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Citations sur La femme du Ve (68)

« Ce qui se passe au rez-de-chaussée, ce ne sont pas tes oignons. Ni maintenant ni jamais. Crois-moi, c’est mieux ainsi. » (p. 95)
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« Paris est plein d’anglophones qui n’ont jamais pris la peine d’apprendre le français. Paris s’en arrange parce que Paris est très arrangeant. » (p. 117)
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Tout était bien terme à côté de mes rendez-vous avec Margit. L'espace d'une heure ou deux, ils me donnaient le sentiment d'échapper à la banalité de la vie. Rien d'étonnant à ce que nous soyons tous à la recherche d'intimité. Non seulement, elle nous permet de nous accrocher à quelqu'un et de nous convaincre que nous ne sommes pas seuls au monde, mais elle offre aussi une échappatoire à la routine.
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Assis à ma table plus tard cette nuit là, j'ai tenté en vain de me concentrer sur mon travail, mais la scène du balcon continuait à défiler dans ma tête, le visage de Margit occupait mes pensées.
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C'est une chose que j'aimais en lui, et pourtant je n'arrivais pas à me montrer plus indulgente à son égard. C'est affreux comme nous pouvons être durs avec les gens qui comptent le plus pour nous, en sachant souvent que l'on fait une erreur, mais juste pour exprimer des frustrations qui ne tiennent qu'à nous mêmes...
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Il manquait d’ambition, c’est vrai, mais il avait un bon fond. C’est une chose que j’aimais en lui, et pourtant je n’arrivais pas à me montrer plus indulgente à son égard. C’est affreux, comme nous pouvons être durs avec les gens qui comptent le plus pour nous, en sachant souvent que l’on fait une erreur, mais juste pour exprimer des frustrations qui ne tiennent qu’à nous-mêmes…
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Plus j'y réfléchissais, plus je me rendais compte à quel point ce drame terrible la hantait. Son chagrin ne finirait qu'avec la mort. Elle avait raison : il est des tragédies dont on ne se remet jamais. On peut finir par s'habituer à la sensation de perte qui imprègne chaque heure de ses journées, à la tristesse désespérée qui teinte de gris tout ce que l'on perçoit, et on peut même apprendre à vivre avec ; mais cela ne signifie pas que la plaie a été définitivement cautérisée, la douleur contenue dans un coffre hermétique et finalement vaincue.
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Tu continues à espérer ? Tu ne devrais pas.
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C'est ce qui rend une rubrique nécrologique si troublante à mes yeux. Savoir qu'il y a toujours une autre histoire derrière ces quelques lignes, une histoire faite de toutes les complexités et de tous les secrets qui constituent une vie humaine. Se dire qu'un jour ou l'autre, votre vie sera elle aussi condensée en quelques mots... si vous avez cette chance.
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