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Zéro étoile donc zéro au score.
Un mot: abandonné ! Mais je dois quand même écrire 250 caractères. Flûte! Difficile quand ce que l'on a essayé de lire nous est tombé des mains. Juste un écrivain perdu? Je crois. J'ai lu le début, m'y suis ennuyée. Tenté de persévérer , m'y suis perdue...Alors...
Voilà tout est dit.
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la deception. moi qui avait tant aimé les visages…c'est tellement caricatural que j'ai fini par espéré que ce soit intentionnel pour l intrigue. sur la 2eme moitié du livre cela devient rocambolesque et cela n'a ni queue ni tête. bref à oublier / ne pas lire !
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Après avoir li "les visages", roman très prenant, très bien écrit qui m'avait enthousiasmé, je tombe de haut.. La première moitié est très commune, tellement qu'il m'avait déjà semblé l'avoir lue... Mais assez agréable à lire. L'auteur cependant glisse plusieurs fois des allusions à des événements étrangers qui laissent présager que l'on va s'y coller (sans plaisir), et ça ne manque pas. Tout bascule, et la fin du livre est pénible, abracadabrantesque, cliché à l'extreme, indigne d'un écrivain sérieux, ou alors c'est juste pour le délire.. bref... un roman bien gâché, ça ne me donne plus envie de Lire Kellerman
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Jaloux depuis toujours de son ami d'enfance qui a mieux réussi que lui dans tous les domaines, un écrivain raté se trouve dans la situation où, son rival ayant disparu en mer, il peut non seulement se rapprocher de sa femme mais aussi peut-être de son dernier roman qui git dans un tiroir et n'a pas encore été publié... La tentation est grande mais ne le conduira peut-être pas à la vie de rêve qu'il a toujours espéré...
Mouais... Quelques bonnes idées, un certain suspense, une intrigue à suivre et un style polar parfois prenant mais malheureusement ça ne tient pas la route... Si j'ai apprécié la première partie du roman et le lancement de l'intrigue, je n'ai trouvé ni la suite ni la fin à la hauteur, dommage...
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La moitié des étoiles car la moitiè du roman m'a plu.
Je ne m'attendais pas du tout à cela ; les 100 premières pages étaient très bien, les 100 suivantes plus pénibles et j'ai lu les 200 autres en survolant les pages.
La fin du roman est VRAIMENT tirée par les cheveux.
Je ne comprends pas, Jesse Kellerman nous avait pourtant convaincu dans des histoires comme Les Visages ou Jusqu'à la folie, mais là, impossible.
Si vous avez aimer ses précédents livres, je vous déconseille de lire celui-ci.
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Quand le premier roman d'un jeune auteur peut être qualifié de chef d'oeuvre ou tout au moins d'excellent, la barre est haute et il est difficile de continuer à satisfaire ses lecteurs en présentant une production littéraire de même qualité.
Alors que j'avais énormément apprécié le premier livre de Jesse Kellerman "les Visages", ses livres suivants , "Jusqu'à la folie" et "Beau parleur" m'ont semblé d'une qualité moindre et ma déception pour ce quatrième ouvrage a été à la hauteur des espérances que j'entretenais pensant que l'auteur allait retrouver une verve qui parait malheureusement l'avoir définitivement quitté.
Même si le pitch est plutôt intéressant , un auteur raté s'empare de l'épreuve non publiée d'un auteur de best-seller prématurément disparu pour enfin connaître, grâce à cette supercherie, la gloire littéraire, la suite de l'histoire frôle vraiment le grand n'importe quoi, même si on sent, à la lecture, que l'auteur a bien dû s'amuser en décrivant les aventures rocambolesques de son héros.
En effet à l'intérieur de ces romans de gare à la diffusion mondiale, il se cache un code secret destiné à communiquer des instructions précises aux agents secrets disséminés dans le monde et prêts à l'action, pour sauver la démocratie ... Bien sûr !
Notre plagiaire se trouve dont embarqué dans un tourbillon d'aventures, endossant bien malgré lui, le costume du James Bond de pacotille qui convenait tellement bien au défunt auteur dont il s'est approprié l'oeuvre, et découvre les charmes d'un pays imaginaire la Zlabie, qui fait irrésistiblement penser aux satellites de l'Union Soviétique à la grande époque de la guerre froide...
L'intrigue est alambiquée à souhait, absolument pas crédible, et on se perd dans des méandres marécageux... qui donnent vraiment la tentation d'en arrêter là.
La critique de la "fabrication" d'un best seller est trop peu pertinente pour retenir l'attention.
En ce qui me concerne, malgré l'admiration que je voue à sa traductrice attitrée, la talentueuse Julie Sibony, je m'abstiendrai à l'avenir de lire les prochains romans de cet auteur afin d'éviter très probablement une déception supplémentaire.
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Alors que dire de ce livre ? C'est le premier Jesse Kellerman que je lis. Je m'attendais à un polar un thriller du suspense enfin vous voyez le genre ? Et bien rien de tout cela ! La 4eme de couverture annonçait un parfait polar pour passionnés de polars palpitants : raté de ce côté là aussi ! C'est un livre qui se lit vite et de manière efficace. Mais je dirais qu'il ressemble à un roman d'aventures pas vraiment passionnantes un peu sans queue ni tête. Ça nous emmène nulle part et en plus ça finit bizarrement ! Espérons que le prochain Kellerman soit mieux c'était décevant !
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A défaut d'y avoir trouvé "les Visages" j'ai emprunté ce petit pavé à la bibliothèque, le quatrième de couverture parlant d'une histoire certes traitée mille fois en littérature et au cinéma - l'appropriation d'une oeuvre - mais traitée à la fois sous le mode du thriller et de l'humour noir. Cela commence plutôt bien, d'où l'étoile que j'ai attribuée, malgré l'opposition trop cliché de l'écrivain véritable (Pfefferkorn) resté dans l'ombre et l'auteur de bestsellers (qui s'est rebaptisé en toute modestie "de Nerval") qui a droit aux honneurs, à une vie de rêve et bien sûr à la femme dont est amoureux l'artiste méconnu. Mais là déjà, le doute s'insinue : comment un auteur peut-t-il de nos jours être mondialement reconnu et admiré par les critiques alors que ses romans policiers tournent autour d'un personnage masculin très "rentre-dedans", sans nuance et sans questionnement, avec des intrigues trop invraisemblables où le monde est sans cesse sauvé par ce héros invincible ? C'est aussi la question que se pose Pfefferkorn, professeur dans une obscure université alors que son compagnon et ami d'études, bien moins doué que lui, a réussi si brillamment avec une prose pleine de clichés et de tournures toutes faites dont l'écrivain méconnu se moque... mais qu'il n'hésite pas à recopier avec juste quelques minimes modifications stylistiques. Pfefferkorn est à peine surpris du succès que "sa" littérature rencontre et jouit sans remords de tous les avantages de sa célébrité subite. Jusque là, on est en présence d'une histoire digne de ce nom... jusqu'à ce que le vieil agent de de Nerval convoque notre imposteur et que le livre bascule dans du grand n'importe quoi, une sorte de... je ne sais trop quoi... de roman humoristique d'espionnage au 47ème degré ... une accumulation de clichés d'un autre âge (mais sans doute très drôles pour les américains) sur un petit pays imaginaire coupé en deux...un ramassis d'invraisemblances et de situations résultant d'un collage d'idées sans queue ni tête... c'est bien simple, je pensais qu'il s'agissait d'une blague, que Pfefferkorn faisait un cauchemar, ou qu'on le menait en bateau (et non que l'auteur prend ses lecteurs pour des imbéciles à qui il croit pouvoir tout faire gober), d'où mon envie :
1) D'aller prendre l'air,
2) de consulter les avis d'autres lecteurs sur mon site favori pour constater que, ouf, je ne suis pas la seule à penser plus ou moins ainsi
3) Abandonner avec un plaisir non dissimulé cette chose qui a pourtant été écrite, éditée et puis traduite et éditée
4) Rédiger cette brève critique pour évacuer cette impression désagréable d'avoir été embarquée puis jetée dans des eaux peu ragoûtantes
5) Me poser et ouvrir un bouquin qui vaille la peine...
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J'en suis à la page 329 et je n'en vois pas la fin !! Je vais toutefois le terminer en espérant un rebondissement (que je n'attends même pas d'ailleurs...). Très déçue ! Un début de roman acceptable, qui part ensuite dans une affaire d'espionnage où on se perd !
Après "les visages", quelle déception. ..
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Début classique et l'on se prend au jeu jusqu'au moment , vers la page 200, où le livre bascule dans ce qui peut être assimilé à un "accident industriel". Heureusement que j'étais assis ( ce qui paraît une position adaptée pour la lecture) , seul le livre est tombé par terre.
Opiniâtre, j'ai continué la lecture, en parcourant rapidement les 200 derniéres pages, plus ou moins en diagonale.
J'en suis sorti hébété.
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