sous tout rapport donc.
Que cachait-il à ses collègues de travail ?
Quel est le rapport entre lui et la ferme de Siglufjördur où il passait ses vacances en été avec d'autres jeunes enfants de son âge ?
Bien entendu, toutes ses connaissances vont être interrogées les unes après les autres, mais l'enquête piétine et de nombreux secrets ont du mal à être dévoilés, tant d'années après.

Mon avis
L'histoire se passe au moment de l'éruption du volcan Eyjafjöll entrainant une pollution étouffante de l'air surtout dans les villes du sud.
Ari Thór est méfiant et il ne lâche jamais rien. Il ne se fie donc jamais aux apparences. Pourtant au départ, il pense qu'Elias n'était pas la cible et qu'il s'est retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment. Mais bien entendu, lui-aussi avait ses secrets.
Ari Thór et son supérieur forment un superbe duo de choc pour mener cette enquête, mais ils vont être perturbés par la présence d'une jeune journaliste, Isrún, qui espère faire un scoop, ou découvrir autre chose peut-être, et qui a fui la ville devenue irrespirable.
En parallèle de l'enquête, le lecteur suit une voix off. Peu à peu, il comprend que la personne qui parle, souffre d'une maladie génétique, la même qui a tué sa grand-mère, mais aussi qu'elle doit faire ses preuves dans le cadre de son travail, et bien entendu je ne vous dévoilerai rien de son identité.
L'enquête nous emmènera dans le passé, il sera question de maltraitance d'enfants, de trafic d'êtres humains, et d'argent sale à blanchir.
Bien entendu, l'ambiance nordique est bien là malgré l'été et le soleil. Mais les cendres qui tombent du ciel noircissent l'atmosphère au point de la rendre parfois oppressante même pour le lecteur.
C'est un polar plaisant et facile à lire, au rythme soutenu, et au suspense bien présent jusqu'au bout.
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Natt, Myrknoetti dans la version originale parue en 2011, traduit à partir de la version anglaise par Philippe Reilly, a été publié par les éditions De La Martinière en 2018. le style est fluide et neutre, l'auteur se contentant d'énumérer les faits simplement, sans effet de style particulier : "Tomas, l'inspecteur de police de Siglufjordur, l'avait appelé ce matin, lui demandant de venir au commissariat plus tôt que prévu. Il se mit en route dès neuf heures, alors qu'il n'était censé prendre son poste qu'à midi. Tomas n'avait pas été bavard mais Ari Thor avait perçu de l'inquiétude dans sa voix." (Page 26).

Construction : le roman se découpe en trois parties : le jour 1 constitue la première partie ; ensuite s'intercale un interlude de quelques pages évoquant les faits et gestes d'une des victimes ; puis le jour 2 vient clôturer le récit. Certains chapitres en italique racontent une histoire survenue un an plus tôt.

Thèmes : violence gratuite ; rédemption-pardon ; krach financier de 2008 et ses répercussions.

Fil rouge: la pollution atmosphérique due à l'éruption du volcan Eyjafjafjoll: "La zone portuaire était calme, seuls quelques touristes bravaient les cendres en attendant le bateau qui devait les emmener observer des baleines ou des macareux...Le café dégageait une atmosphère accueillante et cosy avec sa musique apaisante en fond sonore, ses aménagements en bois rustiques e confortables et l'odeur voluptueuse du café chaud. La porte et les fenêtres restaient fermés pour empêcher l'air âcre d'entrer, mais la puanteur métallique des cendres parvenait tout de même à s'insinuer dans la salle." (Page 84) ..."Dans le ciel inhabituellement sombre malgré l'absence de nuages, l'épaisse brume minérale dissimulait le soleil. Isrun sentait le goût des cendres sur sa langue à chaque respiration, comme si elle avalait des bouchées de sable." (Page 87).

Presque deux ans après les événements survenus dans Snjor. Evan Fein, jeune Américain en villégiature, à la recherche de la source de Grettir, non loin de la ville de Saudarkrokur, s'arrête près d'une maison en construction afin de demander son chemin. A sa grande surprise, il découvre tout près de la maison le cadavre d'un homme allongé par terre, le visage en bouillie. A côté, un morceau de bois taché de sang.

La victime étant domiciliée à Siglu, l'enquête est menée conjointement par la police criminelle d'Akureyri assistée par les policiers de Saudarkrokur et par ceux de Siglufjordur.

Hlynur, le collègue d'Ari Thor, hanté par son passé de tyran de cour de récréation, ravivé depuis un an par des e-mails mystérieux, sombre dans la dépression. Pourtant, à son entrée à la fac, conscient que son comportement était inacceptable, il s'était libéré de sa colère et avait tenté de réparer.

Isrun, journaliste free-lance, convainc son rédac chef de l'envoyer enquêter à Skagafjordur sans préciser pour quelle raison elle tient absolument à mener cette enquête : "Elle était parvenue d'être arrivée à ses fins. Bientôt, elle serait en route vers le nord. Elle avait poussé le bouchon un peu loin en inventant cette histoire de trafic de drogue, mais c'était un tout petit mensonge et il fallait absolument qu'elle travaille sur cette enquête." (Page 65). Suit-elle les traces de sa grand-mère, trop tôt disparue, qu'elle n'a pas connue mais dont elle veut reconstituer l'histoire ? A moins qu'elle ne soit motivée par tout autre chose ?

Quel lien peut-il exister entre ces différents personnages ? Quels secrets qu'ils croyaient profondément enfouis vont remonter à la surface, perçant le nuage de cendres qui peu à peu recouvre toute l'île ? Une enquête complexe pour Ari Thor qui devra empêcher que d'autres meurtres ne viennent entacher le fjord pendant la période estivale tant attendue.

L'histoire racontée par Ragnar Jonasson se situe juste après les éruptions de l'Eyjafjoll du 20 mars et du 13 avril 2010 qui ont perturbé le trafic aérien international, contraignant de nombreux pays d'Europe à fermer leur espace aérien pendant plusieurs jours. Situer une enquête policière fictive dans un contexte social aussi particulier, couplé à une économie au ralenti et les nombreuses coupes budgétaires survenues dans les services publics consécutives au krach financier de 2008, donne au roman des allures de document historique.

Le +: Ragnar Jonasson cultive une manière bien à lui de distiller au compte-goutte des bribes d'informations qu'il appartient au lecteur de réunir pour former un tout cohérent, trouver les interactions qui les unissent et reconstituer l'image complété du puzzle proposé par Natt. L'auteur manie l'art du suspense en croisant les fils d'intrigues qui semblent sans rapport apparent avec l'affaire en cours : la quête de la journaliste Isrun; le chapitre 10 qui évoque la mort d'une personne sans donner plus de détails...

Un roman au rythme certes un peu lent mais tout aussi intéressant et captivant que la première enquête d'Ari Thor. Nous y découvrons l'Islande sous un jour différent, débarrassée de sa gangue de neige, noyée sous la lumière du soleil d'été, changeant radicalement les conditions de travail pour les enquêteurs. Dépaysement total garanti...
Lien : https://legereimaginarepereg..
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Comme d'habitude, l'écriture est fluide, les pages se tournent toutes seules. L'ambiance reste oppressante, même dans ce tome qui se déroule en été, donc avec du soleil H24.
La seule déception de ce tome, j'ai trouvé qu'il tournait trop autour des personnages secondaires? J'aime beaucoup Ari Thor et j'étais un peu déçue de ne pas voir se développer sa vie privée.
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Un 2ème tome que je peux qualifier de plus intriguant, il est moins linéaire que le premier.
Lire Ragnar Jonasson c'est un peu comme faire un puzzle, on commence par les bords, c'est facile, sans surprise et plus on entame l'intérieur. On pense que les pièces vont s'imbriquer facilement... mais non!
Des nouveaux personnages ont fait leur apparition et apporte un mystère, comme celui d'Isrún.
Par contre le personnage d'Ari Thor est passé d'assez fade et transparent à énervant. C'est le genre de personnage principal auquel il est difficile de s'attacher.
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Retour à Siglo' dans ce 2ème tome des aventures de Ari Thor!
Cette fois après la découverte de cette ville dans laquelle "il ne se passe jamais rien", son hiver insupportable et la plongée dans le milieu du théâtre sous fond d'une rupture amoureuse du principal personnage, nous prenons un virage à 90°.

Dans Natt, Ari Thor à maintenant pris ses aises à Siglufjordur, l'hiver à fait place à l'été, le couple d'Ari Thor n'est qu'un souvenir et les mondes que nous infiltrons sont cette fois ceux du journalisme et de la construction.
Notons d'ailleurs qu'Ari Thor à un rôle quasi secondaire dans l'enquête, davantage menée par une journaliste.

J'ai aimé Nàtt mais d'une manière qui m'a beaucoup surpris, très éloignée de ce qui m'avait fait apprécier Ragnar Jonasson.

La première sensation que j'ai ressenti est qu'on à ici à faire plutôt a un Thriller qu'à un Polar. L'idée n'est pas réellement de "chercher le coupable" mais plutôt de se laisser guider dans une enquête aux nombreuses révélations insoupçonnables.
C'est plaisant, très plaisant même. Je l'ai lu d'une traite et j'ai d'autant plus envie de continuer d'explorer la bibliographie de Jonasson, ainsi que de mettre une bonne notation à Natt qui correspond au plaisir que j'ai eu à la lecture.

Néanmoins je me sens obligé de préciser quelques détails qui, à mon gout, dénotent avec les 3 autres romans de l'auteur que j'ai eu la chance de lire :

- Pour la première fois, la localisation ne joue pas un rôle très important. le charme du huis clos villageois (voire pire dans La dernière tempête) est délaissé au profit d'une action plus élargie dans la région, d'Akureyri à Saudarkrokur, ainsi que de nombreux aller retour à Reykjavik, et même jusqu'en Asie.
La météo est également -beaucoup- moins prenante. L'éruption volcanique mise en avant en 4ème de couverture et les poussières associées, qui ont donné le titre au roman sont pour être tout a fait honnête, anecdotiques. Aucune comparaison possible avec les descriptions hivernales si puissantes qu'on a pu connaître.

- La seconde surprise est que la phrase si chère à Ragnar Jonasson "une petite ville ou il ne se passe jamais rien" est également mise à l'épreuve tant il se passe de choses. Trop de choses peut-être. Si on compte bien on doit avoir au moins 7 ou 8 arcs scénaristiques qui se mêlent autour d'une bonne douzaine de personnages.
Le tout en seulement 300 pages. D'un coté c'est très efficace car on part dans tous les sens, mais ici aussi je peux pas m'empêcher de penser que certains de ces thèmes auraient mérité plus de profondeur, tout comme de repérer un petit déséquilibre au niveau des personnages. On s'attache et on rencontre très peu ceux qui vont jouer les rôles les plus clés du dénouement.

Dénouement qui d'ailleurs, joue l'équilibriste en marchant sur un fil tendu entre le feu d'artifice final spectaculaire et le grand n'importe quoi un peu facile.
Je fais partie des gens qui verront plutôt la première option, mais j'avoue que je n'entrerais pas dans un débat effréné si je rencontre une personne ayant été déçue par Nàtt.

14/20 pour moi.
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