Les revenants

Grosse déception pour Les revenants, ce "Campus horror show" dont les critiques ont parlé comme du meilleur des 8 livres de Laura Kasischke.
Eh bien pour moi, c'est le pire de ses livres, l'avant-pire étant "La couronne verte", quant aux 6 autres : je les ai adorés !

Le mot-clé des "Revenants": malveillance. Avec forte dose de macabre (des cours de thanatologie, des rites funestes, des morts...), hypocrisie, et "sororité" (les fraternités d'étudiantes en université).
- Tout d'abord, les 350 premières pages (env.) m'ont... gonflée. Des détails, des descriptions à n'en plus finir, les alternances de chapitres "retour sur le passé/présent", la pléthore de personnages (avec leur cohorte de détails...).
- Enfin, à partir de la 400e page (env.), le roman commence à bouger, l'intrigue à suspense se dessine...
- Mais, à peine commencé-je à m'intéresser au roman, qu'invraisemblances ou exagérations dans l'histoire ont eu tôt fait d'anesthésier mon intérêt.

- La fin = NAVRANTE. Il n'y a tout simplement pas de fin. Ou pas à ma faim. On a évoqué David Lynch et l'atmosphère de son Mullholland Drive : comme je n'ai pas saisi l'essence ou l'âme, encore moins le sens de ce film certes très esthétique... je m'incline.
Laura Kasischke termine son livre sur une vision finalement très noire de la société américaine, du milieu universitaire et des puissances qui gouvernent (sournoisement) ce milieu. J'ai l'impression que cette fin est encore plus amère que dans ses précédents romans.
Et j'ai remarqué que quasiment tous les personnages des "Revenants" finissent seuls, couples brisés, décès...

Je ne recommande pas du tout la lecture de ce pavé soporifique et désincarné, lisez plutôt les 6 autres romans de cet auteur pourtant doué ! : Rêves de garçons, A suspicious river, Un oiseau blanc dans le blizzard, A moi pour toujours, La vie devant ses yeux...
Lien : http://coquelicoquillages.bl..

Nicole et Craig ont un accident de voiture, Nicole meurt ,Craig est accusé mais Shelly qui a assisté à celui ci n'est pas d'accord avec la version officielle...et sur le campus ou Nicole était plusieurs personnes croient voir Nicole serait elle revenue d'entre les morts ?

Avec un tel résumé et des éloges sur les sites , j'ai acheté celui ci, m'attendant à un livre sur les fantômes .

Chaque fin et début de partie est intéressante , le reste est long ...très loin de ce que je m'imaginais ...on passe d'un style à un autre, le livre fait du coup un peu brouillon...

Finalement le livre tourne surtout autour de complots et de sociétés secrètes donc fait pour les amateurs du genre.

Pffff, une catastrophe... Par où commencer la dégringolade des critiques négatives?
Un prix des lecteurs 2013 ? Les lecteurs ont-ils lu jusqu'au bout ?
Les constants retours en arrière à la façon "flash back" cinématographique ont eu raison plusieurs fois de ma patience.
Les tournures de phrase se voulant être poétiques (et il parait que l'auteure est poète !) n'étaient que métaphores bon marché, digne de poésie d'adolescents pré-pubères; s'en devenait risible...
Le fait que le récit se tienne dans une université américaine nous donne franchement l'impression d'être en plein milieu d'une série bon marché pour jeune public, d'autant plus qu'on évolue en plein univers manichéen du type "filles adolescentes = calculatrices méchantes vs garçons adolescents = gentils manipulés".
Une fin en "pétard mouillé".
Et je pourrai encore allonger la liste.
Et la cerise sur le gâteau: un journaliste bien pensant dont la critique est reproduite en quatrième de couverture nous annonce que la romancière dénonce l'hypocrisie de la société américaine. Personnellement je ne connais pas de société qui ne soit pas un minimum hypocrite et, pardonnez moi, je me fous des travers de la société américaine. Enfin, très sincèrement, la dénonciation est à mourir de rire... ou de pleur.
Heureusement qu'on m'a donné ce navet, j'hésite même à en faire cadeau à la bibliothèque...

Roman qui avait du potentiel mais la traduction de celui-ci a gâché mon plaisir. En effet, on sent une traduction à la Google car à la relecture, on peut déceler des incohérences comme un regard vacant, des excuses profuses, l'inversion des termes. Aussi, le texte devient incompréhensible alors que le résumé était alléchant.
En plus, ce livre a eu de bonnes critiques. Je suis étonnée que personne n'ait remarqué le problème

Très curieuse et impatiente de connaître enfin l'univers de Laura K., je n'ai pas été emportée par la même vague d'enthousiasme que j'ai pu constater chez de nombreux lecteurs. L'intrigue, a priori passionnante, m'a finalement "débarquée", j'ai trouvé les scènes et les personnages inachevés, l'auteur ne va pas au bout des situations, au bout des phrases, au bout des gestes : un parti pris ? Sûrement, mais on s'en lasse. Certaines scènes "tombent à plat", d'autres "tournent en rond", je suis vraiment restée ... "sur ma faim" ! J'aurais aimé en savoir plus sur Nicole mais celle-ci reste une énigme. Est-elle réellement "malfaisante", comme le suppose Perry, ou est-elle, tout simplement, amoureuse de lui ? D'autre part l'histoire se perd dans des digressions inutiles autour de personnages secondaires sans grand intérêt. Mais j'ai bien aimé la "toile de fonds" plantée par Laura K. propice à créer une atmosphère oppressante, un climat : cette université si américaine avec ses sororités qui n'existent pas en France et qui nous semblent si exotiques, les rituels, les profs un peu "spéciaux". Or, cela ne suffit pas, tout y est, mais pas assez ... Ah oui j'oubliais, un mot pour le traducteur : le terme "présentement" n'est plus utilisé dans la langue française, ou s'il l'est il produit un effet suranné, voire comique, ici en complet décalage ! En conclusion je dirais que cette histoire me laisse le goût amer du livre "qui aurait pu" mais "qui n'a pas su", mais je tenterai néanmoins une autre incursion dans l'univers de cet auteur.

Après avoir lu toutes les bonnes critiques concernant ce livre je me suis dit que je n'avais rien à perdre, que ce livre est une valeur sûre. Et bien je me suis plantée en beauté. J'ai arrêté la lecture à la moitié, et je dois dire que j'ai lutté pour en arriver là. Je n'ai pas du tout aimé la manière dont l'auteure a structuré l'histoire. Il y a beaucoup trop de longueurs, de flash-back. Il faut quand même avouer que c'est bien écrit, même si contrairement à ce que j'ai pu lire je n'y vois aucune poésie.

Après avoir vu à plusieurs reprises sur certaines critiques que la fin du livre n'avait rien de palpitant, je ne vois donc pas l'intérêt de continuer cette lecture.

La prochaine fois je prendrais en compte aussi bien les avis positifs que négatifs, avant de choisir un livre, histoire de ne pas perdre du temps.

Je n'ai rien apprécié de ce livre , ni l'histoire, ni le style boursouflé à mon sens , ni l'ambiance qui m'est apparue glauque. Je n'ai pas réitéré la lecture de cet auteur

C était mal parti des le début, car ce roman n a absolument rien a voir avec la série télévisée " Les revenants " dont on nous rabat souvent les oreilles.

Déja , dés le départ, c était avec un doute que je commencais ce livre malvenu, la prochaine fois je me renseignerai mieux.
Ensuite j aime les livres qui m entrainent directement dans l histoire, et la, faire la tour du quartier, parler du studio qu occuperait le fiston, jusque la page 28 ce fut une torture
Ensuite j ai survolé jusque la page 64, on fait le tour des restos et une femme n aime pas qu on s adresse a elle en l appelant " mon gars" ou bien " les gars"; Je passe sur d autres situations inintéréssantes.
j avais l impression de lire du remplissage....
bon ca y est , ce livre n est pas fait pour moi...
Il ne me reste qu a trouver une personne a qui le donner, je ne peux quand meme pas le jeter directement a la poubelle parce qu il ne correspond pas a mes gouts.