La métamorphose

Ecriture onirique ?
Ecriture dans le style de la métaphore ?
Non, écriture tout simplement dans le fantastique, dans le noir .. le style Kafka quoi !

Serais-ce un cauchemar que l'auteur ai pu faire lors d'une nuit mouvementée ?
Serais-ce simplement un délir complet de l'auteur lors d'une dépression nerveuse ?

En tout cas, nous sommes ici avec Grégor, petit représentant de commerce, vivant avec ses parents et sa soeur, et, subvenant à leurs besoins.
Un jour Grégor se réveille et se retrouve transformé en cafard.
De suite, l'auteur nous plonge dans un sacré malaise.

Plusieurs sens à cette histoire : L'égoïsme et la différence par rapport à son entourage.
Se poser la question pourquoi la Métamorphose est arrivé à Grégor n'est pas le sujet et il faut passer outre pour comprendre où voulait en venir l'auteur.
Les points les plus importants de cette histoire est le regard de ses proches l'évolution et le changement alors qu'ils ne jugeaient que par Grégor qui les faisaient vivre confortablement.

Pour comprendre et apprécier ce texte, il faut comprendre Kafka et ses métaphores.

Histoire psychologiquement psychologue à lire surtout quand on est de bonne humeur pour ne pas tomber dans la dépression.

C'est l'histoire d'un homme rejeter parce qu'un matin, il se réveille différent.
IL est devenu mi-homme, mi-cafard.
Il perd son travail, tandis que sa famille essaye tant bien que mal de le soutenir...
Une histoire dont l'écriture d'un autre temps m'a semblé parfois difficile…
Une fin inopinée ou somme toute évidente, à vous de voir…

Bonne lecture.
Lien : https://angelscath.blogspot...

Gregor – un jeune représentant de commerce itinérant – se réveille doté d'une carapace et de petites pattes ridicules. Sa vie humaine s'est achevée il est simplement un parasite pour la société.
Il sera délaissé par les siens, Abandonné de tous Gregor perd peu à peu toute volonté de vivre.

absurdité de la vie, fatalité, routine destructrice. Trois thèmes caractéristiques de la littérature kafkaïenne.

J'ai lu et relu ce petit roman !!!

classique ...
Typiquement le livre que j'adore mais où ma culture s'arrête ! je m'explique : l'auteur au travers de cette histoire utilise des métaphores, des symboles. Chaque symbole représente quelque chose ... j'en ai compris pas mal, malgré tout ^^ La carapace, le mal être, la pression du travail, la pression de la famille etc ... mais je suis suuuur que je suis passée à côté de bcp d'autres ! exemple : la pomme lancée par le père et qui laissera une marque à vie ! ça veut dire quelque chose mais je ne sais pas quoi ... dois je remonter au symbole du fruit défendu ?? enfin voilà, il y a des livres comme ça que perso je classe dans une catégorie "absurde" que je suis incapable de comprendre vraiment !
J'aime beaucoup mais je me sens un peu dépassée … C'est trop "kafkaïen" pour moi tout comprendre :D :D

Hier, j'ai lu mon premier Franz Kafka. Un petit moment que je voulais découvrir son univers assez déroutant, paraît-il, et maintenant, c'est chose faite ! Avec la métamorphose, j'ai trouvé l'ensemble d'une étrangeté perturbante et oppressante, mais qui détient un message intelligent : L'ennemi est souvent dans sa propre famille.
Seulement, voilà, je me suis sincèrement ennuyée, malgré un bon départ et une fin au goût amer. Trop mou, trop confus, j'avais juste envie de passer à autre chose. Et même si je reconnais la qualité de la plume, je pense m'arrêter là !!

Lecture surprenante que ce petit récit fantasmagorique écrit il y a un siècle !
J'ai aimé ! On compati au sort de Grégor mais en même temps on comprend le désarroi de la famille et les contrariétés qu'apporte cette situation si peu commune. Un livre qui traite du rejet de l'autre d'une façon originale !

L'intrigue de cette nouvelle fantastique est on ne peu plus simple. Un matin, Gregor se réveille métamorphosé en un monstrueux insecte. Suscitant le dégoût, l'horreur, il est rejeté par sa famille et ses employeurs qui le trouvent répugnant d'autant que sa présence les gêne dans leurs activités quotidiennes. Gregor, pourtant malgré sa métamorphose est resté humain. La métamorphose est donc celle en premier lieu de Gregor (métamorphose physique) mais aussi celle de ses proches qui changent brutalement d'attitude à son égard. Qui sont les plus humains ?
Thèmes de l'apparence, de la notion d'humanité, de la solitude, de l'incommunicabilité entre les êtres, de la maladie, dépendance.

Un livre dont j'avais souvent entendu parler. Un classique mais au sujet étrange : un homme se réveille un matin transformé en cafard. Quelle horreur ! Déjà parce que rien ne me rebute plus que cette bête immonde et ensuite comme sujet pour passer une bonne journée il y a mieux. Je me suis décidée à le lire aujourd'hui pour ne pas risquer de passer à coté de quelque chose. Bon ce n'est pas vraiment ma tasse de thé comme livre mais j'avoue que c'est dérangeant. Cet homme transformé en cafard est moins immonde que sa famille qui, elle , est restée "humaine". Les parents de cet homme sont des parasites qui ont bien profité de lui avant sa transformation, l'empêchant de vivre. Cet homme s'est littéralement abruti de travail pour aider sa famille avant de se rendre compte après sa transformation que sa famille aurait pu agir autrement. Ils vont finir par le détruire en se convaincant que cette bête n'est plus un membre de leur famille. Ah les gens bien pensant ! La morale est toujours de leur côté ! Bref l'horreur n'est pas du côté que l'on croit !

C'est un classique de la littérature dont j'ai souvent entendu parler.. il fallait donc que je le lise...
La lecture est courte et assez rapide.
La lecture est assez particulière, plongée dans l'imaginaire. Un genre qui n'est pas trop ma tasse de thé, et ... je n'ai pas vraiment accroché...

Kafka publie la métamorphose en 1915, soit 4 ans seulement avant la naissance "officielle" du mouvement surréaliste. Celle-ci pouvant être attribuée à la première parution de la revue Littérature avec le texte Champs Magnétiques de Breton et Soupault.

Si le symbolisme créait des correspondances entre l'état émotionnel de la personne et son entourage, le surréalisme en fait l'économie.

Baudelaire faisait le parallèle entre le poète et l'albatros, Kafka transforme le malade en cafard.

Une lecture de la nouvelle devient alors transparente et poignante. Ce malade se sent cafard, objet d'amour, de répulsion, de honte et finalement de lassitude de la part de son entourage tout au long de sa lente agonie.

A recommander tant comme précurseur du surréalisme que comme un ouvrage court et abordable de l'univers de Kafka.