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3,65

sur 4764 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
L'idée d'un huis clos sur le thème du voyage dans le temps est originale.j'ai trouvé la lecture difficile à cause d'un manque de fil conducteur ( on ne sait pas trop où l'auteur nous emmène, même à la dernière page). J'aurais trouvé intéressant de parler de la dame blanche, présente dans toutes les pages mais dont on ne sait pas grand chose. C'est un livre à lire, mais il ne m'a pas enthousiasmé outre mesure.
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Un roman sympathique avec une touche de fantastique. Quatre personnes vont voyager dans le temps au cours de ce livre, tous quatre dans le but rectifier quelque chose qu'ils regrettent de ne pas avoir fait, et ainsi faire la paix avec eux même. La lecture est agréable et détendante, toutefois l'auteur part régulièrement dans des digressions philosophiques moralisatrices qui n'apportent rien à l'intrigue. Dommage car cela alourdit inutilement le récit alors que L'histoire se suffirait tout à fait à elle même pour faire passer le message !
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Et bien, quelle lecture déroutante!
Ce court roman se lit assez rapidement, l'écriture est fluide et très agréable à lire.
Mais, de vous à moi, je crois que je suis hermétique à la culture japonaise. Oui, il y a de la douceur dan ce roman, mais ce qui m'a le plus frappée, c'est la froideur que j'ai ressenti. de la retenue. de l'intériorisation.
Les sentiments sont bien là, mais timides, on peine à les toucher du doigt.
Et pour autant il me semble que ce roman va me suivre quelques temps…

Venez me dire
ce que vous en avez pensé, car vraiment, moi, je suis perdue.
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Je sors de l'ambiance de ce livre un peu mitigée : je l'aurais peut-être voulu plus consistant ? plus je ne sais quoi ? J'ai beaucoup aimé d'autres romans japonais, je leur avais trouvé une grâce particulière que je n'ai pas vraiment sentie ici.
Et pourtant la démonstration est intéressante : ne pas chercher autre chose que la réalité du moment, les personnes qui ont fait le voyage dans le passé en sortent transformées, ce qui finalement revient à faire changer le présent, La transformation les conduit à penser à autrui au lieu de réagir abruptement de leur seul point de vue : ça n'est déjà pas si mal.
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Lu l'an dernier. Acheté surtout par curiosité et les critiques enthousiastes.
Pas tellement ma tasse de "café", cette histoire à moitié-fantastique moitié-sentimentale... J'ai eu du mal à suivre le fil et plus encore à me passionner pour les personnages.
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Je m attender a plus venant de ce livre, y a de mignonne histoire.
Mais beaucoup de personnages compliqués de retenir qui est qui , je n' ai pas été touché par la plume, la seule histoire qui m'a fait ressentir est la dernière et vraiment que au dernier pages.
Et je suis déçu qu il manque des infos qui est la femme en blanc ???!
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i je te dis que tu peux remonter dans le temps ? Revivre un instant avec un proche disparu, ou un moment émouvant de ta vie, ça te dit ?
Mais attention les règles sont strictes, tu ne peux voyager que le temps où ton café sera encore chaud et surtout peu importe ce que tu pourras faire ou dire pendant ton voyage, cela n'aura aucune incidence sur le présent.

Si tu es encore motivé alors rends toi au café Funiculi Funicula, où cette expérience est possible.
Si tu n'es pas motivé en te disant que s'il n'y a aucune incidence sur le présent, cette expérience, ne vaut pas la peine. Demande toi si ce concept ne va pas plus loin que ça. Es-tu sûr que ce voyage ne pourrait pas avoir une incidence ?

C'est ce que cette lecture « «Tant que le café est encore chaud » t'invite à découvrir. Tu vas suivre quatre voyageurs qui vont tenter cette folle aventure, leur doutes, leur appréhension, leur motivation. Tu vas les accompagner pour revivre un moment marquant de leur vie.

J'ai apprécié ma lecture car elle m'a plongée dans un univers hors du temps, ou l'impossible devient possible. Les quatre voyages sont chacun sur un thème différent et un en particulier à presque apporté une larme à mes yeux. J'aime toujours retrouver la douceur et la mélancolie de la littérature japonaise. Mais ce n'est cependant pas un coup de coeur, car je trouve que la préparation au voyage prend trop de temps dans le récit comparé au voyage en lui-même. Je voulais qu'il dure plus longtemps et finalement ces grands moments d'émotions étaient trop courts.
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Dans une ruelle de Tokyo, une petite pancarte indique un café tout à fait singulier. le Funiculi Funicula a ouvert ses portes en 1874. 
Pour y accéder, il faut descendre un escalier puis pousser une lourde porte en bois de deux mètres de haut. C'est à ce moment là que la cloche fait résonner son ding dong accueillant.
Un charmant petit café qui ne compte que trois tables pour deux personnes et trois places au comptoir. Trois pendules complètent le décor mais une seule indique l'heure exacte... 
Parmi ses habitués : Mlle Hiraï, la patronne du snack-bar voisin; M. Fusagi parcourt les pages d'un magazine de voyages en prenant des notes, une femme en robe blanche estivale quelque soit la saison est absorbée dans un roman. Et la nouvelle, Fumiko vient de rompre avec son petit ami. 
Le café est servi par la discrète et efficace Kazu, ou les propriétaires Nagare et sa femme, la pétillante Kei. 
Une légende urbaine prétend que l'on peut retourner dans le passé mais les règles contraignantes qui régissent ce voyage en ont découragé plus d'un. 

Tant que le café est encore chaud réunit deux choses que j'apprécie beaucoup: la littérature japonaise et "le breuvage noir et amer" . 
Or je suis plutôt mitigée sur cette lecture. Je trouve l'idée de base originale : le voyage dans le temps ne peut pas changer le présent et il faut revenir avant que le café ne refroidisse.
Cependant j'ai trouvé le style de l'auteur sans chaleur et le décor réduit aux didascalies d'une pièce de théâtre. Peut-être parce que justement le roman est une adaptation de la pièce de théâtre de l'auteur. le décor aurait mérité d'être davantage étoffé pour créer une véritable ambiance, et pas seulement un cadre. 
Au début du chapitre 2 on apprend que les Japonais ont commencé à consommer du café à l'ère Edo, durant le règne du shôgun Tsunayoshi Tokugawa... mais je suis restée sur ma faim ou plutôt ma soif : j'aurai voulu en apprendre davantage sur la consommation du café au Japon, pays du thé! 
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Un café où l'on pourrait voyage dans le passer dans l'espoir d'y retrouver un être cher. le temps d'un café chaud.
J'ai eu du mal à rentrer dans ce livre. Un style inhabituel pour moi. C'était un une pièce de théâtre à la base donc ceci peut expliquer cela. Mais la fin a bien rattrapé l'avis que j'ai de ce livre. Bizarrement en ce moment je tombe toujours dans le même style de livre. Ici il fallait aussi s'y attendre. J'ai passé un bon moment. Je lirai la suite pour savoir.
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