Dans la première partie de ma lecture de
Khalil, c'était l'envoûtement et je me désolais que le livre fût si court, tant je désirais demeurer sous son emprise. Puis, soudain vers le milieu, la lassitude puis l'ennui. Un passage revigorant en fin de lecture lorsque
Khalil médite face à la mer !!!
En revanche et mises à part, mes états d'âme contrastés,
Yasmina Khadra, mieux que tous les "spécialistes" -ou prétendus tels- du djihadisme, sonde les reins et les coeurs à travers le personnage de
Khalil. Et là, je crois que tout est dit.