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3,53

sur 3088 notes
Je me suis ennuyé, il n'y a aucun suspense, l'histoire traîne en longueur. Non franchement je ne comprends pas! Je l'ai fini histoire d'être sûr que la perle ne se trouvait pas à la fin... mais non!
Plutôt décevant.
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Reçu en cadeau par mes enfants, j'ai eu un doute en ouvrant le paquet... ne l'aurais-je pas déjà lu ??? Finalement les premières lignes me prouvent que non, tout va bien sauf que très vite... bah si... la mémoire me revient, je l'ai emprunté mais vite rendu car je n'accrochais pas ! Dilemme. Par amour pour ma tendre progéniture je retente la lecture mais j'avoue, ce fut un peu laborieux. L'intrigue m'a beaucoup plu mais que de longueurs !... C'est dommage car l'histoire n'aurait pas pâti d'une bonne centaine de pages en moins voire plus.
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Les visages est une espèce d'enquête doublée d'une critique féroce du monde de l'art. Mais pas que, puisque des interludes parsèment le récit d'Ethan Muller, constituant une saga familiale passionnant (remontant jusqu'en 1847). Très doucement, les deux histoires vont s'imbriquer et venir éclairer le mystère Crack de façon subtile et surprenante. L'histoire de cette dynastie (étalée sur 5 générations) est d'abord assez déconcertante, car les liens avec le récit au présent n'est pas clair (si ce n'est le nom de la famille : Muller). Mais, même sans bien saisir le fil conducteur, on se laisse assez aisément embarquer par ces digressions, qui finissent par prendre de plus en plus de poids par rapport au récit principal.

A défaut donc d'être un excellent policier avec tout ce qu'on peut en attende (suspens et rebondissement, en autres), il faut reconnaître que Les visages est un bon roman qui ne manque pas d'intérêt, grâce au style de l'auteur (faisant le choix judicieux de la première personne avec son ton si particulier) et aux incursions rétrospectives qui enrichissent diablement l'intrigue.

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Le fils Muller marchand d'art récupère d'une grande singularité mais cela ne l'inquiètes en rien jusqu'à ce qu'il reçoive un appel de Mc Grath, policier à la retraite, qui va lui faire part de ces découvertes.

Je suis très déçue de ce roman, je n'ai pas adhéré au style de l'auteur. Dans la première moitié du livre il y a énormément de suspense et de découvertes mais dans la seconde moitié tout ce qui nous ait dévoilé n'apporte rien à l'intrigue. le lien qui existe entre les personnages se comprend très vite et n'apporte rien non plus. Des histoires entre personnages trop vite fini et sans suite. On en apprend finalement pas beaucoup plus sur le personnages principal! L'intrigue est intéressante mais très mal exploité, un gros manque d'action!
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Quelque peu déçue, un gros livre pour une histoire un peu longue dont on devine la fin, certes, l'histoire des dessins, du policier à la recherche de la fin d'une enquête, etc, plaisant mais voilà, je n'ai pas franchement accroché et je n'ai pas été mené par le suspense.
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Ce roman policier se déroule dans le milieu des galeries d'arts.
Ethan Muller, jeune galeriste en vogue découvre des cartons de dessins qui semblent vraiment géniaux. L'auteur de ses dessins, Victor Crack, a mystérieusement disparu après avoir vécu près de quarante ans dans un appartement misérable de New York. Ethan organise une exposition qui est un très grand succès. Lee McGrath, un flic retraité et malade, reconnait sur certains dessins les visages de jeunes enfants assassinés. Ethan veut comprendre qui est Victor Crack et pourquoi ces dessins. Il va donc mener l'enquête avec l'aide de Samantha la fille de Lee McGrath.
Régulièrement le récit est entrecoupé par des interludes qui dévoilent peu à peu les secrets d'une histoire familiale depuis 1847 jusqu'à aujourd'hui.
A travers cette histoire, on découvre un peu le milieu de l'art. L'intrigue est parfaitement construite, avec du suspens et les personnages sont attachants. En conclusion, c'est un livre qui se lit facilement et que j'ai beaucoup aimé. A lire !
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J'ai passé une bonne semaine avec ce livre, ravie de me replonger dedans dès que je le pouvais, et j'ai beaucoup apprécié son personnage principal, propriétaire d'une galerie d'art qui mène l'enquête sur l'auteur d'étranges dessins recelant des références à d'anciens meurtres ; en revanche j'ai trouvé la fin toute platounette alors que dans ce genre d'intrigue, lorsque tu es si habilement tenu en haleine tu t'attends à un feu d'artifice de révélations ou de surprises en fin de lecture. Rien de tout ça ici, dommage.
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Ethan Muller dirige une galerie d'art. Entre l'installation des expositions, les catalogues à réaliser, les artistes à gérer, le temps libre est une denrée rare. Aussi, quand Tony, le bras droit et ami de son père avec lequel il n'entretient plus aucune relation, lui demande de le rejoindre d'urgence pour évaluer des oeuvres dont il est entré en possession, Ethan est tout disposé à refuser. Mais la curiosité finit par l'emporter. Qui plus est, le résultat va bien au-delà de ses attentes. L'oeuvre est magistrale, colossale, unique : des milliers de dessins et croquis qui, mis bout à bout sur leurs quatre faces - si tant est qu'il soit possible de les exposer en un même lieu - se combinent au point de révéler leur essence, tourmentée et exaltée. Sur certains d'entre eux figurent des visages d'enfants, enlevés et tués des années auparavant. Et Ethan ne peut même pas compter sur l'auteur de ces dessins pour en savoir plus à ce sujet. Il s'est tout simplement évaporé dans la nature et personne, pas même ses voisins, ne semble à même d'en donner une description concordante.

Il faut croire que le phénomène se répand. Une fois n'est donc plus coutume, on nous sert du thriller là où il n'y en a pas. Ce n'est même pas moi qui le dit mais Ethan Muller, le narrateur de cette histoire. Il a au moins le mérite d'être clair. Alors que s'annonce la fin du livre, il avertit même le lecteur de ne pas s'attendre à un énorme rebondissement ni à une quelconque scène d'action époustouflante. Par là même, il s'affranchit des codes, les détourne à souhait. On peut y voir là une volonté d'ancrer son personnage et son histoire dans une réalité, de rendre l'un et l'autre aussi crédibles et véridique que possible. Après tout, dans la vie, la vraie vie, les choses ne se passent jamais tout à fait comme dans un roman.

Ce genre de démarche est loin de me déplaire d'autant que le formatage thrilleristique sur les scènes de fin – action, parlotte, action, fin, voire double fin avec retournement de situation de derrière les fagots – a de plus en plus tendance à m'éloigner du genre.

Seulement un tel parti pris n'est pas non plus synonyme de réussite. Il n'a en tout cas pas été un élément déterminant à mon adhésion au roman. Ou à mon manque d'adhésion, en l'occurrence. Car cette volonté de raconter, de nous raconter une histoire comme si elle s'était réellement passée, souffre d'une construction pour le moins hasardeuse. La narration est en effet coupée d'interludes, visant à retracer les origines des Muller sur le territoire des Etats-Unis, au 19ème siècle. C'est d'abord intrigant, prenant aussi, même si on se demande ce que ça vient faire ici. A chacune de ces coupures on avance dans le temps. Puis les liens qui unissent tous ces personnages les uns aux autres s'éclairent.

Le problème en fait, c'est que dans ces évocations, Jesse Kellerman procède là encore à des flashbacks, certains n'étant d'ailleurs d'aucun intérêt et s'avérant du même coup assez poussifs. Lors des derniers interludes, il va même jusqu'à remonter à nouveau le cours du temps pour se consacrer à un personnage central de l'histoire. Ça ressemble un peu à du je m'arrange comme je peux pour tout dire et tant pis si c'est un peu cahin caha. Ça l'est.

On le devine, sans que l'on sache trop comment, l'ensemble des éléments qui sont rapportés dans ce contexte narratif sont connus de Ethan Muller. Aussi on s'étonne que les révélations qu'ils véhiculent ne transpirent pas dans ses réflexions ni ne sèment jamais vraiment le trouble en lui. Ce garçon là est insipide, les autres personnages aussi. La description de l'art contemporain qui est faite dans le roman l'est tout autant. Quant aux relations conflictuelles entre le père et son fils, peu explicitées, elles ont un arrière-goût d'artifice. Comme si elles n'existaient que pour les besoins d'un histoire, où tout arrive plus ou moins comme un cheveu sur la soupe. Alors je n'ai rien contre les cheveux, je n'ai rien contre la soupe mais quand ils entravent mes lectures, ça me navre.
Lien : http://bibliomanu.blogspot.com
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: Il s'agit plus d'un roman sur une dynastie de riches américains que sur une réelle enquête policière qui sert ici de trame de fond au récit. Il s'agit plus d'une peinture de la haute société neew-yorkaise et du milieu du business de l'art moderne. J'ai trouvé que le roman était remarquablement bien écrit tout en étant très accessible avec de nombreux dialogues très familiers entre les personnages. le personnage d'Ethan est attachant car on sent bien qu'il a toujours eu du mal et en a encore à trouver sa place : problèmes avec son père, problèmes à l'université, problèmes avec ses artistes…J'ai bien aimé ce roman même si je ne le considère pas comme un roman policier et encore moins comme un thriller.
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Remarquable premier roman pour le fiston Kellerman qui a dû mettre toutes ses tripes pour s'extirper de l'ombre se son illustre père écrivain de genre.
Très habilement, il nous emmène quelque part entre le thriller et le polar avec cette histoire qui voit un galériste d'art se retrouver, presque fortuitement, à enquêter sur un artiste mystérieux.
Sous cette apparente intrigue lambda, l'auteur tisse un récit immersif où se confronte le microcosme de l'art contemporain, un ex-policier en fin de vie et une généalogie familiale ultra pesante pour un (anti) héros qui va se révéler à lui-même. Et c'est là le tour de force du livre : arriver à nous faire s'attacher à ce galériste antipathique et à sa vaine enquête qui va le faire se perdre (pour mieux se retrouver). Il n'y a point ici de gros rebondissements ou autres scènes où la bravoure éclate entre les lignes. Non, rien de tout ça. Mais pourtant le lecteur reste vissé à l'intrigue par un malin jeu de passe-passe entre présent et interlude dans le passé familial du héros.
Et notre attention d'être maintenue jusqu'à la dernière ligne.
Coup d'essai, coup de maître !
Ps : Originalement titré "The genius", la traduction du titre me laisse perplexe....Ou alors l'envie de la maison d'édition était déjà de brouiller les pistes? je n'en suis pas certain....
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